RAA n° 15-2025-023 du 28 février 2025

Préfecture du Cantal – 28 février 2025

ID d0b29cdb04f740ee648db5a155f6a41744f4a8c7ac5e6f590f1a28fba7dc5a28
Nom RAA n° 15-2025-023 du 28 février 2025
Administration ID pref15
Administration Préfecture du Cantal
Date 28 février 2025
URL https://www.cantal.gouv.fr/contenu/telechargement/20594/163393/file/recueil-15-2025-023-recueil-des-actes-administratifs.pdf
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CANTAL
RECUEIL DES ACTES
ADMINISTRATIFS
N°15-2025-023
PUBLIÉ LE 28 FÉVRIER 2025
Sommaire
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la
protection des populations /
15-2024-12-19-00008 - Arrêté n°2024-ISPPV-062 donnant l'habilitation
de l'organisme Forum Réfugiés à prescrire un parcours d'insertion par
l'activité économique (2 pages) Page 6
15-2025-02-20-00002 - Arrêté préfectoral attribuant l'habilitation
sanitaire au docteur vétérinaire DEKENS
(2 pages) Page 8
15-2025-02-20-00003 - Arrêté préfectoral attribuant l'habilitation
sanitaire au docteur vétérinaire MICHEL (2 pages) Page 10
15-2025-02-24-00002 - Arrêté préfectoral attribuant l'habilitation
sanitaire au docteur vétérinaire OCULY (2 pages) Page 12
15-2025-02-19-00007 - Récépissé de déclaration d'un organisme de
services à la personne enregistré sous le n° SAP913404679 (2 pages) Page 14
15-2025-02-25-00003 - Récépissé de déclaration d'un organisme de
services à la personne enregistré sous le N° SAP940301542 (2 pages) Page 16
DSDEN - Direction des services départementaux de l'éducation nationale
du Cantal /
15-2025-02-21-00001 - Arrêté n°1-2025 du 21 février 2025 Rentrée
2025 (4 pages) Page 18
Préfecture du Cantal / DCLE - Bureau des élections et de la
réglementation générale
15-2025-02-27-00001 - Arrêté préfectoral n°2025-336 du 27 février
2025 fixant le nombre et la répartition des sièges au conseil
communautaire de la communauté de communes de Hautes Terres
Communauté (3 pages) Page 22
Préfecture du Cantal / Direction Services du Cabinet
15-2025-02-24-00003 - AP 2025-0218 du 24022025 Vidéoprotection
Manpower Aurillacpdf (2 pages) Page 25
15-2025-02-24-00005 - AP N° 2025-0220 du 24022025 vidéoprotection
Mondial relay26912 Aurillac (2 pages) Page 27
15-2025-02-24-00006 - AP N° 2025-0221 du 24022025 vidéoprotection
Mondial relay28027 Aurillac (2 pages) Page 29
15-2025-02-24-00007 - AP N° 2025-0222 du 24022025 vidéoprotection
Boulangerie BG Aurillac (2 pages) Page 31
15-2025-02-24-00008 - AP N° 2025-0223 du 24022025 vidéoprotection
Weldom Aurillac (2 pages) Page 33
15-2025-02-24-00009 - AP N° 2025-0224 du 24022025 vidéoprotection
CHAUSSEA Aurillac (2 pages) Page 35
2
15-2025-02-24-00010 - AP N° 2025-0225 du 24022025 vidéoprotection
Caisse d'Epargne rue delzons Aurillac (2 pages) Page 37
15-2025-02-24-00011 - AP N° 2025-0226 du 24022025 vidéoprotection
CEPAL Arpajonsur Cère (2 pages) Page 39
15-2025-02-24-00012 - AP N° 2025-0227 du 24022025 vidéprotection
NORMAL Aurillac (2 pages) Page 41
15-2025-02-24-00014 - AP N° 2025-0229 du 24022025 vidéoprotection
CréditLyonnais AvGambetta Aurillac (2 pages) Page 43
15-2025-02-24-00015 - AP N° 2025-0230 du 24022025 vidéoprotection
ENGINE PERF AUVERGNE Aurillac (2 pages) Page 45
15-2025-02-24-00016 - AP N° 2025-0231 du 24022025 vidéoprotection
AUCHAN Aurillac (2 pages) Page 47
15-2025-02-24-00017 - AP N° 2025-0232 du 24022025 vidéoprotection
La posteRue Allende Aurillac (2 pages) Page 49
15-2025-02-24-00018 - AP N° 2025-0233 du 24022025 vidéoprotection
Mc Do av volontaires Aurillac (2 pages) Page 51
15-2025-02-24-00019 - AP N° 2025-0234 du 24022025 vidéoprotection
CEPAL RiomesMontagnes (2 pages) Page 53
15-2025-02-24-00020 - AP N° 2025-0235 du 24022025 vidéoprotection
CEPAL St Flour (2 pages) Page 55
15-2025-02-24-00021 - AP N° 2025-0236 du 24022025 vidéoprotection
mondial relay St Paul des Landes (2 pages) Page 57
15-2025-02-24-00022 - AP N° 2025-0237 du 24022025 vidéoprotection
MondialRelay Lanobre (2 pages) Page 59
15-2025-02-24-00023 - AP N° 2025-0238 du 24022025 vidéoprotection
Mondial relay Marcenat (2 pages) Page 61
15-2025-02-24-00024 - AP N° 2025-0239 du 24022025 vidéoprotection
Mondial Relay Murat (2 pages) Page 63
15-2025-02-24-00027 - AP N° 2025-0242 du 24022025 vidéoprotection
Gamm Vert ST Flour (2 pages) Page 65
15-2025-02-24-00028 - AP N° 2025-0243 du 24022025 vidéoprotection
GEDIMAT St Flour (2 pages) Page 67
15-2025-02-24-00029 - AP N° 2025-0244 du 24022025 vidéoprotection
Boutique Orange St Flour (2 pages) Page 69
15-2025-02-24-00030 - AP N° 2025-0245 du 24022025 vidéoprotection
Crédit Lyonnais St Flour (2 pages) Page 71
15-2025-02-24-00031 - AP N° 2025-0246 du 24022025 vidéoprotection
Proxisure St Flour (2 pages) Page 73
15-2025-02-24-00032 - AP N° 2025-0247 du 24022025 vidéoprotection
SAS TEISSEDRE St Flour (2 pages) Page 75
3
15-2025-02-24-00033 - AP N° 2025-0248 du 24022025 vidéoprotection
bar tabac Chardaire Lafeuillade en Vézie (2 pages) Page 77
15-2025-02-24-00034 - AP N° 2025-0249 du 24022025 vidéoprotection
carrosserie MCI Mauriac (2 pages) Page 79
15-2025-02-24-00035 - AP N° 2025-0250 du 24022025 vidéoprotection
Proxi Super ST Mamet la Salvetat (2 pages) Page 81
15-2025-02-24-00036 - AP N° 2025-0251 du 25022025 vidéoprotection
Auto Cantal Sansac de Marmiesse (2 pages) Page 83
15-2025-02-24-00037 - AP N° 2025-0252 du 24022025 vidéoprotection
bar du centre ST Mamet la Salvetat (2 pages) Page 85
15-2025-02-24-00038 - AP N° 2025-0253 du 24022025 vidéoprotection
garage FALIES St Illide (2 pages) Page 87
15-2025-02-24-00039 - AP N° 2025-0254 du 24022025 vidéoprotection
carrière DAUDE Lapeyrugue (2 pages) Page 89
15-2025-02-24-00041 - AP N° 2025-0257 du 24022025 vidéoprotection
bar restaurant Le snack Maurs (2 pages) Page 91
15-2025-02-24-00042 - AP N° 2025-0258 du 24022025 vidéoprotection
SEBA15 St Flour (2 pages) Page 93
15-2025-02-24-00043 - AP N° 2025-0259 du 25022025 vidéoprotection
SARL La boulangerie St Flour (2 pages) Page 95
15-2025-02-24-00044 - AP N° 2025-0260 du 24022025 vidéoprotection
café déco archi Riom es Montagnes (2 pages) Page 97
15-2025-02-24-00045 - AP N° 2025-0261 du 24022025 vidéoprotection
bar restaurant L'ayr ici Ayrens (2 pages) Page 99
15-2025-02-24-00046 - AP N° 2025-0262 du 24022025 vidéoprotection
Bar snack La providence Riom es Montagnes (2 pages) Page 101
15-2025-02-24-00047 - AP N° 2025-0263 du 24022025 vidéoprotection
Boulangerie petits gourmands Massiac (2 pages) Page 103
15-2025-02-26-00001 - AP N° 2025-0270 du 26022025 vidéoprotection
Riom-es-Montagnes (3 pages) Page 105
15-2025-02-24-00004 - AP N°2025-0219 du 24022025 vidéoprotection
Proxisure Aurillac (2 pages) Page 108
15-2025-02-24-00026 - AP N°2025-0241 du 24022025 vidéoprotection
Mondial Relay ST Georges (2 pages) Page 110
15-2025-02-24-00040 - AP N°2025-0255 du 24022025 vidéoprotection
bar restaurant L'Imprévu Pleaux (2 pages) Page 112
15-2025-02-24-00013 - APN° 2025-0228 du 24022025 vidéoprotection
COTE BOULANGE Aurillac (2 pages) Page 114
15-2025-02-24-00025 - APN° 2025-0240 du 24022025 vidéoprotection
Mondial relay le rouget pers (2 pages) Page 116
4
15-2025-02-25-00002 - Portant interdiction temporaire de rassemblements
festifs à caractère musical amplifié, dit « tecknival , « freeparty »
ou « rave-party », et portant interdiction de circulation des véhicules
transportant du matériel à destination d'un rassemblement festif à
caractère musical amplifié (3 pages) Page 118
5
PREFETDU CANTALL'z'berte'EgalitéFraternité




