RAA spécial CAB-DS-BPS Vidéoprotection du 15 janvier 2025

Préfecture des Hauts-de-Seine – 15 janvier 2025

ID 83c5149e5da54da587a94c00f0c338ee8c56f931182cd979cd451e1d738bae0f
Nom RAA spécial CAB-DS-BPS Vidéoprotection du 15 janvier 2025
Administration ID pref92
Administration Préfecture des Hauts-de-Seine
Date 15 janvier 2025
URL https://www.hauts-de-seine.gouv.fr/contenu/telechargement/26102/182834/file/2025-01-15%20RAA%20sp%C3%A9cial%20CAB-DS-BPS%20Vid%C3%A9oprotection%20du%2015%20janvier%202025.pdf
Date de création du PDF 15 janvier 2025 à 11:06:47
Date de modification du PDF 15 janvier 2025 à 11:06:47
Vu pour la première fois le 15 janvier 2025 à 12:31:48
Les dates et heures sont exprimées dans le fuseau de l'administration.
Afficher le document d’origine 

Eu
PREFET
DES HAUTS-DE-SEINE
Liberté
Egalité
Fraternité1





RECUEIL

DES

ACTES ADMINISTRATIFS


CABINET DU PREFET

Vidéo protection















N° Spécial 15 janvier 2025


2
PREFECTURE DES HAUTS-DE-SEINE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

N° Spécial CABINET Vidéo protection du 15 janvier 2025



Arrêtés Dates CABINET Vidéo protection Pages
CAB/DS/BPS
N°2024-005 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF – Autoroutes du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A7 14
CAB/DS/BPS
N°2024-006 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF – Autoroutes du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A62 16
CAB/DS/BPS
N°2024-007 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF – Autoroutes du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A72 18
CAB/DS/BPS
N°2024-008 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF – Autoroutes du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A709 20
CAB/DS/BPS
N°2024-009 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF – Autoroutes du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A837 22
3
CAB/DS/BPS
N°2024-010 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF – Autoroutes du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A7N 24
CAB/DS/BPS
N°2024-011 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF – Autoroutes du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A46 26
CAB/DS/BPS
N°2024-012 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
COFIROUTE sise 1973 boulevard de la Défense
- Bâtiment HYDRA – CS 10268 – 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A11 28
CAB/DS/BPS
N°2024-013 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
COFIROUTE sise 1973 boulevard de la Défense
- Bâtiment HYDRA – CS 10268 – 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A 28 30
CAB/DS/BPS
N°2024-014 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
COFIROUTE sise 1973 boulevard de la Défense
- Bâtiment HYDRA – CS 10268 – 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A71 32
CAB/DS/BPS
N°2024-015 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
COFIROUTE sise 1973 boulevard de la Défense
- Bâtiment HYDRA – CS 10268 – 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A81 34
CAB/DS/BPS
N°2024-016 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
COFIROUTE sise 1973 boulevard de la Défense
- Bâtiment HYDRA – CS 10268 – 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A85 36
4
CAB/DS/BPS
N°2024-017 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A1 38
CAB/DS/BPS
N°2024-018 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A2 40
CAB/DS/BPS
N°2024-020 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A4 42
CAB/DS/BPS
N°2024-021 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A16 44
CAB/DS/BPS
N°2024-022 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A26 46
CAB/DS/BPS
N°2024-023 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A29 48
CAB/DS/BPS
N°2024-024 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A34 50
CAB/DS/BPS
N°2024-025 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A314 52
CAB/DS/BPS
N°2024-026 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SANEF S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A344 54
5
CAB/DS/BPS
N°2024-027 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A13 56
CAB/DS/BPS
N°2024-028 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A14 58
CAB/DS/BPS
N°2024-029 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A29 60
CAB/DS/BPS
N°2024-030 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A131 62
CAB/DS/BPS
N°2024-031 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A132 64
CAB/DS/BPS
N°2024-032 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A139 66
CAB/DS/BPS
N°2024-033 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A150 68
CAB/DS/BPS
N°2024-034 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A151 70
CAB/DS/BPS
N°2024-035 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A154 72
6
CAB/DS/BPS
N°2024-036 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
SAPN S.A sise 30 bd Gallieni 92130 Issy-les-
Moulineaux pour l'autoroute A813 74
CAB/DS/BPS
N°2024-037 06.02.2024 Arrêté modifiant l'autorisation d'exploiter un
système de vidéoprotection délivré à BANQUE
POPULAIRE VAL DE FRANCE sis 35 rue de
la République 92190 MEUDON 76
CAB/DS/BPS
N°2024-038 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement BRED BANQUE POPULAIRE
sis 34 rue Saint-Denis 92700 Colombes 78
CAB/DS/BPS
N°2024-039 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement BRED BANQUE POPULAIRE
sis 2 place Simone et Antoine Veil 92800
Puteaux 80
CAB/DS/BPS
N°2024-040 06.02.2024 Arrêté renouvelant l'autorisation d'exploiter un
système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CCF RUEIL sis 117 avenue Paul
Doumer 92500 Rueil-Malmaison 82
CAB/DS/BPS
N°2024-041 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CIC MONTROUGE sis 81
avenue de la République 92120 MONTROUGE 84
CAB/DS/BPS
N°2024-042 06.02.2024 Arrêté renouvelant l'autorisation d'exploiter un
système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CAISSE REGIONALE DU
CREDIT AGRICOLE MUTUEL PARIS ILE-
DE-FRANCE sis 25 rue Saint-Denis 92700
Colombes 86
CAB/DS/BPS
N°2024-043 06.02.2024 Arrêté renouvelant l'autorisation d'exploiter un
système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CAISSE REGIONALE DU
CREDIT AGRICOLE MUTUEL PARIS ILE-
DE-FRANCE sis 50 avenue Jean Jaurès 92110
CLICHY 88
7
CAB/DS/BPS
N°2024-044 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement LE CREDIT LYONNAIS 564
sis 388 avenue d'Argenteuil 92600 Asnières -sur-
Seine 90
CAB/DS/BPS
N°2024-045 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement SOCIETE GENERALE sis 83
rue de Bezons 92400 Courbevoie 92
CAB/DS/BPS
N°2024-046 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société
ASF - Autoroute du Sud de la France sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA –
CS 10268 – 92757 NANTERRE Cedex pour
l'autoroute A66 94
CAB/DS/BPS
N°2024-047 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement THIRIET sis 9 boulevard Jean
Jaurès 92100 Boulogne-Billancourt 96
CAB/DS/BPS
N°2024-048 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement UGC CINECITE LA DEFENSE 98
CAB/DS/BPS
N°2024-049 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement RESIDE ETUDES SENIORS
sis 9 rue Yves Cariou à Marnes- la Coquette 100
CAB/DS/BPS
N°2024-050 06.02.2024 Arrêté renouvelant l'autorisation d'exploiter un
système de vidéoprotection délivré à
l'établissement ZARA FRANCE sis 5 rue Tony
Garnier 92100 Boulogne-Billancourt 102
CAB/DS/BPS
N°2024-051 06.02.2024 Arrêté renouvelant l'autorisation d'exploiter un
système de vidéoprotection délivré à
l'établissement LA VIE CLAIRE sis 46 rue
d'Estienne d'Orves 92270 Bois -Colombes 104
8
CAB/DS/BPS
N°2024-052 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement LA VIE CLAIRE sis 19 rue du
Gouverneur Général Eboué 92180 Issy-les-
Moulineaux 106
CAB/DS/BPS
N°2024-053 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour les
stations « Asnières Gennevilliers Les
Courtilles », « Les Agnettes », « Gabriel Péri »
ligne 13 du métro située dans le département des
Hauts-de-Seine 108
CAB/DS/BPS
N°2024-054 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour la
station « Châtillon Montrouge » sis à Châtillon
ligne 13 du métro située dans le département des
Hauts-de-Seine 110
CAB/DS/BPS
N°2024-055 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour la
station « Mairie de Clichy » sis à Clichy ligne 13
du métro située dans le département des Hauts-
de-Seine 112
CAB/DS/BPS
N°2024-056 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour les
stations « Malakoff Plateau de Vanves »,
« Malakoff Rue Etienne Dolet » ligne 13 du
métro située dans le département des Hauts-de-
Seine 114
CAB/DS/BPS
N°2024-057 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CLINIQUE DU VAL D'OR sis
14-16 rue Pasteur à Saint-Cloud 116
CAB/DS/BPS
N°2024-058 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement MC DONALD'S EST
PARISIEN LA DEFENSE RATP sis Place des
Echanges à PUTEAUX 118
9
CAB/DS/BPS
N°2024-059 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement Mondial Relay – CONSIGNE
N°22318 sis 5 bd Georges Clemenceau 92400
COURBEVOIE 120
CAB/DS/BPS
N°2024-060 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement Mondial Relay – CONSIGNE
N°23331 sis 47 rue des Benards à FONTENAY
AUX ROSES 122
CAB/DS/BPS
N°2024-061 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement Mondial Relay – CONSIGNE
N°23332 sis 5 rue Tony Garnier 92100
BOULOGNE BILLANCOURT 124
CAB/DS/BPS
N°2024-062 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement Mondial Relay – CONSIGNE
N°23333 sis 80 av Marceau 92400
COURBEVOIE 126
CAB/DS/BPS
N°2024-063 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement Mondial Relay – CONSIGNE
N°22358 sis 23 rue Georges Boisseau à
CLICHY 128
CAB/DS/BPS
N°2024-064 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement Mondial Relay – CONSIGNE
N°24159 sis 9 rue du Commandant d'Estienne
d'Orves 92390 VILLENEUVE LA GARENNE 130
CAB/DS/BPS
N°2024-065 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement Mondial Relay – CONSIGNE
N°18837 sis boulevard François Raspail 92000
NANTERRE 132
CAB/DS/BPS
N°2024-066 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement MONTROUGE IMMO sis 137
av de la République à Montrouge 134
10
CAB/DS/BPS
N°2024-067 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement MAY CARE CONCEPT sis 125
av Henri Ravera à Bagneux 136
CAB/DS/BPS
N°2024-068 06.02.2024 Arrêté renouvelant l'autorisation d'exploiter un
système de vidéoprotection délivré à
l'établissement MARIONNAUD – SITE 4115
sis 110 avenue Charles de Gaulle 92200 Neuilly-
sur-Seine 138
CAB/DS/BPS
N°2024-069 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement NEW YORKER FRANCE sis 15
parvis de la Défense – Centre Commercial
Westfield Les 4 Temps 92092 Puteaux 140
CAB/DS/BPS
N°2024-070 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement HEXAGON FRANCE sis 15
parvis de la Défense – Centre Commercial
Westfield Les 4 Temps 92800 Puteaux 142
CAB/DS/BPS
N°2024-071 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement COGEDIM RESIDENCES
SERVICES Résidence COGEDIM CLUB
PROMENADE MOZART sis 2 allée Gisèle
Halimi 92110 Clichy-la-Garenne 144
CAB/DS/BPS
N°2024-072 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement SAINT CLOUD BIO sis 64
boulevard de la République 92210 Saint-Cloud 146
CAB/DS/BPS
N°2024-073 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement F.D.R DISTRIBUTION sis 5 rue
Théophile Gautier 92120 Montrouge 148
CAB/DS/BPS
N°2024-074 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement ENTREPOTS NORMANDS –
CAVE BERIGNY sis 76 boulevard Jean Jaurès
92110 Clichy-la-Garenne 150
11
CAB/DS/BPS
N°2024-075 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement DISTRILEVALLOIS –
FRANPRIX sis 68 rue Jules Gesde 92300
Levallois-Perret 152
CAB/DS/BPS
N°2024-076 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CELIAL - FRANPRIX sis 78
rue Armand Sylvestre 92400 Courbevoie 154
CAB/DS/BPS
N°2024-077 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement BNP PARIBAS REAL ESTATE
sis 50 cours de l'Ile Seguin 92100 BOULOGNE -
BILLANCOURT 156
CAB/DS/BPS
N°2024-078 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement AUCHAN sis 5 rue Bergeret
92330 SCEAUX 158
CAB/DS/BPS
N°2024-079 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement HOTEL ASTOR sis 30 avenue
du Général de Gaulle à Suresnes 160
CAB/DS/BPS
N°2024-080 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement LOVISA sis Centre commercial
les 4 Temps 92800 PUTEAUX 162
CAB/DS/BPS
N°2024-081 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement SYNDICAT DE
COPROPRIETE 55EZ sis 57 bd Emile Zola à
Nanterre 164
CAB/DS/BPS
N°2024-082 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement RUMALDIS SAS sis 4 -6 avenue
de Colmar à Rueil-Malmaison 166
CAB/DS/BPS
N°2024-083 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour les
stations de la ligne 10 situées à Boulogne-
Billancourt 168
12
CAB/DS/BPS
N°2024-084 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour les
stations de la ligne 03 situées à Levallois-Perret 170
CAB/DS/BPS
N°2024-085 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour les
stations de la ligne 12 situées à Issy-les-
Moulineaux 172
CAB/DS/BPS
N°2024-086 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour les
stations de la ligne 01 situées à Neuilly-sur-Seine 174
CAB/DS/BPS
N°2024-087 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS – RATP pour les
stations de la ligne 1 situées à Puteaux 176
CAB/DS/BPS
N°2024-088 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CAISSE D'EPARGNE ILE DE
FRANCE sis 231 bd Gallieni 92390
VILLENEUVE LA GARENNE 178
CAB/DS/BPS
N°2024-089 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CAISSE D'EPARGNE ILE DE
FRANCE sis 84 rue Antoine Ucicaut 92260
FONTENAY AUX ROSES 180
CAB/DS/BPS
N°2024-090 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CAISSE D'EPARGNE ILE DE
FRANCE sis 23 rue de Normandie 92600
ASNIERES SUR SEINE 182
CAB/DS/BPS
N°2024-091 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CAISSE D'EPARGNE ILE DE
FRANCE sis 93 rue Sadi Carnot 92170
VANVES 184
13
CAB/DS/BPS
N°2024-092 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement CAISSE D'EPARGNE ILE DE
FRANCE sis 13/14 place de la Défense 92400
COURBEVOIE 186
CAB/DS/BPS
N°2024-093 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement BASIC FIT II sis 31 bis rue
Madame de Sanzillon à Clichy 188
CAB/DS/BPS
N°2024-094 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un périmètre vidéoprotégé délivré à
l'établissement STMICROELECTRONICS
Frances SAS 190
CAB/DS/BPS
N°2024-095 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement RITM BOULOGNE -
BILLANCOURT sis 18 rue de la Saussière à
Boulogne-Billancourt 192
CAB/DS/BPS
N°2024-096 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement EUROPCAR FRANCE sis 27
rue du Port 92000 Nanterre 194
CAB/DS/BPS
N°2024-097 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'établissement FITNESS PARK sis Centre
commercial Quartz 92390 VILLENEUVE LA
GARENNE 196
CAB/DS/BPS
N°2024-098 06.02.2024 Arrêté autorisant l'installation et l'exploitation
d'un système de vidéoprotection délivré à
l'association AGENA pour l'école primaire
Marianne Picard située 8 rue Boutard 92200
Neuilly-sur-Seine 198
En
PREFETCabinetpe RAUTPDESEINE Direction des Sécurités
Fami
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.005 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A7
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n°20191018 à n°20191026 du 28/10/2019, n°2020.394 du 03/07/2020,
n°2020.509 du 03/07/2020, n°2020.801 du 24/09/2020, n°2021292 du 22/04/2021, n°2021295 à
n°2021.298 du 22/04/2021, n°2021.307 du _22/04/2021,n°2021.309 du 22/04/2021, n°2021531 du
06/07/2021, n°2022189 à n°2022.200 du 28/03/2022, n°2022.254 à n°2022.257 du 20/04/2022,
n°2022.259 du 20/04/2022, n°2023.200 du 07/04/2023 autorisant l'installation et l'exploitation de
dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société ASF ;
Vu la demande présentée par la société ASF le 14/12/2023 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la comm n départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRETE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A7, du PR 6,000 au PR 253,935,
incluant les gares de péage et les aires de services,
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.

dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête pr re ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours,
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n°20191018 à n°2019.1026 du 28/10/2019, n°2020.394 du
03/07/2020, n°2020.509 du 03/07/2020, n°2020.801 du 24/09/2020, n°2021.292 du 22/04/2021,
n°2021295 à n°2021298 du 22/04/2021, n°2021.307 du 22/04/2021,n°2021.309 du 22/04/2021,
n°2021531 du 06/07/2021, n°2022.189 à n°2022.200 du 28/03/2022, n°2022.254 à n°2022287 du
20/04/2022, n°2022259 du 20/04/2022, n°2023200 du 07/04/2023 autorisant l'installation et
l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société ASF sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

Ex
PREFETCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
es
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.006 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A62
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2020.759 à n° 2020.761 du 21/09/2020, n° 2020.766 du 21/09/2020, n°
2020.768 du 21/09/2020, n° 2021.527 du 06/07/2021, n° 2021.536 à n° 2021.541 du 06/07/2021, n° 2021.783
à n° 2021788 du 23/09/2021, n° 2021.790 à n° 2021.791 du 23/09/2021, n° 2022.925 du 25/11/2022
autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société ASF ;
Vu la demande présentée par la société ASF le 14/12/2023 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A62, du PR 10,000 au PR 229,950,
incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.

ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure. .
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hoi
information judiciis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
re, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de vi
préalablement habilité ou autorisé.ant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
jonnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
éressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2020.759 à n° 2020.761 du 21/09/2020, n° 2020.766 du
21/09/2020, n° 2020.768 du 21/09/2020, n° 2021.527 du 06/07/2021, n° 2021.536 à n° 2021.541 du
06/07/2021, n° 2021.783 à n° 2021.788 du 23/09/2021, n° 2021.790 à n° 2021.791 du 23/09/2021, n°
2022925 du 25/11/2022 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection
délivrés à la société ASF sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET ;CabinetDES HAUTS DE SEINE Direction des Sécurités
EM
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.007 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A72
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du M
Chevalier de la Légion d'Honneurite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe);
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2020.389 à n° 2020.391 du 03/07/2020, n° 2020.39 du 03/07/2020
autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société ASF;
Vu la demande présentée par la société ASF le 15/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
Périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A72, du PR 83,880 au PR 123,540,
incluant les gares de péage et les aires de services,
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de
services préfectorauxidéoprotection doit objet d'une déclaration auprès des
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ov autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2020.389 à n° 2020.391 du 03/07/2020, n° 2020.396 du
03/07/2020 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la
société ASF sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
— BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et
Le sous-préfet,tion,
cabinet,

PREFET .CabinetDFS HAUTS-DE:SEINE Direction des Sécurités
Épalité
=
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.008 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A709
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n°2022.201 du 28/03/2022, n°2022.732 du 12/09/2022, n°2022733 du
12/09/2022, n°2022.739 du 12/09/2022 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société ASF ;
Vu la demande présentée par la société ASF le 16/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A709, du PR 0,000 au PR 21,065,
incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.

ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ov autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n°2022.201 du 28/03/2022, n°2022.732 du 12/09/2022, n°2022.733
du 12/09/2022, n°2022739 du 12/09/2022 délivrés à la société ASF autorisant l'installation et
l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société ASF sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introdui
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

CabinetDES HAUTEDESEINE Direction des Sécurités
Beat
Prterité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.009 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A837
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n°2019.1062 du 26/11/2019, n°20191064 du 26/11/2019, n°2023.502 du1906/2023 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société
Vu la demande présentée par la société ASF le 12/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A837, du PR 0,330 au PR 37,320,
incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.

ARTICLE 4 Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
: Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus, Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
Pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n°2019.1062 du 26/11/2019, n°20181064 du 26/11/2019, n°2023.502
du 16/06/2023 délivrés à la société ASF autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société ASF sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
1, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET
DES HAUTEDESEINE Direction des Sécurités
Éealité
Fraternité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.010 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A7N
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.863 à 2019.864 du 26/09/2019, n° 2019.870 du 26/09/2019, n°2022.258
du 20/04/2022 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la
société ASF ;
Vu la demande présentée par la société ASF le 14/12/2023 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRETE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A7N, du PR 20,150 au PR 35,680,
incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.

ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.863 à 2019.864 du 26/09/2019, n° 2019.870 du 26/09/2019,
n°2022.258 du 20/04/2022 délivrés à la société ASF autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs
de vidéoprotection délivrés à la société ASF sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
délégation,
"cabinet,

PREFET ;CabinetDES HAUTEDESSEINE Direction des Sécurités
Frere
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.011 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A46
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.868 à 2019.869 du 26/09/2019, n° 2019.871 du 26/09/2019 autorisant
l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société ASF ;
Vu la demande présentée par la société ASF le 12/12/2023 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A46, du PR 40,700 au PR 62,688,
incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotec
services préfectoraux.n doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
'dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
Pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.868 à 2019.869 du 26/09/2019, n° 2019.871 du 26/09/2019
autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société ASF sont
abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET ilCabinet
DES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
alte
rtenité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.012 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société COFIROUTE sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757 NANTERRE Cedex
pour l'autoroute A11
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTI
Vu la demande présentée par la société COFIROUTE le 24/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabine
ARRÊTE
ARTICLE 1"; Dans la limite de la demande susvisée, la société COFIROUTE est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute AT1, du PR 26 au PR
176+600, et du PR257+950 au PR 350+138, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE'S : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus, Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de
dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ; sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
1, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- Un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et paf délégation,
Le sous-préfet, directou de cabinet,

Eu
PREFETCabinetDES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
Egalité
Pett
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.013 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société COFIROUTE sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757 NANTERRE Cedex
pour l'autoroute A28
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrétés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ;
Vu la demande présentée par la société COFIROUTE le 24/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1"; Dans la limite de la demande susvisée, la société COFIROUTE est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A28, du PR 16+900
au PR 160+452, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
Pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de
dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ; sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de I'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par.
Le sous-préfet, di de cabinet,

PREFET iCabinetDES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Bali
Fraternité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024014 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société COFIROUTE sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757 NANTERRE Cedex
pour l'autoroute A71
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ;
Vu la demande présentée par la société COFIROUTE le 24/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1" ; Dans la limite de la demande susvisée, la société COFIROUTE est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A71, du PR 97+841
au PR 209+782, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure. .

: Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de
dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ; sont abrogé.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
+ un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- Un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET nCabinetDES RAUTSOEERINE Direction des Sécurités
Été
Fraise
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.015 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société COFIROUTE sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757 NANTERRE Cedex
pour l'autoroute A81
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du M
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ;
Vu la demande présentée par la société COFIROUTE le 24/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1" ; Dans la limite de la demande susvisée, la société COFIROUTE est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A81, du PR 174+300
au PR 268+294, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure. .

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de
dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ; sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 ; Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET 'Cabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
=,
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.016 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société COFIROUTE sise 1973
boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757 NANTERRE Cedex
pour l'autoroute Ags
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploit
vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ;tion de dispositifs de
Vu la demande présentée par la société COFIROUTE le 24/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1" ; Dans la limite de la demande susvisée, la société COFIROUTE est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute ABS, du PR O au PR
2064135, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure. .

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés listés en annexe du présent arrêté autorisant l'installation et l'exploitation de
dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société COFIROUTE ; sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
= BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et
Le sous-préfet, di ir de cabinet,

PREFET iCabinet
DES SAUTFPESEINE Direction des Sécurités
Part
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024017 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A1
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrétés CAB/DS/BPS n° 2019.122 du 18/02/2019, n° 2019.123 du 18/02/2019, n° 2019124 du
02/07/2019, n° 2019129 du 18/02/2019, n° 2019.484 du 05/06/2019 n° 2019.644 du 02/07/2019, n°
2019.648 du 02/07/2019, n° 2019.649 du 02/07/2019, n° 2019.787 du 02/07/2019, n° 2019788 du
20/08/2019, n° 2020.506 du 03/07/2020 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le S février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRETE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A1, du PR 18+0810
au PR 186+0916, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.

ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réal
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.122 du 18/02/2019, n° 2019123 du 18/02/2019, n° 2019.124
du 02/07/2019, n° 2019.129 du 18/02/2019, n° 2019.484 du 05/06/2019 n° 2019.644 du 02/07/2019, n°
2019.648 du 02/07/2019, n° 2019.649 du 02/07/2019, n° 201.787 du 02/07/2019, n° 2019.788 du
20/08/2019, n° 2020.506 du 03/07/2020 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
léoprotection délivrés à la société SANEF S.A sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
8P 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET ACabinetpan DONNEES Direction des Sécurités
Fami
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.018 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
Vexploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A2
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.265 du 17/04/2019 autorisant l'installation et l'exploitation d'un
dispositif de vidéoprotection délivré à la société SANEF S.A;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRETE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A2, du PR 040000 au
PR 42+0681, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure,

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
Pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : L'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.265 du 17/04/2019 autorisant l'installation et l'exploitation
d'un dispositif de vidéoprotection délivré à la société SANEF S.A est abrogé.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le ns etLe ae ect
OSAlégation,
'de cabinet,

PREFET ;Cabinet
Dae PPSEINE Direction des Sécurités
Fait
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.020 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A4
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L, 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.266 du 17/04/2019, n° 2019.267 du 17/04/2019, n°2019.268 du
17/04/2019, n° 2019.382 du 15/05/2019, n° 2019.483 du 05/06/2019 autorisant l'installation et l'exploitation
de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A4, du PR 1240700
au PR 474+0700, incluant les gares de péage et les aires de services,
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de
services préfectoraux.idéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.266 du 17/04/2019, n° 2019.267 du 17/04/2019, n°2019.268
du 17/04/2019, n° 2019.382 du 15/05/2019, n° 2019.483 du 05/06/2019 autorisant l'installation et
l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
8P 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET i CabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction desie Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.021 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A16
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L, 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019125 du 18/02/2019, n° 20191127 du 18/02/2019, n°2019128 du
18/02/2019, n°20191017 du 28/10/2019 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A ;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A16, du PR 20+0200
au PR 24640489, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019125 du 18/02/2019, n° 2019.127 du 18/02/2019, n°2019.128
du 18/02/2019, n°2019.1017 du 28/10/2019 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et pul des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur dé cabinet,

PREFET iCabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction des
ee Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.022 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
Vexploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A26
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n°2019.133 du 19/02/2019, n° 2019.264 du 17/04/2019, n°2019.381 du
15/05/2019, n° 2019.647 du 02/07/2019 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A,
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A26, du PR 140000
au PR 263+0701 et du PR 298+0465 au PR 373+0350, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : les arrêtés CAB/DS/BPS n°2019133 du 19/02/2019, n° 2019.264 du 17/04/2019, n°2019.381
du 15/05/2019, n° 2019.647 du 02/07/2019 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

En
PREFET
DES HAUTS-DE-SEINE
Liberté
Egalité
Praernité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.023 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A29
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.126 du 18/02/2019, n°2019.287 du 17/04/2019, n° 2019.646 du
02/07/2019 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société
SANEF S.A;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1: Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A29, du PR
127+0442 au PR 26340500, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
+ Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance. il devra fai
ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réal
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.s, la
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.126 du 18/02/2019, n°2019.287 du 17/04/2019, n° 2019.646
du 02/07/2019 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la
société SANEF S.A sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET isCabinet
DES HAUTS:DE-SEINE: Direction des Sécurités
Égalité
Fu
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.024 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A34
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1" : Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A34, du PR 1130000
au PR 115+0288, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure,
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé,
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
+ un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie ~ 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine,
Pour le préfet et
Le sous-préfet, di de cabinet,