2 Cours Monthyon
15 000 AURILLAC
Tél. : 04 71 46 23 00
Site internet : www.cantal.gouv.fr





Arrêté n° 2024 – ISPPV - 062
donnant l'habilitation de l'organisme Forum Réfugiés à prescrire un parcours d'insertion par l'activité
économique


Le préfet du Cantal,
Officier de l'Ordre National du Mérite



Vu le code du travail et notamment ses articles L. 5132-3 et R. 5132-1-7 ;

Vu la loi n° 2020-1577 du 14 décembre 2020 relative au renforcement de l'inclusion dans l'emploi par l'activité
économique et à l'expérimentation « territoire zéro chômeur de longue durée » ;
Vu le décret n° 2021-1128 du 30 août 2021 relatif à l'insertion par l'activité économique ;
Vu l'arrêté modifié du 1er septembre 2021 fixant la liste des critères d'éligibilité des personnes à un parcours
d'insertion par l'activité économique et des prescripteurs mentionnés à l'article L. 5132-3 du code du travail ;
Vu l'avis favorable de la Commission Inclusion et IAE en date du 09 décembre 2024;
Sur proposition de la Directrice départementale de l'emploi, du travail et des solidarités ;

ARRÊTE
ARTICLE 1ER : En complément de la liste des prescripteurs d'un parcours d'insertion par l'activité éco nomique
fixée au niveau national et figurant à l'annexe 1 de l'arrêté ministériel modifié du 1er septembre 2021, les
organismes suivants sont habilités à prescrire un parcours d'insertion par l'activité économique dans le
département de [nom], pour une dur ée de cinq ans, renouvelable après avis du Conseil départemental de
l'insertion par l'activité économique (C.D.I.A.E) :

- Forum Réfugiés, dont le siège social se situe 28 rue Baisse 69100 Villeurbanne ;

ARTICLE 2 : Après avoir réalisé un diagnostic de la situation sociale et professionnelle des personnes,
l'organisme visé à l'article ci-dessus peut valider l'éligibilité à l'insertion par l'activité économique des candidats.
Cette prescription s'effectue par voie dématérialisée, en utilisant le téléserv ice mentionné à l'article R. 5132-1-
19 du code du travail.
Direction Départementale de
l'Emploi, du Travail, des Solidarités et de la Protection des Populations
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2024-12-19-00008 - Arrêté
n°2024-ISPPV-062 donnant l'habilitation de l'organisme Forum Réfugiés à prescrire un parcours d'insertion par l'activité économique 6




2 Cours Monthyon
15 000 AURILLAC
Tél. : 04 71 46 23 00
Site internet : www.cantal.gouv.fr


ARTICLE 3 : Le présent arrêté est susceptible dans un délai de deux mois à compter de sa publication de faire
l'objet :

- d'un recours gracieux devant le préfet du Cantal;
- d'un recours hiérarchique devant la ministre du travail, du plein l'emploi et de l'insertion ;
- d'un recours contentieux devant le tribunal administratif Clermont 09420, 6 cours Sablon CS 90129, 63033
Clermont-Ferrand Cedex 1
- par voie postale ou par voie dématérialisée via « télérecours citoyen » accessible sur le site Internet
www.telerecours.fr.

ARTICLE 4 : Le Secrétaire général de la préfecture du Cantal et la Directrice départementale de l'emploi, du
travail et des solidarités sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du Cantal.

Aurillac, le 19 décembre 2024


Pour le préfet du Cantal et par délégation,

La directrice départementale de l'emploi, du
travail, des solidarités et de la protection des
populations

Myriam SAVIO

Signé


Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2024-12-19-00008 - Arrêté
n°2024-ISPPV-062 donnant l'habilitation de l'organisme Forum Réfugiés à prescrire un parcours d'insertion par l'activité économique 7
PREFETDU CANTALLibertéÉgalitéFraternité
Direction Départementale del''Emploi, du Travail, desSolidarités et de la Protectiondes PopulationsLe service santé protection animales etenvironnement
Arrêté n° 25-SPAE-014attribuant l'habilitation sanitaire à Madame Esmée DEKENS
Le Préfet du Cantal,Officier de l'Ordre National du Mérite ,VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7,L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33 ;VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980 et le décret 2003-768 du 1* août 2003, relatif àl''exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ;VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, àI'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements etnotamment son article 43 ;VU le décret de monsieur le président de la République en date du 29 octobre 2024portant nomination de monsieur Philippe LOOS, préfet du Cantal ;VU l'arrêté ministériel du 23 juillet 2012 relatif aux conditions d'exercice du vétérinairesanitaire ;VU l'arrêté de la Premiére ministre et du ministre de l'intérieur et des outre-mer du 05août 2022 portant nomination de madame Myriam SAVIO directrice départementale deI'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations du Cantal àcompter du 30 août 2022 ; |VU l'arrêté n° 2024-1947 du 11/11/2024 portant délégation de signature à madame MyriamSAVIO, directrice départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de laprotection des populations du Cantal ;VU la demande présentée par madame Esmée DEKENS, née le 02 juillet 1994 et domiciliéeadministrativement avenue des Estourocs 15700 PLEAUX ;Considérant que madame Esmée DEKENS remplit les conditions permettant l'attributionde l'habilitation sanitaire ;SUR proposition de la directrice départementale' de l'emploi, du travail, des solidarités etde la protection des populations du Cantal.
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-20-00002 - Arrêté
préfectoral attribuant l'habilitation sanitaire au docteur vétérinaire DEKENS 8
1, rue de l'Olmet - Porte BBP 50 739
ARRÊTEArticle 1°"L'habilitation sanitaire prévue à l'article L. 203-1 du code rural et de la pêche maritimesusvisé est attribuée pour une durée de cing ans à madame Esmée DEKENS, docteurvétérinaire professionnellement domicilié avenue des Estourocs 15700 PLEAUX.Article 2Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaireest renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour levétérinaire sanitaire de justifier à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfetde son domicile professionnel administratif, du respect de ses obligations de formationcontinue prévues à l'article R. 203-12 du code susvisé.Article 3Madame Esmée DEKENS s'engage à respecter les prescriptions techniques,administratives. et le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures deprévention, de surveillance ou de lutte prescrites par l'autorité administrative et desopérations de police sanitaire exécutées en application de l'article L. 203-7 du code ruralet de la pêche maritime. 'Article 4Madame Esmée DEKENS pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercicepour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou desétablissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Il sera tenu deconcourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du coderural et de la pêche maritime.Article 5Tout manquement ou faute commis dans l'exercice de la présente habilitation sanitaireentraînera l'application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivantsdu code rural et de la pêche maritime.Article 6La présente décision ne peut être déférée qu'auprès du tribunal administratif deClermont-Ferrand. Le délai de recours est de deux mois pour le demandeur. Ce délaicommence à courir le jour où la présente décision a été notifiée. Le tribunal administratifpeut être saisi par l'application informatique "Télérecours citoyens" accessible via le siteinternet www.telerecours.fr . Article 7Monsieur le secrétaire général de la préfecture du Cantal, madame la directricedépartementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations,sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui serapublié au recueil des actes administratifs de la préfecture." À AURILLAC, le 20 février 2025LE PRÉFETpar délégation,La directrice départementalede l'emploi, du travail, des solidaritéset de la protection des populations du Cantal,Le directeur adjoint,SignéRaymond DAVID15007 AURILLAC CEDEXTél : 04 63 27 32 00Site internet : www.cantal.gouv.fr
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-20-00002 - Arrêté
préfectoral attribuant l'habilitation sanitaire au docteur vétérinaire DEKENS 9
PREFETDU CANTALLibertéÉgalitéFraternité
Direction Départementale del'Emploi, du Travail, desSolidarités et de la Protectiondes PopulationsLe service santé protection animales etenvironnement
" Arrêté n° 25-SPAE-013attribuant l'habilitation sanitaire à Madame Elise MICHEL
Le Préfet du Cantal,Officier de l'Ordre National du Mérite ,VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7,L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33 ;VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980 et le décret 2003-768 du 1°" août 2003, relatif àl''exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ;VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, àl'organisation et à l'action des services de I'Etat dans les régions et départements etnotamment son article 43 ;VU le décret de monsieur le président de la République en date du 29 octobre 2024portant nomination de monsieur Philippe LOOS, préfet du Cantal ;VU l'arrêté ministériel du 23 juillet 2012 relatif aux conditions d'exercice du vétérinairesanitaire ;VU l'arrêté de la Première ministre et du ministre de l'intérieur et des outre-mer du 05août 2022 portant nomination de madame Myriam SAVIO directrice départementale deI'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations du Cantal àcompter du 30 août 2022 ;VU l'arrêté n° 2024-1947 du 11/11/2024 portant délégation de signature à madame MyriamSAVIO, directrice départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de laprotection des populations du Cantal ;VU la demande présentée par madame Élise MICHEL, née le 19 octobre 1999 et domiciliéeadministrativement 36, rue Arsène Lacarrière Latour 15220 Saint-Mamet ;Considérant que madame Élise MICHEL remplit les conditions pérmettant l'attribution del'habilitation sanitaire ;SUR proposition de la directrice départementale de l'emploi, du travail, des solidarités etde la protection des populations du Cantal. —
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-20-00003 - Arrêté
préfectoral attribuant l'habilitation sanitaire au docteur vétérinaire MICHEL 10
1, rue de I'Olmet - Porte BBP 50 739
ARRETEArticle 1°"L'habilitation sanitaire prévue à l'article L. 203-1 du code rural et de la péche maritimesusvisé est attribuée pour une durée de cing ans à madame Elise MICHEL, docteurvétérinaire professionnellement domicilié 36, rue Arsène Lacarrière Latour 15220 Saint-Mamet. | Article 2Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaireest renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour levétérinaire sanitaire de justifier à l'issue de chaque période de cinq ans, auprès du préfetde son domicile professionnel administratif, du respect de ses obligations de formationcontinue prévues à l'article R. 203-12 du code susvisé.Article 3Madame Élise MICHEL s'engage à respecter les prescriptions techniques, administrativeset le cas échéant financières de mise en œuvre des mesures de prévention, de surveillanceou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaireexécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.Article 4Madame Élise MICHEL pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercicepour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou desétablissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Il sera tenu deconcourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du coderural et de la pêche maritime.Article 5Tout manquement ou faute commis dans l'exercice de la présente habilitation sanitaireentraînera l'application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivantsdu code rural et de la pêche maritime.Article 6La présente décision ne peut être déférée qu'auprés du tribunal administratif deClermont-Ferrand. Le délai de recours est de deux mois pour le demandeur. Ce délaicommence à courir le jour où la présente décision a été notifiée. Le tribunal administratifpeut étre saisi par l'application informatique "Telerecours atoyens" accessible via le siteinternet www.telerecours.fr . Article 7Monsieur le secrétaire général de la préfecture du Cantal, madame la directricedépartementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations,sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui serapublié au recueil des actes administratifs de la préfecture.À AURILLAC, le 20 février 2025LE PRÉFETpar délégation,La directrice départementalede l'emploi, du travail, des solidaritéset de la protection des populations du Cantal,Le directeur adjoint,SignéRaymond DAVID15007 AURILLAC CEDEXTél : 04 63 27 32 00Site internet : www.cantal.gouv.fr
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-20-00003 - Arrêté
préfectoral attribuant l'habilitation sanitaire au docteur vétérinaire MICHEL 11
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction Départementale del''Emploi, du Travail, desSolidarités et de la Protectiondes PopulationsLe service santé protection animales etenvironnement
Arrêté n° 25-SPAE-020attribuant l'habilitation sanitaire à Madame Émilie OCULY
Le Préfet du Cantal,Officier de l'Ordre National du Mérite ,VU le code rural et de la pêche maritime et notamment ses articles L. 203-1 à L. 203-7,L. 223-6, R. 203-1 à R. 203-15 et R. 242-33 ;VU le décret n° 80-516 du 4 juillet 1980 et le décret 2003-768 du 1°" août 2003, relatif àl'exécution des mesures de prophylaxie collective des maladies des animaux ;VU le décret n° 2004.374 du 29 avril 2004 modifié, relatif aux pouvoirs des préfets, àl'organisation et à l'action des services de I'Etat dans les régions et départements etnotamment son article 43 ;VU le décret de monsieur le président de la République en date du 29 octobre 2024portant nomination de monsieur Philippe LOOS, préfet du Cantal ;VU l'arrêté ministériel du 23 juillet 2012 relatif aux conditions d'exercice du vétérinairesanitaire ;VU l'arrêté de la Première ministre et du ministre de l'intérieur et des outre-mer du 05août 2022 portant nomination de madame Myriam SAVIO directrice départementale deI'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations du Cantal àcompter du 30 août 2022 ;VU l'arrêté n° 2024-1947 du 11/11/2024 portant délégation de signature à madame MyriamSAVIO, directrice départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de laprotection des populations du Cantal ;VU la demande présentée paf madame Émilie OCULY, née le 30 juin 1989 et domiciliéeadministrativement 3, chemin de Billisse 15300 La Chapelle d'Alagnon ;Considérant que madame Émilie OCULY remplit les conditions permettant l'attribution del'habilitation sanitaire ; 'SUR proposition de la directrice départementale de l''emploi, du travail, des solidarités etde la protection des populations du Cantal.
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-24-00002 - Arrêté
préfectoral attribuant l'habilitation sanitaire au docteur vétérinaire OCULY 12
1, rue de I'Olmet - Porte BBP 50 738
ARRETEArticle 1%L'habilitation sanitaire prévue à l'article L. 203-1 du code rural et de la peche maritimesusvisé est attribuée pour une durée de cing ans à madame Emilie OCULY, docteurvétérinaire professionnellement domicilié 3, chemin de Billisse 15300 La Chapelled'Alagnon.Article 2Dans la mesure où les conditions requises ont été respectées, cette habilitation sanitaireest renouvelable par période de cinq années tacitement reconduites sous réserve pour levétérinaire sanitaire de justifier à l'issue de chaque période de cing ans, auprès du préfetde son domicile professionnel administratif, du respect de ses obligations de formationcontinue prévues à l'article R. 203-12 du code susvisé.Article 3 .Madame Emilie OCULY s'engage à respecter les prescriptions technlques administratives etle cas échéant financiéres de mise en ceuvre des mesures de prévention, de surveillanceou de lutte prescrites par l'autorité administrative et des opérations de police sanitaireexécutées en application de l'article L. 203-7 du code rural et de la pêche maritime.Article 4Madame Émilie OCULY pourra être appelé par le préfet de ses départements d'exercicepour la réalisation d'opérations de police sanitaire au sein des lieux de détention ou desétablissements pour lesquels elle a été désignée vétérinaire sanitaire. Il sera tenu deconcourir à ces opérations en application des dispositions de l'article L. 203-7 du coderural et de la pêche maritime.Article 5Tout manquement ou faute commis dans l'exercice de la présente habilitation sanitaireentraînera l'application des dispositions prévues aux articles R. 203-15, R. 228-6 et suivantsdu code rural et de la pêche maritime.Article 6La présente décision ne peut être déférée qu'auprès du tribunal administratif deClermont-Ferrand. Le délai de recours est de deux mois pour le demandeur. Ce délaicommence à courir le jour où la présente décision a été notifiée. Le tribunal administratifpeut être saisi par l'application informatique "Télérecours citoyens" accessible via le siteinternet www.telerecours.fr . Article 7Monsieur le secrétaire général de la préfecture du Cantal, madame la directricedépartementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations,sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui serapublié au recueil des actes administratifs de la préfecture.À AURILLAC, le 24 février 2025LE PRÉFETpar délégation,La directrice départementalede l'emploi, du travail, des solidaritéset de la protection des populations du Cantal,Le directeur adjoint,SignéRaymond DAVID15007 AURILLAC CEDEXTél : 04 63 27 32 00Site internet : www.cantal.gouv.fr
Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-24-00002 - Arrêté
préfectoral attribuant l'habilitation sanitaire au docteur vétérinaire OCULY 13
ExPREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction départementale de l'emploi, du
travail, des solidarités et de la protection des
populations

Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP913404679
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22,
D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
monsieur Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2024-1947 du 11 novembre 2024 portant délégation de signature à
madame Myriam SAVIO, directrice départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et
de la protection des populations du Cantal ;
Vu l'arrêté n° 24-DIR-091 du 12 novembre 2024 portant subdélégation de signature de
madame Myriam SAVIO à madame Johanne VIVANCOS, cheffe du service soutien aux
entreprises, logement et hébergement et politique du titre ;
Vu la demande de déclaration déposée par monsieur Rafigou SANOUSSI le 13 février
2025 ;
Le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Constate :
Qu'une déclaration d'activité de services à la personne a été déposée auprès du service
instructeur du Cantal le 13 février 2025 par monsieur Rafigou SANOUSSI, en qualité de
dirigeant, pour l'organisme SR ACADEMY , dont l'établissement principal est situé 2 rue Jean-
Baptiste Coffinhal 15000 AURILLAC et enregistré sous le N°SAP913404679 pour l'activité
suivante, à l'exclusion de toute autre :
• Soutien scolaire ou cours à domicile (mode d'intervention prestataire)
Toutes les prestations proposées doivent être dispensées exclusivement auprès des
particuliers et à leur domicile. La notion de domicile s'entend des résidences permanentes
(principale ou secondaire) sans distinction de propriété ou de location du bénéficiaire de la
réduction d'impôt.
Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous
peine de retrait de la déclaration, faire l'objet d'une déclaration modificative auprès de la
DDETSPP du Cantal qui modifiera le récépissé initial.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée
pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au
bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la
sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.

1 rue de l'Olmet – BP 50739 – 15007 AURILLAC CEDEX - Tél. : 04 63 27 32 00

Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-19-00007 - Récépissé
de déclaration d'un organisme de services à la personne enregistré sous le n° SAP913404679 14
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration, soit le 13
février 2025.
Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps. La déclaration a une portée nationale.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles
R.7232-20 à R.7232-22 du code du travail.
Le défaut répété ou le refus de saisir ses données d'activités trimestrielles et annuelles sur
l'extranet NOVA expose l'organisme, après mise en demeure, au retrait de l'annuaire des
organismes de services à la personne et au retrait de l'enregistrement de sa déclaration.
Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du
Cantal.
Le présent récépissé peut, à compter de sa notification, faire l'objet d'un recours gracieux
auprès de la DDETSPP du Cantal ou d'un recours hiérarchique adressé au ministre chargé
de l'économie - direction générale des entreprises - sous-direction des services marchands,
61 boulevard Vincent Auriol, 75703 PARIS CEDEX 13.
Il peut également faire l'objet d'un recours contentieux dans un délai de deux mois à compter
de sa notification auprès du tribunal administratif de Clermont-Ferrand, 6 cours Sablon - CS
90129 – 63033 CLERMONT-FERRAND Cedex 1. Le tribunal administratif peut être saisi par
l'application informatique « télérecours citoyen » accessible sur le site internet
www.telerecours.fr .
En cas de rejet du recours gracieux ou hiérarchique ou en l'absence de réponse à ce
recours (rejet implicite), un recours contentieux devant le tribunal administratif peut
également être formé contre la décision initiale dans un délai de deux mois à compter de ce
rejet.
Fait à Aurillac, le 19 février 2025
Le préfet et par délégation, la directrice de la
direction départementale de l'emploi, du travail,
des solidarités et de la protection des populations
du Cantal et par subdélégation, la cheffe du
service soutien aux entreprises, logement et
hébergement et politique du titre,
Signé
Johanne VIVANCOS

Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-19-00007 - Récépissé
de déclaration d'un organisme de services à la personne enregistré sous le n° SAP913404679 15
ExPREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction départementale de l'emploi, du
travail, des solidarités et de la protection des
populations

Récépissé de déclaration d'un organisme de services à la personne
enregistré sous le N° SAP940301542
Vu le code du travail et notamment les articles L.7231-1 à L.7233-2, R.7232-16 à R.7232-22,
D.7231-1 et D.7233-1 à D.7233-5 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
monsieur Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2024-1947 du 11 novembre 2024 portant délégation de signature à
madame Myriam SAVIO, directrice départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et
de la protection des populations du Cantal ;
Vu l'arrêté n° 24-DIR-091 du 12 novembre 2024 portant subdélégation de signature de
madame Myriam SAVIO à madame Johanne VIVANCOS, cheffe du service soutien aux
entreprises, logement et hébergement et politique du titre ;
Vu la demande de déclaration déposée par madame Nathalie LECRAS le 14 février 2025 ;
Le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès du service
instructeur du Cantal le 14 février 2025 par madame Nathalie LECRAS (nom commercial
Natelia), dont l'établissement principal est situé 6 rue des Glycines – 15270 CHAMPS-SUR-
TARANTAINE-MARCHAL et enregistré sous le N°SAP940301542 pour les activités
suivantes, à l'exclusion de toute autre :
• Entretien de la maison et travaux ménagers (mode d'intervention prestataire)
• Petits travaux de jardinage (mode d'intervention prestataire)
• Travaux de petit bricolage (mode d'intervention prestataire)
• Préparation de repas à domicile (mode d'intervention prestataire)
• Collecte et livraison à domicile de linge repassé (mode d'intervention prestataire)
• Livraison de courses à domicile (mode d'intervention prestataire)
• Maintenance, entretien et vigilance temporaires à domicile (mode d'intervention
prestataire)
• Assistance informatique à domicile (mode d'intervention prestataire)
• Assistance administrative à domicile (mode d'intervention prestataire)
• Soins d'esthétique à domicile pour personnes dépendantes (mode d'intervention
prestataire)
• Soins et promenade(s) d'animaux pour personnes dépendantes (mode d'intervention
prestataire)
• Conduite du véhicule des personnes en cas d'invalidité temporaire (mode
d'intervention prestataire)
• Accompagnement des personnes présentant une invalidité temporaire (mode
d'intervention prestataire)
• Assistance aux personnes ayant besoin d'une aide temporaire à leur domicile (mode
d'intervention prestataire)
1 rue de l'Olmet – BP 50739 – 15007 AURILLAC CEDEX - Tél. : 04 63 27 32 00

Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-25-00003 - Récépissé
de déclaration d'un organisme de services à la personne enregistré sous le N° SAP940301542 16
Toutes les prestations proposées doivent être dispensées exclusivement auprès des
particuliers et à leur domicile. La notion de domicile s'entend des résidences permanentes
(principale ou secondaire) sans distinction de propriété ou de location du bénéficiaire de la
réduction d'impôt.
Toute modification concernant la structure déclarée ou les activités exercées devra, sous
peine de retrait de la déclaration, faire l'objet d'une déclaration modificative auprès de la
DDETSPP du Cantal qui modifiera le récépissé initial.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée
pour les personnes morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au
bénéfice des dispositions des articles L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la
sécurité sociale dans les conditions prévues par ces articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration, soit le 14
février 2025.
Le présent récépissé n'est pas limité dans le temps. La déclaration a une portée nationale.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles
R.7232-20 à R.7232-22 du code du travail.
Le défaut répété ou le refus de saisir ses données d'activités trimestrielles et annuelles sur
l'extranet NOVA expose l'organisme, après mise en demeure, au retrait de l'annuaire des
organismes de services à la personne et au retrait de l'enregistrement de sa déclaration.
Le présent récépissé sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture du
Cantal.
Le présent récépissé peut, à compter de sa notification, faire l'objet d'un recours gracieux
auprès de la DDETSPP du Cantal ou d'un recours hiérarchique adressé au ministre chargé
de l'économie - direction générale des entreprises - sous-direction des services marchands,
61 boulevard Vincent Auriol, 75703 PARIS CEDEX 13.
Il peut également faire l'objet d'un recours contentieux dans un délai de deux mois à compter
de sa notification auprès du tribunal administratif de Clermont-Ferrand, 6 cours Sablon - CS
90129 – 63033 CLERMONT-FERRAND Cedex 1. Le tribunal administratif peut être saisi par
l'application informatique « télérecours citoyen » accessible sur le site internet
www.telerecours.fr .
En cas de rejet du recours gracieux ou hiérarchique ou en l'absence de réponse à ce
recours (rejet implicite), un recours contentieux devant le tribunal administratif peut
également être formé contre la décision initiale dans un délai de deux mois à compter de ce
rejet.
Fait à Aurillac, le 25 février 2025
Le préfet et par délégation, la directrice de la
direction départementale de l'emploi, du travail,
des solidarités et de la protection des populations
du Cantal et par subdélégation, la cheffe du
service soutien aux entreprises, logement et
hébergement et politique du titre,
Signé
Johanne VIVANCOS