PRÉFET :CabinetDES HAUTSDESEINE Direction des Sécurités
pce
Fit
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024025 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A314
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A314, du PR 0+0052
au PR 3+0402, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé,
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

EX
PRÉFETDES HAUTS-DE-SEINE Cabinetpes Direction des
om Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.026 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SANEF S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A344
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mi
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.1014 à 2019.1016 du 28/10/2019 autorisant l'installation et l'exploitation
de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A ;
Vu la demande présentée par la société SANEF S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1" : Dans la limite de la demande susvisée, la société SANEF S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A344, du PR 0+0000
au PR 9+0545, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.1014 à 2019.1016 du 28/10/2019 autorisant l'installation et
l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SANEF S.A sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative
11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et pat igation,
de cabinet,

Eg
PREFETCabinetDES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Pratt
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.027 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A13
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.132 du 19/02/2019, n° 2019.262 du 17/04/2019, n° 2019.263 du
17/04/2019, n° 2019.284 du 17/04/2019, n° 2019285 du 17/04/2019, n° 2019.383 du 15/05/2019, n°
2019.384 du 15/05/2019, n° 2019.651 du 02/07/2019, n° 2020.07 du 03/07/2020 autorisant l'installation et
l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SAPN S.A ;
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1; Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A13, du PR 25+0510
au PR 22240300, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.

ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ov d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019132 du 19/02/2019, n° 2019.262 du 17/04/2019, n° 2019.263
du 17/04/2019, n° 2019.284 du 17/04/2019, n° 2019.285 du 17/04/2019, n° 2019.383 du 15/05/2019, n°
2019.384 du 15/05/2019, n° 2019.651 du 02/07/2019, n° 2020.507 du 03/07/2020 autorisant l'installation
et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SAPN S.A sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par d
Le sous-préfet, directes

PREFET :Cabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
am
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.028 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A14
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministe
vidéosurveillance ;du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A14, du PR 5+0000
au PR 20+0851, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fic!
arrêté.nominatif et répond aux conditions fixées au présent
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
e dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
€ titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par
Le sous-préfet, di e cabinet,

PREFET àCabinet
DES HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Égalité
a
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.029 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
Vexploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A29
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.261 du 17/04/2019 et n°2019.286 du 17/04/2019 autorisant l'installation
et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SAPN S.A;
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la k
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A29, du PR 0+0000
au 16+0600 et du PR 23+0935 au 10740710, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés iduelles et de la vie
privée des individus, Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé,
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2019.261 du 17/04/2019 et n°2019.286 du 17/04/2019 autorisant
l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection délivrés à la société SAPN S.A sont
abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET aCabinet
DES HAUTSDESEINE Direction des Sécurités
Egalité
Fait
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.030 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A131
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L, 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techni
vidéosurveillance ;ves des systèmes de
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRETE
ARTICLE 1: Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A131, du PR 0+0000
au PR 14+0530, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article | 252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
éressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par.
Le owzation,
cabinet,

PREFET :CabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction des
Es Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.031 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A132
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.260 du 17/04/2019 aut
de vidéoprotection délivré à la société SAPN $.nt l'installation et l'exploitation de dispositifs
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRETE
ARTICLE 1"; Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A132, du PR 00000
au PR 5+0698, incluant les gares de péage et les aires de services
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
as visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ov autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : L'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019,260 du 17/04/2019 autorisant l'installation et l'exploitation de
dispositifs de vidéoprotection délivré à la société SAPN S.A est abrogé.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
1, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et p
Le sous-préfet, di

PREFETCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Fa
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.032 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A139
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223:1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2020.508 du 03/07/2020 autorisant l'installation et l'exploitation d'un dispositif
de vidéoprotection délivré à la société SAPN S.A;
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A139, du PR 040000
au PR 3+0200, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté
Toute modification du système de vidéoprotection doit
services préfectorauxl'objet d'une déclaration auprès des
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
Pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé,
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2020.508 du 03/07/2020 autorisant l'installation et l'exploitation
d'un dispositif de vidéoprotection délivré à la société SAPN S.A est abrogé.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative -
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET |CabinetDES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
cm
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.033 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A150
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A150, du PR 1140177
au PR 3240919, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprote
services préfectoraux.n doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
= BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et p gation,
df de cabinet,

PREFET 7Cabinet
Dey MAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Egalité
Patent
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.034 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A151
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1"; Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A151, du PR 6+0387
au PR 17+0717, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotec
services préfectoraux.n doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R, 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire où d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
1, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET .DES HAUTS-DE-SEINE Cabinettet rection des
= Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.035 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A154
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A154, du PR 00000
au PR 8+0150, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
doment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4:Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.

ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent étre dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ov autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
téressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
1, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, direct

PREFET .
DES HAUTS-DE-SEINE Cabinet
Fite Direction des
emt Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.036 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société SAPN S.A sise 30 bd
Gallieni 92130 Issy-les-Moulineaux pour l'autoroute A813
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.650 du 02/07/2019 autorisant l'installation et l'exploitation d'un dispositif
de vidéoprotection délivré à la société SAPN S.A ;
Vu la demande présentée par la société SAPN S.A le 23/01/2024 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ;
ARRÊTE
ARTICLE 1" : Dans la limite de la demande susvisée, la société SAPN S.A est autorisée à installer et
exploiter un périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute AB13, du PR 0+0000
au PR 3+0849, incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.
ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

€ titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ov d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 06 jours.
ARTICLE 7: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.650 du 02/07/2019 autorisant l'installation et l'exploitation
d'un dispositif de vidéoprotection délivré à la société SAPN S.A est abrogé.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, di de cabinet,

PREFET ACabinet
DES HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Égalité
Pamié
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.037 du 6 février 2024 modifiant l'autorisation d'exploiter
un système de vidéoprotection délivré à BANQUE POPULAIRE VAL DE FRANCE sis 35
rue de la République 92190 MEUDON
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2022.555 du 29/06/2022, autorisant l'exploitation d'un système de
vidéoprotection délivré à l'établissement BANQUE POPULAIRE VAL DE FRANCE sis 5 rue Tony Garnier
92100 Boulogne-Billancourt ;
Vu la demande présentée par l'établissement BANQUE POPULAIRE VAL DE FRANCE, enregistrée sous le
numéro 20090240;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : L'article 1 de l'arrêté CAB/DS/BPS n° 202.555 du 29/06/2022 est modifié comme suit :
« l'établissement BANQUE POPULAIRE VAL DE FRANCE est autorisé à installer et exploiter un système de
vidéoprotection, sis 35 rue de la République 92190 Meudon.
Il est composé de 5 caméras intérieures et 1 caméra voie publique »
Le reste de l'article 1 de l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2022.555 du 29/06/2022 est sans changement.
L'exploitation du système est valable jusqu'au 29 juin 2027.
ARTICLE 2: Les autres dispositions et prescriptions figurant dans l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2022.555 du
29/06/2022 restent inchangées.
ARTICLE 3 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :

- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative ~
1, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 4 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directes

PREFETCabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Framisé
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.038 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement BRED
BANQUE POPULAIRE sis 34 rue Saint-Denis 92700 Colombes
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe);
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement BRED BANQUE POPULAIRE, enregistrée sous le
numéro 20120766 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement BRED BANQUE POPULAIRE,
est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 34 rue Saint-Denis 92700
Colombes,
I est composé de 4 caméras intérieures, 1 caméra voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, dires 'cabinet,

PREFET .Cabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
=,
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.039 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement BRED
BANQUE POPULAIRE sis 2 place Simone et Antoine Veil 92800 Puteaux
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 22341 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement BRED BANQUE POPULAIRE, enregistrée sous le
numéro 20120765 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement BRED BANQUE POPULAIRE,
est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 2 place Simone et Antoine
Veil 92800 Puteaux.
Il est composé de 4 caméras intérieures, 2 caméras voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
is le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7:: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative 1, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur déÆabinet,

PREFET FCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Egalité
foal
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.040 du 6 février 2024 renouvelant l'autorisation
d'exploiter un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CCF RUEIL
sis 117 avenue Paul Doumer 92500 Rueil-Malmaison
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CCF RUEIL enregistrée sous le numéro 20110657 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CCF RUEIL est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 117 avenue Paul Doumer 92500 Rueil-
Malmaison
Il est composé de 3 caméras intérieures, 1 caméra voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autor
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le présent arrêté abroge l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2018.139 du 19/02/2019.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publi
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directs abinet,

PREFET :Cabinet
DES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
Égalisé
Fait
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.041 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CIC
MONTROUGE sis 81 avenue de la République 92120 MONTROUGE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CIC MONTROUGE, enregistrée sous le numéro
20084271 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CIC MONTROUGE, est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 81 avenue de la République
92120 MONTROUGE
Il est composé de 8 caméras intérieures, 1 caméra vole publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout inc
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