Direction Départementale de l'emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations - 15-2025-02-25-00003 - Récépissé
de déclaration d'un organisme de services à la personne enregistré sous le N° SAP940301542 17
AC AD É MI E Direction des services départementauxde l'éducation nationale ;DE CLERMONT'FERRAND du CantalLibertéÉgalitéFraternité
ARRÊTÉ N°1- 2025organisant les services dans les enseignements préélémentaire, élémentaire et spécialisé du département du CANTALL'INSPECTRICE D'ACADÊMIE - DIRECTRICE ACADÉMIQUE DES SERVICESDE L'ÉDUCATION NATIONALE DU CANTAL- _ VU les articles L 211-8, L 212-4, L 212-8 et L 235-1 du code de l'éducation,- - VU le décret du 11 juillet 1979, ;- VU l'arrété n° 2 - 2024 du 16 octobre 2024 portant sur l'organisation des services dans les enseignementspréélémentaire, élémentaire et spécialisé du département du Cantal à la rentrée 2024,- VU l'avis du comité social d'administration spécial départemental du 7 février 2025,- _ VU l'avis du conseil départemental de l'Éducation nationale du 21 février 2025,
ARRÊTÉ
Article premier : sont arrêtées les mesures de carte scolaire suivantes, à compter du 1°' septembre 2025 :A - RETRAITS D'EMPLOIS : NombreNature d'emplois ObservationsretirésECOLES [Canteloube - Aurillac Elémentaire -1Crandelles Elémentaire -1; Fermeture de l'école suite à la décision duSaint Martin sous Vigouroux Elémentaire | -2 conseil municipal - délibération du 19/10/2024votée à l'unanimitéJussac Élémentaire =1Vic-sur-cére Elémentaire -1Rouffiac Elémentaire -1Saint Paul des Landes ' Élémentaire -1Ydes Élémentaire -1Mauriac Élémentaire -1Murat Élémentaire -1Val d'Arcomie (Faverolles) Élémentaire -1Arpajon-sur-cére Elémentaire -1 Poste fléché anglaisENSEIGNEMENT SPECIALISEIME Volzac -1DIVERSSaint Santin de Maurs -0.035 Décharge de directionSaisnârîosnîäîiltjgtägïëles - 0.25 Décharge de direction
DSDEN - Direction des services départementaux de l'éducation nationale du Cantal - 15-2025-02-21-00001 - Arrêté n°1-2025 du 21
février 2025 Rentrée 2025 18
B - RETRAITS D'EMPLOIS PROVISOIRES 2024-2025 : NombreNature d'emplois ObservationsretirésECOLESAurillac — Les Frères Delmas Elémentaire -1Aurillac — Les Alouettes Elémentaire - 0.50Boisset Élémentaire - 0.50Massiac Elémentaire - 0.50Thiézac Elémentaire -1Neussargues en quatelle - André Elémentaire -0.50RoudilRaulhac Elémentaire -0.50ECOLES EN RESAUClasse. _ s expérimentale _Coltines — Ussel - Valuéjols Méthodes 1pédagogiquesDIVERSCoordonnateur réseau rural du Val Coc?rdonnateur; réseau rural -1de Cère Cycle 3Enseignant itinérant langue etr - 0.50culture régionaleRéférent direction d'école - 0.50Chargé de mission CNR « Notre; .( - 0.50école faisons la ensemble » :Support de paiement -1Décharges syndicales -2Allègements de service -2Chargé de mission auprès des |EN -1Conseiller de prévention - 0.50
C - IMPLANTATIONS D'EMPLOIS PROVISOIRES 2025 - 2026 :NombreNature d'emplois ObservationsimplantésÉCOLES | _ _Massiac Élémentaire + 0.50 Pour faciliter la scolarisation des TPS scolarisésThiézac Elémentaire +1Le Rouget Élémentaire +1Pierrefort Élémentaire +1ÉCOLES EN RESAUClasseColtines - Ussel - Valuéjols expe'rlmentale +1méthodespédagogiquesDIVERSEnseignant itinérant langue et + 0.50culture régionaleRéférent direction d'école + 0.50Chargé de mission CNR « Notre + 0.50école faisons la ensemble »
DSDEN - Direction des services départementaux de l'éducation nationale du Cantal - 15-2025-02-21-00001 - Arrêté n°1-2025 du 21
février 2025 Rentrée 2025 19
Saint Constant Fournoules 2s à .Saint Santin de Maurs + 0.25 Expérimentation direction communeSupport de paiement +1Décharges syndicales +2Allègements de service +2Conseiller de prévention + 0.50
D - IMPLANTATIONS D'EMPLOIS:NombreNature d'emplois Observationsimplantés ?ÉCOLES :Vabres | Élémentaire +1Aurillac - Frères Delmas Elémentaire +1Arpajon-sur-cère Elémentaire +1 Poste d'adjointENSEIGNEMENT SPECIALISELouis Thioleron (Saint-Flour) + 0.50 Unité d'enseignement externaliséeIME Volzac + 0.50
Article 2 : Par suite des retraits et implantations précités, les directions des écoles ci-après seront modifiées à compterdu 1"" septembre 2025 :; ' Nombre de classesECOLES Rentrée scolaire 2024 Rentrée scolaire 2025Jussac . 9 l 8Le Rouget 5 6Murat 6 SVabres 1 2Val d'Arcomie (Faverolles) 2 1Pierrefort 5 6Rouffiac 1 0Saint-Martin-sous-Vigouroux 2 0]
Article 3 : La secrétaire générale de la direction des services départementaux de l'Education Nationale du Cantal estchargée de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture du Cantal.Fait à Aurillac, le 21 février 2025
L'Inspectrice d'académie - directrice académiquedes services de l'éducation nationale du Cantal,
Laurence AMY
DSDEN - Direction des services départementaux de l'éducation nationale du Cantal - 15-2025-02-21-00001 - Arrêté n°1-2025 du 21
février 2025 Rentrée 2025 20
DSDEN - Direction des services départementaux de l'éducation nationale du Cantal - 15-2025-02-21-00001 - Arrêté n°1-2025 du 21
février 2025 Rentrée 2025 21
ExPREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction de la citoyenneté,
de la légalité et de l'environnement
A R R ÊT É n° 2025 – 336 du 27 février 2025
fixant le nombre et la répartition des sièges au conseil communautaire
de la communauté de communes Hautes Terres Communauté
Le préfet du Cantal,
Officier de l'Ordre National du Mérite
Vu le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L.5211-6-1, L.5211-
6-2 et R.5211-1-2 ;
Vu le décret du Président de la République du 22 septembre 2023 portant nomination de
monsieur Hervé DEMAI, secrétaire général de la préfecture du Cantal, sous-préfet
d'Aurillac ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de M.
Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté préfectoral n°219-1347 du 16 octobre 2019 fixant le nombre et la répartition
des sièges au conseil communautaire de la Communauté de communes Hautes Terres
Communauté ;
Vu l'arrêté préfectoral n°2024-1067 du 16 juillet 2024 portant modification des limites
territoriales de la commune de Neussargues-en-Pinatelle et érigeant le territoire des
anciennes communes de Celles, Chalinargues, Chavagnac et Sainte-Anastasie en
communes séparées ;
Vu l'arrêté préfectoral n°2024-1940 du 11 novembre 2024 portant délégation de signature
à monsieur Hervé DEMAI, secrétaire général de la préfecture du Cantal, sous-préfet
d'Aurillac ;
Vu les arrêtés préfectoraux n°2024-2271, 2272, 2273, 2274 et 2275 du 23 décembre 2024
portant convocation des électeurs de la commune de Celles, Chalinargues,
Chavagnac, Neussargues-Moissac et de Sainte-Anastasie et fixant les dates de dépôt
de candidature en vue des élections municipales partielles intégrales ;
Considérant que la procédure de modification des limites territoriales de la commune
nouvelle de Neussargues-en-Pinatelle a conduit a ériger le territoire des anciennes
communes de Celles, Chalinargues, Chavagnac et Sainte-Anastasie en communes
séparées ;
Considérant que cette procédure de modification des limites territoriales, qui a pris
exécution le 1er janvier 2025, par son incidence sur le nombre de communes
composant le territoire de l'établissement public de coopération intercommunale à
2 Cours Monthyon
15 000 AURILLAC
Tél. : 04 71 46 23 00
Site internet : www.cantal.gouv.fr
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-27-00001 - Arrêté préfectoral n°2025-336 du 27 février 2025 fixant le nombre et la répartition des
sièges au conseil communautaire de la communauté de communes de Hautes Terres Communauté 22
fiscalité propre Hautes Terres communautés, conduit a une nouvelle répartition des
sièges de l'organe délibérant en application de l'article L.5211-6-2 du code général des
collectivités territoriales ;
Considérant qu'il y a lieu de procéder à la répartition des sièges de l'organe délibérant
d'un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre dans un
délai de trois mois à compter de l'exécution de l'arrêté portant modification des
limites territoriales ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture du Cantal ;
ARRÊTE
Article 1 er : Le conseil communautaire de la communauté de communes Hautes Terres
Communauté est composé comme suit :
COMMUNE NOMBRE DE SIÈGES
Murat 8
Massiac 8
Neussargues-Moissac 4
Allanche 3
Laveissière 2
Marcenat 2
Saint-Poncy 1
Molompize 1
La Chapelle-Laurent 1
Dienne 1
La Chapelle-d'Alagnon 1
Ferrières Saint-Mary 1
Albepierre-Bredons 1
Saint-Saturnin 1
Ségur-les-Villas 1
Bonnac 1
Auriac-l'Église 1
Saint-Mary-le-Plain 1
Peyrusse 1
Joursac 1
Virargues 1
Laveissenet 1
Lavigerie 1
Molèdes 1
Rageade 1
Landeyrat 1
Laurie 1
Pradiers 1
Charmensac 1
2 Cours Monthyon
15 000 AURILLAC
Tél. : 04 71 46 23 00
Site internet : www.cantal.gouv.fr
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-27-00001 - Arrêté préfectoral n°2025-336 du 27 février 2025 fixant le nombre et la répartition des
sièges au conseil communautaire de la communauté de communes de Hautes Terres Communauté 23
Celoux 1
Vernols 1
Vèze 1
Leyvaux 1
Chazelles 1
Valjouze 1
Celles 1
Chalinargues 1
Chavagnac 1
Sainte-Anastasie 1
TOTAL 60
Article 3 : Cet arrêté abroge l'arrêté préfectoral n°219-1347 du 16 octobre 2019 fixant le
nombre et la répartition des sièges au conseil communautaire de la communauté de
communes Hautes Terres Communauté.
Article 4 : Le présent arrêté peut être contesté dans un délai de deux mois après sa
publication soit par recours gracieux auprès du préfet du Cantal, soit par recours
contentieux auprès du tribunal administratif de Clermont-Ferrand.
Article 5 : Le secrétaire général de la préfecture du Cantal et le président de la
communauté de communes Haute-Terres Communauté sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture du Cantal.
Pour le préfet et par délégation,
le secrétaire général,
SIGNÉ
Hervé DEMAI
2 Cours Monthyon
15 000 AURILLAC
Tél. : 04 71 46 23 00
Site internet : www.cantal.gouv.fr
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-27-00001 - Arrêté préfectoral n°2025-336 du 27 février 2025 fixant le nombre et la répartition des
sièges au conseil communautaire de la communauté de communes de Hautes Terres Communauté 24
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0128
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2020-0022 du 7 janvier 2020 portant autorisation d'un système
de vidéoprotection ;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par M. Isamel
CLERMONT, directeur sûreté de la société MANPOWER pour l'établissement sis 7, allée
Georges Pompidou 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13
janvier 2025 (dossier n° 20190097-opération 20240086) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Isamel CLERMONT, directeur sûreté de la société MANPOWER est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à renouveler un système de vidéoprotection
comportant 1 caméra intérieure pour l'établissement situé 7, allée Georges Pompidou
15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- prévention d'actes de terroristes,
- prévention des atteintes aux biens.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00003 - AP 2025-0218 du 24022025 Vidéoprotection Manpower Aurillacpdf 25
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00003 - AP 2025-0218 du 24022025 Vidéoprotection Manpower Aurillacpdf 26
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0220
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Laurent
BENDAVID, directeur général de la société MONDIAL RELAY pour la consigne N°26912, sise
34, rue de Sistrières 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13
janvier 2025 (dossier n° 20240111) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Laurent BENDAVID, directeur général de la société MONDIAL RELAY est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 2 caméras extérieures pour la consigne N°26912, située 34, rue
de Sistrières 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- informations Service client Mondial Relay
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00005 - AP N° 2025-0220 du 24022025 vidéoprotection Mondial relay26912 Aurillac 27
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00005 - AP N° 2025-0220 du 24022025 vidéoprotection Mondial relay26912 Aurillac 28
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0221
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Michael
ROUSE, directeur général de la société MONDIAL RELAY pour la consigne n°28027, sise 66,
rue de Firminy 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13 janvier
2025 (dossier n° 20240118) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Michael ROUSE, directeur général de la société MONDIAL RELAY est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras extérieures pour la consigne n°28027, sise 66, rue de Firminy 15000
AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux
particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ou de trafic de stupéfiant,
- lutte contre la fraude lors du dépôt ou de la collecte des colis.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00006 - AP N° 2025-0221 du 24022025 vidéoprotection Mondial relay28027 Aurillac 29
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00006 - AP N° 2025-0221 du 24022025 vidéoprotection Mondial relay28027 Aurillac 30
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0222
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Marie
BLACHERE, directrice de la SAS Boulangerie BG pour la boulangerie de Marie, sise
41, avenue Charles de Gaulle 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt
le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240114) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Marie BLACHERE, directrice de la SAS Boulangerie BG est autorisée, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
3 caméras intérieures et 1 caméra extérieure pour la boulangerie de Marie, située
41, avenue Charles de Gaulle 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et
établissements relevant d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de
terrorisme,
-protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des
commerçants dans des lieux exposés à des risques d'agression et de vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00007 - AP N° 2025-0222 du 24022025 vidéoprotection Boulangerie BG Aurillac 31
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : La r esponsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé à
la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00007 - AP N° 2025-0222 du 24022025 vidéoprotection Boulangerie BG Aurillac 32
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0223
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Jérémie
MARTY, directeur de la société MSB OBI pour l'établissement WELDOM, sis rond-point
Henri Tricot-Avenue Georges Pompidou 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé
de dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240115) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Jérémie MARTY, directeur de la société MSB OBI est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
17 caméras intérieures et 4 caméras extérieures pour l'établissement WELDOM, sis rond-
point Henri Tricot - Avenue Georges Pompidou 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit la
finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté..
Une autre personne, désignée par le reponsable du système, devra être hablitée pour
accéder aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00008 - AP N° 2025-0223 du 24022025 vidéoprotection Weldom Aurillac 33
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 25 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00008 - AP N° 2025-0223 du 24022025 vidéoprotection Weldom Aurillac 34
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0224
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Gaëtan
GRIECO, président directeur général de l'enseigne CHAUSSEA pour le magasin, sis
143, avenue du Général Leclerc 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de
dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240119) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Gaëtan GRIECO, président directeur général de l'enseigne CHAUSSEA est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 14 caméras intérieures pour l'établissement situé 143, avenue
du Général Leclerc 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté..
Une autre personne, désignée par le reponsable du système, devra être hablitée pour
accéder aux images.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00009 - AP N° 2025-0224 du 24022025 vidéoprotection CHAUSSEA Aurillac 35
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 21
jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 21 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 25 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00009 - AP N° 2025-0224 du 24022025 vidéoprotection CHAUSSEA Aurillac 36
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0225
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par le
responsable protection de la caisse d'épargne d'Auvergne et du Limousin pour l'agence
bancaire, sise 2, rue Delzons 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt
le 13 janvier 2025 (dossier n° 20190051- opération n°20240123) ;
Vu l'avis rendu le 21 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. le responsable protection de la caisse d'épargne d'Auvergne et du Limousin est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 7 caméras intérieures pour l'agence bancaire, sise 2, rue
Delzons 15000 AURILLAC . Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
-protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et
établissements relevant d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de
terrorisme,
- prévention d'actes terroristes.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00010 - AP N° 2025-0225 du 24022025 vidéoprotection Caisse d'Epargne rue delzons Aurillac 37
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00010 - AP N° 2025-0225 du 24022025 vidéoprotection Caisse d'Epargne rue delzons Aurillac 38
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0226
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2020-0007 du 7 janvier 2020 portant renouvellement d'un
système de vidéoprotection;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par le
responsable protection de la caisse d'épargne d'Auvergne et du Limousin pour l'agence
bancaire, sise 28, avenue du Général Milhaud 15130 ARPAJON-SUR-CERE et ayant fait l'objet
d'un récépissé de dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20110016- opération n°20240124) ;
Vu l'avis rendu le 21 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. le responsable protection de la caisse d'épargne d'Auvergne et du Limousin est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à renouveller un système de
vidéoprotection comportant 4 caméras intérieures et 2 caméras extérieures pour l'agence
bancaire, située 28, avenue du Général Milhaud 15130 ARPAJON-SUR-CERE . Ce dispositif
poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
-protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et
établissements relevant d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de
terrorisme,
- prévention d'actes terroristes.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00011 - AP N° 2025-0226 du 24022025 vidéoprotection CEPAL Arpajonsur Cère 39
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00011 - AP N° 2025-0226 du 24022025 vidéoprotection CEPAL Arpajonsur Cère 40
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0227
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Gerges
MATAR, responsable informatique de la société NORMAL FRANCE pour le magasin
NORMAL, sis 11, rue Emile Duclaux 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de
dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240125) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Gerges MATAR, responsable informatique de la société NORMAL FRANCE est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 22 caméras intérieures pour le magasin NORMAL, sis 11, rue
Emile Duclaux 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté..
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00012 - AP N° 2025-0227 du 24022025 vidéprotection NORMAL Aurillac 41
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00012 - AP N° 2025-0227 du 24022025 vidéprotection NORMAL Aurillac 42
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0229
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2020-0277 du 2 mars 2020 portant autorisation d'un système de
vidéoprotection ;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par M. le
responsable sûreté sécurité territorial du Crédit Lyonnais 1500 pour l'agence bancaire, sise
7, avenue Gambetta 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le
13 janvier 2025 (dossier n° 20240132) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. le responsable sûreté sécurité territorial du Crédit Lyonnais 1500 est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à renouveler un système de vidéoprotection
comportant 3 caméras intérieures pour l'agence bancaire, située 7, avenue Gambetta
15000 AURILLAC . Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00014 - AP N° 2025-0229 du 24022025 vidéoprotection CréditLyonnais AvGambetta Aurillac 43
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationaleie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00014 - AP N° 2025-0229 du 24022025 vidéoprotection CréditLyonnais AvGambetta Aurillac 44
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0230
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Ludovic
JOURDE, gérant de la SAS ENGINE PERF AUVERGNE pour l'établissement sis 7, rue Jacques
Prévert 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13 janvier 2025
(dossier n° 20240134) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Ludovic JOURDE, gérant de la SAS ENGINE PERF AUVERGNE est autorisé, dans
les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras intérieures et 3 caméras extérieures pour l'établissement situé
7, rue Jacques Prévert 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des
commerçants dans des lieux exposés à des risques d'agression et de vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Une autre personne, désignée par le responsable du système de vidéoprotection, devra être
habilitée à accéder aux images.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00015 - AP N° 2025-0230 du 24022025 vidéoprotection ENGINE PERF AUVERGNE Aurillac 45
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00015 - AP N° 2025-0230 du 24022025 vidéoprotection ENGINE PERF AUVERGNE Aurillac 46
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0231
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2020-0029 du 7 janvier 2020 portant autorisation d'un système
de vidéoprotection ;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par M. Lionel
JONIER, directeur de site pour le supermarché AUCHAN, sis Rue de la Montade 15000
AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13 janvier 2025 (dossier
n° 20190105- opération : 20240135) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Lionel JONIER, directeur de site est autorisé, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à renouveler un système de vidéoprotection comportant 21 caméras
intérieures et 5 caméras extérieures pour le supermarché AUCHAN, sis Rue de la Montade
15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00016 - AP N° 2025-0231 du 24022025 vidéoprotection AUCHAN Aurillac 47
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 10
jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 10 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00016 - AP N° 2025-0231 du 24022025 vidéoprotection AUCHAN Aurillac 48
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0232
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. le directeur
de la sécurité et de la prévention des incivilités de LA POSTE pour l'agence postale, sise 10,
rue Salvador Allende 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13
janvier 2025 (dossier n° 20240136) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. le directeur de la sécurité et de la prévention des incivilités de LA POSTE est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures pour l'agence postale, située 10, rue
Salvador Allende 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords,
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux
particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ou de trafic de stupéfiant.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00017 - AP N° 2025-0232 du 24022025 vidéoprotection La posteRue Allende Aurillac 49
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00017 - AP N° 2025-0232 du 24022025 vidéoprotection La posteRue Allende Aurillac 50
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0233
portant modification d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2021-1944 du 6 décembre 2021 portant autorisation d'un système
de vidéoprotection ;
Vu la demande de modification d'un système de vidéoprotection déposée par M. Mathieu
GOBEAUD, locataire gérant d'AURIDRIVE pour l'établissement Mc Donald's sis avenue des
volontaires 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 14 janvier 2025
(dossier n° 20210130-opération : 20240138) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Mathieu GOBEAUD, locataire gérant d'AURIDRIVE est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à modifier un système de vidéoprotection comportant
8 caméras intérieures et 6 caméras extérieures pour l'établissement Mc Donald's situé
avenue des volontaires 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- protection des abords immédiats des bâtiments et installations des commerçants
dans des lieux exposés à des risques d'agression et de vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du
présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00018 - AP N° 2025-0233 du 24022025 vidéoprotection Mc Do av volontaires Aurillac 51
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00018 - AP N° 2025-0233 du 24022025 vidéoprotection Mc Do av volontaires Aurillac 52
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0234
portant modification d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2020-0008 du 7 janvier 2020 portant autorisation d'un système
de vidéoprotection ;
Vu la demande de modification d'un système de vidéoprotection déposée par M. le
responsable protection de la Caisse d'Epargne d'Auvergne et du Limousin pour l'agence
bancaire, sise 20, rue du Commandant Robert Monier 15400 RIOM-es-MONTAGNES et
ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20140007-
opération:20240108) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. le responsable protection de la Caisse d'Epargne d'Auvergne et du Limousin
est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à modifier un système de
vidéoprotection comportant 4 caméras intérieures et 1 caméra extérieure pour l'agence
bancaire, située 20, rue du Commandant Robert Monier 15400 RIOM-es-MONTAGNES. Ce
dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et
établissements relevant d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de
terrorisme,
- prévention d'actes terroristes.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00019 - AP N° 2025-0234 du 24022025 vidéoprotection CEPAL RiomesMontagnes 53
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00019 - AP N° 2025-0234 du 24022025 vidéoprotection CEPAL RiomesMontagnes 54
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0235
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par M. le
responsable protection de la Caisse d'Epargne d'Auvergne et du Limousin pour l'agence
bancaire, sise 19, cours Spy des Ternes 15100 SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un
récépissé de dépôt le 17 janvier 2025 (dossier n° 20110008- opération : 20240130) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. le responsable protection de la Caisse d'Epargne d'Auvergne et du Limousin