EX
PRÉFETCabinet
DES HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Feat
Fais
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.042 du 6 février 2024 renouvelant l'autorisation
d'exploiter un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CAISSE
REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL PARIS ILE-DE-FRANCE sis 25 rue
Saint-Denis 92700 Colombes
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 23 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE
MUTUEL PARIS ILE-DE-FRANCE enregistrée sous le numéro 19972220 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CAISSE REGIONALE DU
CREDIT AGRICOLE MUTUEL PARIS ILE-DE-FRANCE est autorisé, à installer et exploiter un système
de vidéoprotection sis 25 rue Saint-Denis 92700 Colombes
lest composé de 8 caméras intérieures, 1 caméra voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative — 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le présent arrêté abroge l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.276 du 17/04/2019.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par dél
Le soups, Sas
a

En
PREFETCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
Prete
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.043 du 6 février 2024 renouvelant l'autorisation
d'exploiter un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CAISSE
REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL PARIS ILE-DE-FRANCE sis 50
avenue Jean Jaures 92110 CLICHY
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillanc:
Vu la demande présentée par l'établissement CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE
MUTUEL PARIS ILE-DE-FRANCE enregistrée sous le numéro 20120123 ;
Vu l'avis émis le § février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CAISSE REGIONALE DU
CREDIT AGRICOLE MUTUEL PARIS ILE-DE-FRANCE est autorisé, à installer et exploiter un système
de vidéoprotection sis 50 avenue Jean Jaures 92110 CLICHY.
Il est composé de 6 caméras intérieures, 1 caméra voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doi
des services préfectoraux.faire l'objet d'une déclaration auprès
ARTICLE 2 ; Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
ra pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le présent arrêté abroge l'arrêté CAB/DS/8PS n° 2019.272 du 17/04/2019.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directes inet,

PREFET :Cabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
=.
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.044 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement LE
CREDIT LYONNAIS 564 sis 388 avenue d'Argenteuil 92600 Asniéres-sur-Seine
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement LE CREDIT LYONNAIS 564, enregistrée sous le
numéro 20120123 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement LE CREDIT LYONNAIS 564,
est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis388 avenue d'Argenteuil
92600 Asnières-sur-Seine.
Il est composé de 4 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative 1, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur dé gabinet,
>

PREFET FCabinetDES HAUTS-DESSEINE Direction des Sécurités
Fm
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.045 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
SOCIETE GENERALE sis 83 rue de Bezons 92400 Courbevoie
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement SOCIETE GENERALE, enregistrée sous le numéro
20120123 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement SOCIETE GENERALE, est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 83 rue de Bezons 92400
Courbevoie
Il est composé de 3 caméras intérieures, 2 caméras voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introdi
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur d

PREFET ñCabinetpes HAUTS-DESFINE Direction des Sécurités
Fraemitt
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024046 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à la société ASF - Autoroutes du Sud
de la France sise 1973 boulevard de la Défense - Bâtiment HYDRA - CS 10268 - 92757
NANTERRE Cedex pour l'autoroute A66
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de préfet
des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéosurveillance ;
Vu les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2021.116 à n° 2021.117 du 11/02/2021,n° 2021.125 du 11/02/2021, n° 2021.795
à n° 2021.796 du 23/09/2021 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de vidéoprotection
délivrés à la société ASF ;
Vu la demande présentée par la société ASF le 29/01/2023 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabir
ARRÊTE
ARTICLE 1": Dans la limite de la demande susvisée, la société ASF est autorisée à installer et exploiter un
périmètre vidéoprotégé sur le tracé et les infrastructures de l'autoroute A66, du PR 0,000 au PR 39,004,
incluant les gares de péage et les aires de services.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au présent
arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être visionnées
par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure individuellement désignés et
dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention d'accès aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent arrêté,
il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date d'échéance.

ARTICLE 4 :Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLES : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée des individus. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne
as visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après que
l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement aux
dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Les arrêtés CAB/DS/BPS n° 2021.116 à n° 2021117 du 11/02/2021,n° 2021.12 du 11/02/2021,
n° 2021.795 à n° 2021.796 du 23/09/2021 autorisant l'installation et l'exploitation de dispositifs de
vidéoprotection délivrés à la société ASF sont abrogés.
ARTICLE 11 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative —
11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- Un recours contentieux, devant le tribunal admi
~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.ratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Ha
ARTICLE 12 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par
Le sous-préfet, directeur dé cabinet,

PREFETCabinetDES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
Fat
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.047 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement THIRIET
sis 9 boulevard Jean Jaurès 92100 Boulogne-Billancourt
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement THIRIET, enregistrée sous le numéro 2022048
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement THIRIET, est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 9 boulevard Jean Jaurès 92100 Boulogne-
Billancourt.
Il est composé de 4 caméras intérieures,
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
"Haut - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publi
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,Le ie dir decat

PREFET iCabinet
DES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
Été
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.048 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement UGC CINECITE
LA DEFENSE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement UGC CINE CITE LA DEFENSE, enregistrée sous le
numéro 2019017:
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement UGC CINE CITE LA DEFENSE est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sur un périmètre délimité par les
adresses suivantes au Centre commercial Westfield les 4 temps à Puteaux :
+ Voie Georges Hutin
+ Passerelle du Couchant
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
nnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3: Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur de-cabinet,

PREFET iCabinetDES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
ett
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.049 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement RESIDE
ETUDES SENIORS sis 9 rue Yves Cariou à Marnes- la Coquette
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement RESIDE ETUDES SENIORS , enregistrée sous le
numéro 20231040 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'étal sement RESIDE ETUDES SENIORS , est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 9 rue Yves Cariou à Marnes-la
Coquette.
est composé de 1 caméra intérieure et 1 caméra extérieure.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent étre dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur deeSbinet,

PREFET iCabinet
DES HALTS DESEINE Direction des Sécu
Égalité
Parité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.050 du 6 février 2024 renouvelant l'autorisation
d'exploiter un système de vidéoprotection délivré à l'établissement ZARA
FRANCE sis 5 rue Tony Garnier 92100 Boulogne-Billancourt
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement ZARA FRANCE, enregistrée sous le numéro
20120335 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement ZARA FRANCE est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 5 rue Tony Garnier 92100 Boulogne-
Billancourt.
Il est composé de 18 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de
des services préfectorauxléoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le présent arrêté abroge l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.174 du 25/02/2019.
ARTICLE 11 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET :CabinetDES HAUCS-DESEINE Direction des Sécurités
Heatet
armé
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.051 du 6 février 2024 renouvelant l'autorisation
d'exploiter un système de vidéoprotection délivré à l'établissement LA VIE
CLAIRE sis 46 rue d'Estienne d'Orves 92270 Bois-Colombes
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement LA VIE CLAIRE, enregistrée sous le numéro
2019015
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement LA VIE CLAIRE est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 46 rue d'Estienne d'Orves 92270 Bois-
Colombes
Il est composé de 7 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recuell des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le présent arrêté abroge l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.305 du 17/04/2019.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur. inet,

PREFETCabinetDES HAUTS-DESFINE Direction des Sécurités
'ale
Fait
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.052 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement LA VIE
CLAIRE sis 19 rue du Gouverneur Général Eboué 92180 Issy-les-Moulineaux
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement LA VIE CLAIRE, enregistrée sous le numéro
20180264 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement LA VIE CLAIRE, est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 19 rue du Gouverneur Général Eboué
'92180 Issy-les-Moulineaux.
Il est composé de 7 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur déabinet,

PREFET °Cabinet
DES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
oa
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.053 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour les stations « Asnières
Gennevilliers Les Courtilles », « Les Agnettes », « Gabriel Péri » ligne 13 du métro
située dans le département des Hauts-de-Seine
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20231074;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposi ion du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS - RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à 92600 ASNIERES-SUR-SEINE :
+ Angle avenue de la Redoute/Boulevard intercommunal
'+ Face 9 rue Emile Zola
+ 19 rue des Bas/Rue Gabriel Péri
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article 1252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE § : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle à été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur

PREFET 7Cabinet
DES HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Egat
Fi
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.054 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour la station « Châtillon
Montrouge » sis à Châtillon ligne 13 du métro située dans le département des Hauts-
de-Seine
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20231071;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS - RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à CHATILLON :
+183 avenue de la République
* avenue Max Dormoy
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
Visionnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3: Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recuell
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET jiCabinet
ag DESEINE Direction des Sécurités
Fait
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024055 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour la station « Mairie de
Clichy » sis à Clichy ligne 13 du métro située dans le département des Hauts-de-
Seine
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20231068;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à CLICHY:
+ 89 rue Martre
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3: Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE § : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire où d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET :Cabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
=,
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.056 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour les stations « Malakoff
Plateau de Vanves », « Malakoff Rue Etienne Dolet » ligne 13 du métro située dans le
département des Hauts-de-Seine
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20231069;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS ~ RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à MALAKOFF
© face au 49 rue Edgard Quinet
+ Boulevard Charles de Gaulle
+87 rue Guy Mocquet
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article 1252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3: Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE § : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur de cabinet,

PREFET ;Cabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
=,
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.057 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
CLINIQUE DU VAL D'OR sis 14-16 rue Pasteur à Saint-Cloud
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CLINIQUE DU VAL D'OR, enregistrée sous le
numéro 20231059 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CLINIQUE DU VAL D'OR, est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 14-16 rue Pasteur à Saint-
Cloud.
Il est composé de 10 caméras extérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité inté

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publi
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur

PREFETCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
it
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.058 du 6 février 2024 autorisant I'
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement MC
DONALD'S EST PARISIEN LA DEFENSE RATP sis Place des Echanges à PUTEAUX
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qu:
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;de
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement MC DONALD'S EST PARISIEN LA DEFENSE RATP,
enregistrée sous le numéro 20231075 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement MC DONALD'S EST PARISIEN
LA DEFENSE RATP, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis place
des Échanges à Puteaux.
Il est composé de 19 caméras intérieures.
Les caméras intérieures situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été soumises pour
avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet d'une
autorisation préfectorale dans le cadre du présent arrêté.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 20 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET ,Cabinet
DES HAUTS DESEINE Direction des Sécurités
pm
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.059 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement Mondial
Relay- CONSIGNE N°22318 sis 5 bd Georges Clemenceau 92400 COURBEVOIE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE N°22318, enregistrée
sous le numéro 20231076 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE
N°22318, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 5 bd Georges
Clemenceau 92400 COURBEVOIE
I est composé de 1 caméra intérieure.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
formation judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 ~ 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeurdetabinet,

PREFET iCabinetDES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
Elite
Fraerité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.060 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement Mondial
Relay- CONSIGNE N°23331 sis 47 rue des Benards à FONTENAY AUX ROSES
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE N°23331, enregistrée
sous le numéro 20231077 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE
N°23331, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 47 rue des
Benards à FONTENAY AUX ROSES
lest composé de 2 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE § : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susce
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur.

PREFETCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
Fit
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.061 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement Mondial
Relay - CONSIGNE N°23332 sis 5 rue Tony Garnier 92100 BOULOGNE
BILLANCOURT
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE N°23332, enregistrée
sous le numéro 20231078 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE
N°23332, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 5 rue Tony
Garnier 92100 BOULOGNE BILLANCOURT
lest composé de 2 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative 1, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délég:
Le sous-préfet, directeur

PREFET 'CabinetDes HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
'elie
Fe
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.062 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement Mondial
Relay- CONSIGNE N°23333 sis 80 av Marceau 92400 COURBEVOIE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE N°23333, enregistrée
sous le numéro 20231079 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE
N°23333, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 80 avenue
Marceau 92400 COURBEVOIE
Il est composé de 1 caméra extérieure.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-di
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au péti
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délég
Le sous-préfet, directeur de

PREFET iiCabinetad HAUTS-DESFINE Direction des Sécu
Praternitt
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.063 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement Mondial
Relay- CONSIGNE N°022358 sis 23 rue Georges Boisseau à CLICHY
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE N°022358, enregistrée
sous le numéro 20231080 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE
N°022358, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 23 rue Georges
Boisseau à CLICHY
Il est composé de 1 caméra intérieure.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine,
Pour le préfet et par délégation,
le aes abinet,

PREFET iCabinetDes HAVIS-DESEINE Direction des Sécurités
Egalité
Pitt
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.064 du 6
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement Mondial
Relay- CONSIGNE N°24159 sis 9 rue du Commandant d'Estienne d'Orves 92390
VILLENEUVE LA GARENNE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE N°24159, enregistrée
sous le numéro 20231077 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE
N°23331, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 9 rue du
Commandant d'Estienne d'Orves 92390 VILLENEUVE LA GARENNE
Il est composé de 2 caméras extérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES
information jujormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
aire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
-un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur de/cabinet,

PREFET jCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Été
Prsernitt
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.065 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement Mondial
Relay - CONSIGNE N°18837 sis boulevard François Vincent Raspail 92000
NANTERRE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE N°18837, enregistrée
sous le numéro 20231082 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement Mondial Relay - CONSIGNE
N°18837, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis sis boulevard
François Vincent Raspail 92000 NANTERRE
Il est composé de 2 caméras exterieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, dire: cabinet,

PREFET ñCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Epalicé
Fraternité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024066 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
MONTROUGE IMMO sis 137 av de la République à Montrouge
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de mor
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;ur Laurent HOTTIAUX en qualité de
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement MONTROUGE IMMO, enregistrée sous le numéro
20240015 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement MONTROUGE IMMO est
autorisé à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 137 av de la République à
Montrouge
Il est composé de 2 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le Fr

PREFET .CabinetDES HAUTSDE-SEINE Direction des Sécurités
Ft
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.067 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement MAY
CARE CONCEPT sis 125 av Henri Ravera à Bagneux
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nor
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;ation de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant défi
systèmes de vidéosurveillance ;ition des normes techniques des
Vu la demande présentée par l'établissement MAY CARE CONCEPT, enregistrée sous le numéro
20230818 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement MAY CARE CONCEPT est
autorisé à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 125 av Henri Ravera à Bagneux
Il est composé de 2 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R, 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmis
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 07 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFETCabinetDes DONS eee Direction des Sécurités
ie
Praterité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.068 du 6 février 2024 renouvelant l'autorisation
d'exploiter un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
MARIONNAUD - SITE 4115 sis 110 avenue Charles de Gaulle 92200 Neuilly-sur-Seine
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement MARIONNAUD - SITE 4115 enregistrée sous le
numéro 20084216 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement MARIONNAUD - SITE 4115
est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 110 avenue Charles de
Gaulle 92200 Nevilly-sur-Seine
Il est composé de 6 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 ; Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le présent arrêté abroge l'arrêté CAB/DS/BPS n° 2019.315 du 17/04/2019.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET iCabinetES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Egalité
Pratrité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.069 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement NEW
YORKER FRANCE sis 15 parvis de la Défense - Centre Commercial Westfield Les
4 Temps 92092 Puteaux
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement NEW YORKER FRANCE, enregistrée sous le numéro
20230803 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement NEW YORKER FRANCE, est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 15 parvis de la Défense -
Centre Commercial Westfield Les 4 Temps 92092 Puteaux
lest composé de 13 caméras intérieures.
Les caméras intérieures n°14 et 15 situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été
soumises pour avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet
d'une autorisation préfectorale dans le cadre du présent arrêté
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage sait interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeurg@ cabinet,

PREFETCabinet
DES HAUTSDESEINE Direction des Sécurités
Eealite
Prat
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.070 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
HEXAGON FRANCE sis 15 Parvis de la Défense - Centre Commercial Westfield
Les 4 Temps 92800 Puteaux
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement HEXAGON FRANCE, enregistrée sous le numéro
20220699 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement HEXAGON FRANCE , est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 15 Parvis de la Défense —
Centre Commercial Westfield Les 4 Temps 92800 Puteaux
Il est composé de 4 caméras intérieures.
Les caméras intérieures situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été soumises pour
avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet d'une
autorisation préfectorale dans le cadre du présent arrêté
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée, Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé,
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur dé cabinet,

PREFET jCabinet
DES HAUTS:DESEINE Direction des Sécurités
pon
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.071 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
COGEDIM RESIDENCES SERVICES Résidence COGEDIM CLUB PROMENADE
MOZART sis 2 allée Gisèle Halimi 92110 Clichy-la-Garenne
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement COGEDIM RESIDENCES SERVICES Résidence
COGEDIM CLUB PROMENADE MOZART , enregistrée sous le numéro 20230565 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement COGEDIM RESIDENCES
SERVICES Résidence COGEDIM CLUB PROMENADE MOZART, est autorisé, à installer et exploiter
un système de vidéoprotection sis 2 allée Gisèle Halimi 92110 Clichy-1a-Garenne
Il est composé de 2 caméras intérieures.
Les 8 caméras intérieures situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été soumises pour
avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet d'une
autorisation préfectorale dans le cadre du présent arrêté.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE § : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil ~ BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur&é cabinet,

PREFET FCabinet
D UE ee Direction des Sécurités
Égulité
Prana
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.072 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement SAINT
CLOUD BIO sis64 boulevard de la République 92210 Saint-Cloud
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement SAINT CLOUD BIO, enregistrée sous le numéro
20171060 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement SAINT CLOUD BIO, est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 64 boulevard de la République
92210 Saint-Cloud
Il est composé de 14 caméras intérieures.
Les caméras intérieures n°2 et 15 situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été
soumises pour avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet
d'une autorisation préfectoral dans le cadre du présent arrêté.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE'S : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage s à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer — direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur decabinet,

PREFET iCabinet
DES RAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
Fit
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.073 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement F.D.R.
DISTRIBUTION sis 5 rue Théophile Gautier 92120 Montrouge
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement F.D.R. DISTRIBUTION , enregistrée sous le numéro
20240028;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement F.D.R. DISTRIBUTION est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 5 rue Théophile Gautier 92120
Montrouge
Il est composé de 12 caméras intérieures.
Les 4 caméras intérieures situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été soumises pour
avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet d'une
autorisation préfectorale dans le cadre du présent arrêté.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée,
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur de
=
as

PREFET "CabinetDe HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Fait
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.074 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
ENTREPOTS NORMANDS - CAVES BERIGNY sis 76 boulevard Jean Jaurès
921110 Clichy-la-Garenne
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement ENTREPOTS NORMANDS - CAVES BERIGNY,
enregistrée sous le numéro 2024003:
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement ENTREPOTS NORMANDS —
CAVES BERIGNY, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 76
boulevard jean Jaurès 921110 Clichy-la-Garenne
Il est composé de 4 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 20 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publ
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par dé
Le sous-préfet, di
=cabinet,