est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 6 caméras intérieures et 1 caméra extérieure pour l'agence
bancaire, sise 19, cours Spy des Ternes 15100 SAINT-FLOUR. Ce dispositif poursuit les
finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et
établissements relevant d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de
terrorisme,
- prévention d'actes terroristes.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00020 - AP N° 2025-0235 du 24022025 vidéoprotection CEPAL St Flour 55
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00020 - AP N° 2025-0235 du 24022025 vidéoprotection CEPAL St Flour 56
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0236
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Laurent
BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay pour la consigne n° 26168, sise
1, route de Brive 15250 SAINT-PAUL-DES-LANDES et ayant fait l'objet d'un récépissé de
dépôt le 14 janvier 2025 (dossier n° 20240112) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Laurent BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras extérieures pour la consigne n° 26168, située 1, route de Brive 15250
SAINT-PAUL-DES-LANDES. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la fraude lors du dépôt ou de la collecte des colis.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00021 - AP N° 2025-0236 du 24022025 vidéoprotection mondial relay St Paul des Landes 57
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le r esponsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant) des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00021 - AP N° 2025-0236 du 24022025 vidéoprotection mondial relay St Paul des Landes 58
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0237
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Laurent
BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay pour la consigne n° 26869, sise
Le péage 15270 LANOBRE et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 14 janvier 2025
(dossier n° 20240113) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Laurent BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras extérieures pour la consigne n° 26869, située Le péage 15270
LANOBRE. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la fraude lors du dépôt ou de la collecte des colis.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté..
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00022 - AP N° 2025-0237 du 24022025 vidéoprotection MondialRelay Lanobre 59
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le r esponsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant) des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00022 - AP N° 2025-0237 du 24022025 vidéoprotection MondialRelay Lanobre 60
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0238
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Laurent
BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay pour la consigne n° 25756, sise
28, route du Cézallier 15190 MARCENAT et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le
14 janvier 2025 (dossier n° 20240116) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Laurent BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras extérieures pour la consigne n° 25756, située 28, route du Cézallier
15190 MARCENAT. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00023 - AP N° 2025-0238 du 24022025 vidéoprotection Mondial relay Marcenat 61
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le r esponsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant) des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00023 - AP N° 2025-0238 du 24022025 vidéoprotection Mondial relay Marcenat 62
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0239
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Laurent
BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay pour la consigne n° 25597, sise
Chemin la croix jolie 15300 MURAT et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13 janvier
2025 (dossier n° 20240117) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Laurent BENDAVID, directeur général de la société Mondial Relay est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras extérieures pour la consigne n° 25597, située Chemin la croix jolie
15300 MURAT. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00024 - AP N° 2025-0239 du 24022025 vidéoprotection Mondial Relay Murat 63
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le r esponsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6: L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00024 - AP N° 2025-0239 du 24022025 vidéoprotection Mondial Relay Murat 64
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0242
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Thierry
BAUDUSSEAU, directeur d'activité grand public SA du Pays Vert pour l'établissement
GAMM VERT, sis rue Léopold Chastang 15100 SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un
récépissé de dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240120) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Thierry BAUDUSSEAU, directeur d'activité grand public SA du Pays Vert est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 9 caméras intérieures et 2 caméras extérieures pour
l'établissement GAMM VERT, sis rue Léopold Chastang 15100 SAINT-FLOUR. Ce dispositif
poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00027 - AP N° 2025-0242 du 24022025 vidéoprotection Gamm Vert ST Flour 65
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 2
jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 2 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00027 - AP N° 2025-0242 du 24022025 vidéoprotection Gamm Vert ST Flour 66
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0243
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Séverine
PAGES, directrice générale de SAS François Matériaux pour le magasin GEDIMAT, sis rue
Henri Fressange ZI de Montplain 15100 SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un récépissé de
dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240121) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Séverine PAGES, directrice générale de SAS François Matériaux est
autorisée, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 15 caméras intérieures et 6 caméras extérieures pour le
magasin GEDIMAT, sis rue Henri Fressange ZI de Montplain 15100 SAINT-FLOUR. Ce
dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue.
Mme Nadia CIBEL, reponsable du magasin, devra être habilitée à visionner les images.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00028 - AP N° 2025-0243 du 24022025 vidéoprotection GEDIMAT St Flour 67
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé à la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00028 - AP N° 2025-0243 du 24022025 vidéoprotection GEDIMAT St Flour 68
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0244
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Thierry
PRINTANT, directeur prospective et développement de ORANGE STORE pour la boutique
Orange, sise 6, rue des Agials 15100 SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un récépissé de
dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240127) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Thierry PRINTANT, directeur prospective et développement de ORANGE
STORE est autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 1 caméra intérieure pour la boutique Orange, située 6, rue des
Agials 15100 SAINT-FLOUR . Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00029 - AP N° 2025-0244 du 24022025 vidéoprotection Boutique Orange St Flour 69
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00029 - AP N° 2025-0244 du 24022025 vidéoprotection Boutique Orange St Flour 70
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0245
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n°2020-0275 du 2 mars 2020 portant renouvellement d'un système
de vidéoprotection ;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par M. le
responsable sûreté sécurité territorial du Crédit Lyonnais (LCL), pour l'agence bancaire sise
10, rue des Agials 15100 SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le
13 janvier 2025 (dossier n° 20150006-opération : 20240131) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. le responsable sûreté sécurité territorial du Crédit Lyonnais (LCL) est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à renouveler un système de vidéoprotection
comportant 3 caméras intérieures pour l'agence bancaire située 10, rue des Agials 15100
SAINT-FLOUR. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00030 - AP N° 2025-0245 du 24022025 vidéoprotection Crédit Lyonnais St Flour 71
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00030 - AP N° 2025-0245 du 24022025 vidéoprotection Crédit Lyonnais St Flour 72
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0246
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Jean-
Sébastien BONHOMME, gérant de la SARL VOTRE-SURETE.COM pour l'établissement
PROXISURE, sis 12, avenue de la république 15100 SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un
récépissé de dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240139) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Jean- Sébastien BONHOMME, gérant de la SARL VOTRE-SURETE.COM est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 1 caméra intérieure et 1 caméra extérieure pour
l'établissement PROXISURE, situé 12, avenue de la république 15100 SAINT-FLOUR. Ce
dispositif poursuit la finalité suivantes:
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00031 - AP N° 2025-0246 du 24022025 vidéoprotection Proxisure St Flour 73
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15
jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 15 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00031 - AP N° 2025-0246 du 24022025 vidéoprotection Proxisure St Flour 74
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0247
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Bruno
TEISSEDRE, directeur général de la SAS Charles et Bruno TEISSEDRE, pour l'établissement
sis 17, rue Henri Rassemusse 15100 SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un récépissé de
dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240140) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Bruno TEISSEDRE, directeur général de la SAS Charles et Bruno TEISSEDRE est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 2 caméras extérieures pour l'établissement situé 17, rue Henri
Rassemusse 15100 SAINT-FLOUR. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00032 - AP N° 2025-0247 du 24022025 vidéoprotection SAS TEISSEDRE St Flour 75
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00032 - AP N° 2025-0247 du 24022025 vidéoprotection SAS TEISSEDRE St Flour 76
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0248
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Eric
CHARDAIRE, gérant de l'E.I. CHARDAIRE pour le bar tabac, sis 8, lafeuillade basse 15130
LAFEUILLADE-EN-VEZIE et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 16 janvier 2025
(dossier n° 20240141) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Eric CHARDAIRE, gérant de l'E.I. CHARDAIRE est autorisé, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant 2 caméras
intérieures et 1 caméra extérieure pour le bar tabac, situé 8, lafeuillade basse 15130
LAFEUILLADE-EN-VEZIE. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes:
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue,
- prévention d'actes de terrorisme.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00033 - AP N° 2025-0248 du 24022025 vidéoprotection bar tabac Chardaire Lafeuillade en Vézie 77
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00033 - AP N° 2025-0248 du 24022025 vidéoprotection bar tabac Chardaire Lafeuillade en Vézie 78
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0249
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Régis
FORETNEGRE, gérant de la carroserie MCI pour l'établissement sis 7, rue Louis Ampère
15200 MAURIAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 16 janvier 2025 (dossier
n° 20240142) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Régis FORETNEGRE, gérant de la carroserie MCI est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
1 caméra intérieure et 3 caméras extérieures pour l'établissement situé 7, rue Louis Ampère
15200 MAURIAC. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00034 - AP N° 2025-0249 du 24022025 vidéoprotection carrosserie MCI Mauriac 79
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00034 - AP N° 2025-0249 du 24022025 vidéoprotection carrosserie MCI Mauriac 80
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0250
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Séverine
CAUSSE, dirigeante de la supérette PROXI SUPER sise 5, place de l'an 2000- 15220 SAINT-
MAMET-LA-SALVETAT et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 16 janvier 2025
(dossier n° 20240143) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Séverine CAUSSE, dirigeante de la supérette PROXI SUPER est autorisée,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 5 caméras intérieures et 1 caméra extérieure pour l'établissement situé
5, place de l'an 2000- 15220 SAINT-MAMET-LA-SALVETAT. Ce dispositif poursuit les finalités
suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue.
M. Patrick CAUSSE, conjoint collaborateur, devra être habilité à accéder aux images.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00035 - AP N° 2025-0250 du 24022025 vidéoprotection Proxi Super ST Mamet la Salvetat 81
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9: Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé à la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00035 - AP N° 2025-0250 du 24022025 vidéoprotection Proxi Super ST Mamet la Salvetat 82