PREFETCabinetDES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Pet
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.075 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
DISTRILEVALLOIS - FRANPRIX sis 68 rue Jules Guesde 92300 Levallois-Perret
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement DISTRILEVALLOIS - FRANPRIX , enregistrée sous le
numéro 20240051 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement DISTRILEVALLOIS - FRANPRIX
est autorisé à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 68 rue Jules Guesde 92300
Levallois-Perret.
Il est composé de 13 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie —92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET ;Cabinet
DES HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Égalité
com
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.076 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CELIAL
-FRANPRIX sis 78 rue Armand Sylvestre 92400 Courbevoie
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CELIAL - FRANPRIX, enregistrée sous le numéro
20180159 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CELIAL - FRANPRIX est
autorisé à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 78 rue Armand Sylvestre 92400
Courbevoie
Il est composé de 20 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur

PREFETCabinet
DES HAUT? DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
=
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.077 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement BNP PARIBAS
REAL ESTATE sis 50 cours de l'Ile Seguin 92100 BOULOGNE-BILLANCOURT
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement BNP PARIBAS REAL ESTATE , enregistrée sous le numéro
20240060 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement BNP PARIBAS REAL ESTATE est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sur un périmètre délimité par les
adresses suivantes à BOULOGNE-BILLANCOURT:
+ 50 cours de l'Île Seguin
+197 rue du vieux pont de Sèvres
+ 67 quai Georges Gorce
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ov d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur dé cabinet,

PREFET ïCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Egalité
,
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.078 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
AUCHAN sis 5 rue Bergeret 92330 SCEAUX
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techi
systèmes de vidéosurveillance ;es des
Vu la demande présentée par l'établissement AUCHAN, enregistrée sous le numéro 20230258 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement AUCHAN est autorisé à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis § rue Bergeret 92330 SCEAUX.
Il est composé de 18 caméras intérieures, 1 camera extérieure.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R, 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée, Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
VHautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

EX
PRÉFETDES HAUTS-DE-SEINE Cabinet
Direction des Liberté t
ae, Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.079 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement HOTEL
ASTOR sis 30 avenue du Général de Gaulle à Suresnes
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement HOTEL ASTOR, enregistrée sous le numéro
20180278 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement HOTEL ASTOR, est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 30 avenue du Général de Gaulle à
Suresnes.
Il est composé de 2 caméras intérieures.
Les 7 caméras intérieures situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été soumises pour
avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet d'une
autorisation préfectorale dans le cadre du présent arrêté.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
jormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
re, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, dir 'eabinet,

PREFET 7CabinetDES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
eat
Parité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.080 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement LOVISA
sis Centre commercial les 4 Temps 92800 PUTEAUX
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement LOVISA, enregistrée sous le numéro 20210679 ;
Vu l'avis émis le S février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement LOVISA, est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis Centre Commercial Les 4 Temps 92800
Puteaux
Il est composé de 3 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 82013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur dé cabinet,
pee

PREFET .Cabinet
DES HAUTSDESEINE Direction des Sécurités
Égalité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.081 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
SYNDICAT DE COPROPRIETE 55EZ sis 57 bd Emile Zola à Nanterre
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement SYNDICAT DE COPROPRIETE SSEZ, enregistrée
sous le numéro 20240061;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ans la limite de la demande susvisée, l'établissement SYNDICAT DE COPROPRIETE
SSEZ, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 57 bd Emile Zola à
Nanterre
Il est composé de 1 caméra voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/17 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer ~ direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET aie
ee HAUTS:DE-SEINE Direction des Sécurités
Fret
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.082 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
RUMALDIS SAS sis 4-6 avenue de Colmar à Rueil-Malmaison
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement RUMALDIS SAS, enregistrée sous le numéro
20220816 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement RUMALDIS SAS, est autorisé,
à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 46 avenue de Colmar à Rueil
Malmaison.
Il est composé de 7 caméras intérieures, 1 caméra voie publique.
Les 5 caméras intérieures situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été soumises pour
avis à la commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet d'une
autorisation préfectorale dans le cadre du présent arrêté.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET .CabinetDes HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Egalité
Frater
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.083 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour les stations de la ligne 10
situées à Boulogne-Billancourt
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20140029;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-S
ARRETE
ARTICLE 1: Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS ~ RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à BOULOGNE-BILLANCOURT:
+ rond-point Rhin et Danube
* 42 boulevard Jean Jaurès - rue du Château
Le dispositif n'est pas destiné à
présent arrêté.imenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article 1252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET ACabinet
D Be HAUTS-DE-SEINE Direction des Sécurités
Fraternité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.084 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour les stations de la ligne 03
situées à Levallois-Perret
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20140027;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS - RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à LEVALLOIS-PERRET :
+ 152-153 rue Anatole France
+ 13 place du Général Leclerc
+15 rue Anatole France - Face au 39 rue Louise Michel
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article 1252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer ~ direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PRÉFET 7DES HAUTS-DE-SEINE Cabinet er
Liberté Direction des Sécurités
Egalité
Fait
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.085 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour les stations de la ligne 12
situées à Issy-les-Moulineaux
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20140030;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS — RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à ISSY-LES-MOULINEAUX:
+ place Vaillant Couturier
+ rue du Général Leclerc - avenue de la République
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur d

PREFET ïCabinetDES MAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
ey
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.086 du 6 février 2024 autorisant installation et
Vexpl ion d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour les stations de la ligne 01
situées à Neuilly-sur-Seine
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223+ et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20240112;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
on du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS ~ RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à NEUILLY-SUR-SEINE:
+ 64-68 et 103 avenue Charles de Gaulle
+ 168 et 205 avenue Charles de Gaulle
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrété, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ov d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur deabinet,

PREFET .CabinetDES HAUTS-DE SEINE Direction des Sécurités
gaite
Pratritt
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.087 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement REGIE
AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS - RATP pour les stations de la ligne 1
situées à Puteaux
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement REGIE AUTONOME DES TRANSPORTS PARISIENS,
enregistrée sous le numéro 20140004;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement REGIE AUTONOME DES
TRANSPORTS PARISIENS - RATP est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection
sur un périmètre délimité par les adresses suivantes à PUTEAUX :
+ esplanade du général de Gaulle
+ place Carpeaux
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique men
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.Anant les
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 15 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, di fe cabinet,
SA

PREFET isCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
Fu
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.088 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CAISSE
D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE sis 231 bd Gallieni 92390 VILLENEUVE LA
GARENNE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE, enregistrée
sous le numéro 19982755;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE
FRANCE, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 231 bd Gallieni
92390 VILLENEUVE LA GARENNE
Il est composé de 9 caméras intérieures, 2 caméras voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, di cabinet,

PREFET ;Cabinet
DES HAUTS:DE-SEINE Direction des Sécurités
Fait
pout
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.089 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CAISSE
D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE sis 84 rue Antoine Ucicaut 92260 FONTENAY AUX
ROSES
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE, enregistrée
sous le numéro 20120083 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE
FRANCE, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 84 rue Antoine
Ucicaut 92260 FONTENAY AUX ROSES
Il est composé de 5 caméras intérieures, 2 caméras voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 ; Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.

ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée,
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies — 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, di

PREFET ;CabinetDES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Fraernitt
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.090 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CAISSE
D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE sis 23 rue de Normandie 92600 ASNIÈRES SUR SEINE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE, enregistrée
sous le numéro 20120427 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE
FRANCE, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 23 rue de
Normandie 92600 ASNIERES SUR SEINE
Il est composé de 5 caméras intérieures, 2 caméras voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure,

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE S : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
= un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PRÉFET iiCabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction des
eet Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.091 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CAISSE
D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE sis 93 rue Sadi Carnot 92170 VANVES
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE, enregistrée
sous le numéro 20120048 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE
FRANCE, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 93 rue Sadi
Carnot 92170 VANVES
Il est composé de 8 caméras intérieures, 2 caméras voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fic!
présent arrêté.nominatif et répond aux conditions fixées au
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3 : Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet,
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à i
n'a pas été préalablement habi ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/17 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeurge cabinet,

Eu
PREFETCabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction des
ECM
Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.092 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement CAISSE
D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE sis 13/14 place de la Défense 92400 COURBEVOIE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le eV;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE FRANCE, enregistrée
sous le numéro 20120054 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement CAISSE D'ÉPARGNE ILE DE
FRANCE, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 13/14 place de la
Défense 92400 COURBEVOIE
Il est composé de 6 caméras intérieures, 2 caméras voie publique.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'i
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout indi
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies ~ 75800 Paris cedex 08.
un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFETCabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction des
mu SécuritésFraternité
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.093 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement BASIC
FIT II sis 31 bis rue Madame de Sanzillon à Clichy
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement BASIC FIT Il, enregistrée sous le numéro 20240138;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement BASIC FIT II est autorisé, à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 31 bis rue Madame de Sanzillon à Clichy
Il est composé de 1 caméra intérieure.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6: L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur-de cabinet,

PREFET aCabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Breit
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.094 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un périmètre vidéoprotégé délivré à l'établissement
STMICROELECTRONICS Frances SAS
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement STMICROELECTRONICS Frances SAS , enregistrée sous
le numéro 20230958 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement. STMICROELECTRONICS Frances
SAS est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sur un périmètre délimité par
les adresses suivantes à MONTROUGE:
«134 av Aristide Briand
«2 avenue d'Arcueil
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, être
visionnées par les agents mentionnés à l'article L252-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dûment habilités, selon les modalités figurant dans la convention
d'accès aux images conclue à cet effet.

ARTICLE 3: Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 5 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE 6 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la
vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 8 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n'a pas été
préalablement habilité ou autorisé,
ARTICLE 9 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des
conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 10 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 167/177 avenue
Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
= un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pont
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.sis 2-4, boulevard de
ARTICLE 11: Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil
des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par.
Le sous-préfet, direet@0r de cabinet,

PREFET i CabinetDES HAUTS-DE-SEINE Direction desF0 Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.095 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement RITM
BOULOGNE-BILLANCOURT sis 18 rue de la Saussière à Boulogne-Billancourt
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement RITM BOULOGNE-BILLANCOURT, enregistrée sous
le numéro 20230901 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement RITM BOULOGNE-
BILLANCOURT, est autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 18 rue de la
Saussière à Boulogne-Billancourt.
Il est composé de 2 caméras intérieures.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer ~ direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.

PREFET i CabinetDe HAUTS-DE-SEINE Directi ion desie Sécurités
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.096 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
EUROPCAR FRANCE sis 27 rue du Port 92000 Nanterre
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V ;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement EUROPCAR FRANCE, enregistrée sous le numéro
20230979 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commis ion départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement EUROPCAR FRANCE, est
autorisé, à installer et exploiter un système de vidéoprotection sis 27 rue du Port 92000
Nanterre.
Il est composé de 1 caméra intérieure, 2 caméras extérieures,
Les caméras situées dans des espaces intérieurs privés, n'ont pas été soumises pour avis à la
commission départementale de vidéoprotection, et ne font pas l'objet d'une autorisation
préfectorale dans le cadre du présent arrêté.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux.

ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cing ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.
ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLES : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 28 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative - 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil - BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délégation,
Le sous-préfet, directeur.dé cabinet,

PRÉFET |Cabinet
DES HAUTS-DESEINE Direction des Sécurités
Égalité
Fami
Arrêté CAB/DS/BPS N° 2024.097 du 6 février 2024 autorisant l'installation et
l'exploitation d'un système de vidéoprotection délivré à l'établissement
FITNESS PARK sis Centre commercial Quartz 92390 VILLENEUVE LA GARENNE
Le Préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment l'article L. 223-1 et le titre V;
Vu le décret du 29 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine (hors classe) ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 modifié portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'établissement FITNESS PARK, enregistrée sous le numéro
20180159 ;
Vu l'avis émis le 5 février 2024 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
Sur proposition du sous-préfet directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine,
ARRETE
ARTICLE 1 : Dans la limite de la demande susvisée, l'établissement FITNESS PARK est autorisé à
installer et exploiter un système de vidéoprotection sis Centre commercial Quartz 92390
VILLENEUVE LA GARENNE.
Il est composé de 1 caméra intérieure.
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif et répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès
des services préfectoraux
ARTICLE 2 : Ce dispositif est autorisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du
présent arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa
date d'échéance.
ARTICLE 3; Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant
les informations prévues à l'article R. 253-6 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE 4 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements
réalisés, la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au
parquet.
ARTICLE 5 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
ARTICLE 6 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et
de la vie privée, Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin
de ne pas visionner les lieux privés et les moyens de paiement.
ARTICLE 7 : Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir
sur le dispositif et veille à ce que l'accès à la salle de visionnage soit interdit à tout individu qui
n'a pas été préalablement habilité ou autorisé.
ARTICLE 8: Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra
après que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
ARTICLE 9 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de la publication au recueil des
actes administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet -
167/177 avenue Joliot-Curie - 92013 Nanterre cedex.
- un recours hiérarchique, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer - direction des
libertés publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police
administrative ~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08.
- un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de
l'Hautil- BP 30322 - 95027 Cergy-Pontoise CEDEX.
ARTICLE 10 : Le sous-préfet, directeur de cabinet du préfet des Hauts-de-Seine est chargé de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-Seine.
Pour le préfet et par délés
Le sous-préfet, directeur

Eu Cabinet
PRÉFET Direction des sécurités
DES HAUTS-DE-SEINE
Lien
72
Prateraite
Arrêté CAB/DS/BPS n° 2024.98 du 29 janvier 2024 autorisant l'exploitation oun
système de vidéoprotection délivré à l'association AGENA pour l'école primaire
privée Marianne Ficard située & rue Routard 92200 Neuilly-sur-Seine
Le préfet des Hauts-de-Seine
Chevalier de l'Ordre National du Mérite
Chevalier de ia légion d'Honneur
We le cocie de la sécurité intérieure ;
Wu le décret du 28 juillet 2020 portant nomination de monsieur Laurent HOTTIAUX en qualité de
préfet des Hauts-de-Seine {hors classe) ;
We l'arrêté ministériel du 3 2001 2007 modifié portant définition des normes techniques des systèmes
de vidéosurveillance ;
Vu la demande présentée par l'association AGENA, enregistrée sous le 20240859 ;
Vul'avis émis le 13 novembre 2023 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Constdérant que le système répond aux finalités prévues par la loi :
Sur proposition du sous-préfet, directeur de cabinet du Préfet des Hauz-de-Seine,
ARRÊTE
ARTICLE : Dans la limite de la demande susvisée, l'association AGENA est autorisée à exploiter un
système de viddoprotection pour l'école primaire privée Marianne Picard située 8 rue Boutard 92200
Neuilly-sur-Seine
West composé de 2 caméras voies publiques et 1 caméra extérieure
Le dispositif n'est pas destiné à alimenter un fichier nominatif ex répond aux conditions fixées au
présent arrêté.
Toute modification du système de vidéoprotection doit faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux.
ARTICLE 2: Les images issues de ce système de vidéoprotection peuvent, le cas échéant, Etre
visionnées par ies agents mentionnés à l'article 1262-3 du code de la sécurité intérieure
individuellement désignés et dôment habilités, selon les modalités figurant dans ia convention d'accès
aux images conclue à cet effet.
ARTICLE 3: Ce dispositif est autarisé pour une durée de cinq ans, à compter de la date du présent
arrêté, il devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'autorisation, quatre mois avant sa date
d'échéance.
ARTICLE 4: Le public est informé de la présence des caméras par une signalétique mentionnant les
informations prévues à l'article R.283-8 du code de la sécurité intérieure.

ARTICLE S : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les enregistrements réali
Fe date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet.
ARTICLE € : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ov d'une
information judiciaire, les enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 39 jours.
ARTICLE 7 : L'exploitation du système doit se faire dans le respect des libertés individuelles et de la vie
privée. Les caméras doivent être dotées de masquages dynamiques, notamment afin de ne pas
visionner les lieux privés et tes moyens de paiement,
ARTICLE 8: Le responsable du système se porte garant des personnes susceptibles d'intervenir sur le
dispositif et veille à ce que l'accès à ia salle de visionnage soit interdit à tout individu qui n's pas été
préalablement habilité ou autorisé,
ARTICLE @ ? Sans préjudice des sanctions pénales applicables, i présente autorisation, pourra après
que l'intéressé aura été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas de manquement
aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions au vu
desquelles elle a été délivrée.
BRTIGLE 16 : Dans les deux mois à compter de la notification ou de fa publication au recueil des actes
administratifs de la présente décision, les recours suivants peuvent être introduits :
= un recours gracieux, auprès de M. le préfet des Hauts-de-Seine - cabinet du préfet - 187/177 avenue
Joliat-Curie - 92013 Nanterre codex
- un recouré hiérarchique, auprès du ministre de l'intérieur et des Outremer- direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - sous direction des libertés publiques et de la police administrative.
~ 11, rue des Saussaies - 75800 Paris cedex 08,
= Un recours contentieux, devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise sis 2-4, boulevard de l'Hautil
BF 20322 - 96027 Cergy-Pontoise Cedex.
ARTICLE Ts: Le sous-préfet, directeur de cabinet, est chargé de l'exécution du présent arrêté, dont un
exernplaire sera adressé au pétitionnaire et publié au recueil des actes acmninistratifs de la préfecture
des Hauts-de-Seine.
Pour Le préfet et par détégek
Le sous-préfet, directeur

200







RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS

DU

PREFET DES HAUTS-DE-SEINE

ISSN 0985 - 5955





Pour toute correspondance, s'adresser à :

PREFET DES HAUTS-DE-SEINE

Direction de la Coordination des Politiques Publiques
et de l'Appui Territorial
Pôle de Coordination Interministérielle

167/177, Avenue Joliot Curie
92013 NANTERRE CEDEX




Le recueil des actes administratifs est consultable en ligne sur le site de la préfecture
adresse Internet :
http://www.hauts-de-seine.gouv.fr/

Directeur de la publication :


Laurent HOTTIAUX

PREFET DES HAUTS-DE-SEINE


201












































PREFECTURE DES HAUTS-DE-SEINE
167-177, avenue Joliot Curie 92013 NANTERRE Cedex
Courriel : courrier@hauts-de-seine.gouv.fr
Standard : 01.40.97.20.00 Télécopie 01.40.97.25.21
Adresse Internet : http ://www.hauts-de-seine.gouv.fr/