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0251
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Jérémy
PRAT, dirigeant de la société AUTO CANTAL pour l'établissement sis Bargues 15130
SANSAC-DE-MARMIESSE et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 16 janvier 2025
(dossier n° 20240144) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Jérémy PRAT, dirigeant de la société AUTO CANTAL est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
2 caméras intérieures et 3 caméras extérieures pour l'établissement situé Bargues 15130
SANSAC-DE-MARMIESSE. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté. .
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00036 - AP N° 2025-0251 du 25022025 vidéoprotection Auto Cantal Sansac de Marmiesse 83
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00036 - AP N° 2025-0251 du 25022025 vidéoprotection Auto Cantal Sansac de Marmiesse 84
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0252
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Yann
TEISSIERES, dirigeant du Bar du Centre pour le bar-tabac sis 50, rue Arsène Lacarrière
Latour 15220 ST-MAMET-LA-SALVETAT et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le
16 janvier 2025 (dossier n° 20240145) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Yann TEISSIERES, dirigeant du Bar du Centre est autorisé, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant 3 caméras
intérieures et 2 caméras extérieures pour le bar-tabac situé 50, rue Arsène Lacarrière Latour
15220 ST-MAMET-LA-SALVETAT. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue,
- prévention d'actes de terrorisme.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00037 - AP N° 2025-0252 du 24022025 vidéoprotection bar du centre ST Mamet la Salvetat 85
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6: L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00037 - AP N° 2025-0252 du 24022025 vidéoprotection bar du centre ST Mamet la Salvetat 86
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0253
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Méritele garga
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2020-0017 du 7 janvier 2020 portant autorisation d'un système de
vidéoprotection ;
Vu la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection déposée par M. Jean-
Marc FALIES, gérant de l'EURL FALIES pour le garage automobile sis Parieu Bas- La Gare
15310 ST-ILLIDE et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 16 janvier 2025 (dossier
20190091- opération n° 20240146) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Jean-Marc FALIES, gérant de l'EURL FALIES est autorisé, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à renouveler un système de vidéoprotection comportant
3 caméras extérieures pour le garage automobile situé Parieu Bas- La Gare 15310 ST-ILLIDE .
Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
-protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des
commerçants dans des lieux exposés à des risques d'agression et de vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00038 - AP N° 2025-0253 du 24022025 vidéoprotection garage FALIES St Illide 87
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 5
jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 5 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00038 - AP N° 2025-0253 du 24022025 vidéoprotection garage FALIES St Illide 88
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0254
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Thierry
DAUDE, dirigeant de la SA Carrières DAUDE pour la carrière, sise Combecave 15120
LAPEYRUGUE et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 16 janvier 2025 (dossier
n° 20240147 ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Thierry DAUDE, dirigeant de la SA Carrières DAUDE est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
3 caméras extérieures pour la carrière située Combecave 15120 LAPEYRUGUE. Ce dispositif
poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- lutte contre la démarque inconnue.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00039 - AP N° 2025-0254 du 24022025 vidéoprotection carrière DAUDE Lapeyrugue 89
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00039 - AP N° 2025-0254 du 24022025 vidéoprotection carrière DAUDE Lapeyrugue 90
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0257
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Radija
OLAGNOL, gérante du bar-restaurant LE SNACK sis 114, tour de ville 15600 MAURS et ayant
fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 14 janvier 2025 (dossier n° 20240152) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Radija OLAGNOL, gérante du bar-restaurant LE SNACK est autorisée, dans
les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 3 caméras intérieures et 1 caméra extérieure pour l'établissement situé
114, tour de ville 15600 MAURS. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- prévention d'actes terroristes.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00041 - AP N° 2025-0257 du 24022025 vidéoprotection bar restaurant Le snack Maurs 91
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15
jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 15 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9: Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé à la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00041 - AP N° 2025-0257 du 24022025 vidéoprotection bar restaurant Le snack Maurs 92
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0258
portant modification d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2024-2028 du 15 novembre 2024 portant autorisation d'un
système de vidéoprotection ;
Vu la demande de modification d'un système de vidéoprotection déposée par M. Jean-Noël
VIDAL, directeur technique de SEBA 15 pour l'établissement sis ZA du Rozier-Coren 15100
SAINT-FLOUR et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 14 janvier 2025 (dossier
n° 20240066-opération : 20250001);
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Jean-Noël VIDAL, directeur technique de SEBA 15 est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à modifier un système de vidéoprotection comportant
4 caméras intérieures et 2 caméras extérieures pour l'établissement situé ZA du Rozier-
Coren 15100 SAINT-FLOUR. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- protection des bâtiements et installations publics et leurs abords,
- prévention d'actes de terrorisme.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00042 - AP N° 2025-0258 du 24022025 vidéoprotection SEBA15 St Flour 93
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00042 - AP N° 2025-0258 du 24022025 vidéoprotection SEBA15 St Flour 94
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0259
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Bruno
PIREYRE, gérant de la SARL LA BOULANGERIE pour l'établissement sis, 20 bis avenue du
Lioran 15100 ST-FLOUR et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 14 janvier 2025
(dossier n° 20250002) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Bruno PIREYRE, gérant de la SARL LA BOULANGERIE est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
2 caméras intérieures et 1 caméra extérieure pour l'établissement situé 20 bis, avenue du
Lioran 15100 ST-FLOUR. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- prévention d'actes de terrorisme.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00043 - AP N° 2025-0259 du 25022025 vidéoprotection SARL La boulangerie St Flour 95
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 7
jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 7 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00043 - AP N° 2025-0259 du 25022025 vidéoprotection SARL La boulangerie St Flour 96
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0260
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Marie
Line COUSSEGAL, co-gérante de la SAS Café Déco Archi pour l'établissement sis 14, rue du
Capitaine Alphonse Marche 15400 RIOM-ES-MONTAGNES et ayant fait l'objet d'un
récépissé de dépôt le 14 janvier 2025 (dossier n° 20250003) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Marie Line COUSSEGAL, co-gérante de la SAS Café Déco Archi est autorisée,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras intérieures pour l'établissement situé 14, rue du Capitaine Alphonse
Marche 15400 RIOM-ES-MONTAGNES. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00044 - AP N° 2025-0260 du 24022025 vidéoprotection café déco archi Riom es Montagnes 97
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé à la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00044 - AP N° 2025-0260 du 24022025 vidéoprotection café déco archi Riom es Montagnes 98
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0261
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Christèle
RICQ, gérante de l'E.I. RICQ Christèle pour le bar-restaurant L'AYR d'ICI, sis 1, rue le bourg
15250 AYRENS et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 17 janvier 2025 (dossier
n° 20250004) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Christèle RICQ, gérante de l'E.I. RICQ Christèle est autorisée, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
4 caméras intérieures et 2 caméras extérieures pour le bar-restaurant L'AYR d'ICI, situé
1, rue le bourg 15250 AYRENS . Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- prévention d'actes de terrorisme.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00045 - AP N° 2025-0261 du 24022025 vidéoprotection bar restaurant L'ayr ici Ayrens 99
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé à la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00045 - AP N° 2025-0261 du 24022025 vidéoprotection bar restaurant L'ayr ici Ayrens 100
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0262
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Elodie
RISPAL, gérante du bar snack LA PROVIDENCE sis 4, place du monument 15400 RIOM-ES-
MONTAGNES et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 17 janvier 2025 (dossier
n° 20250005) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Elodie RISPAL, gérante du bar snack LA PROVIDENCE est autorisée, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
2 caméras intérieures et 2 caméras extérieures pour l'établissement situé 4, place du
monument 15400 RIOM-ES-MONTAGNES. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- prévention d'actes de terrorisme.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00046 - AP N° 2025-0262 du 24022025 vidéoprotection Bar snack La providence Riom es
Montagnes 101
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 13
jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 13 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé à la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00046 - AP N° 2025-0262 du 24022025 vidéoprotection Bar snack La providence Riom es
Montagnes 102
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0263
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Gaëlle
GUINOT, gérante de la SARL des petits gourmands pour la boulangerie, sise 1, rue Neuve
15500 MASSIAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 17 janvier 2025 (dossier
n° 20250006) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Gaëlle GUINOT, gérante de la SARL des petits gourmands est autorisée,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 1 caméras intérieure pour la boulangerie, sise 1, rue Neuve 15500 MASSIAC. Ce
dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00047 - AP N° 2025-0263 du 24022025 vidéoprotection Boulangerie petits gourmands Massiac 103
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 13
jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garante des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 13 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé à la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00047 - AP N° 2025-0263 du 24022025 vidéoprotection Boulangerie petits gourmands Massiac 104
ExPREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0270
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques,
Vu la demande déposée le 27 septembre 2024 par le maire de Riom-es-Montagnes en vue
d'installer dans la commune un système de vidéoprotection destiné à filmer la voie
publique et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 14 janvier 2025 (dossier
n° 20240155) ;
Vu le rapport établi par le référent-sûreté ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant le bien fondé de la demande d'autorisation au regard des risques d'atteinte à
la sécurité des personnes et des biens sur le territoire de la commune ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Le maire de Riom-es-Montagnes est autorisé, dans les conditions fixées au présent
arrêté à installer dans la commune un système de vidéoprotection comportant 11 caméras
visionnant la voie publique et réparties comme suit :
• route de Murat
• route de Condat-ZI de Sedour
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-26-00001 - AP N° 2025-0270 du 26022025 vidéoprotection Riom-es-Montagnes 105
• rond-point Le Couderc
• avenue de Mauriac
• place Charles de Gaulle
• place du monument (2 caméras : nord et sud)
• avenue de Collandres
• avenue de la République
• rue du champ de foire ( aire de camping car)
• place du champ de foire
Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- prévention et constatation des infractions relatives à l'abandon d'ordures, de
déchets, de matériaux ou d'autres objets,
- prévention d'actes de terrorisme,
- régulation des flux de transport,
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux
particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ou de trafic de stupéfiant.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date du
présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de la zone vidéoprotégée, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées. Les
caméras devront s'abstenir de filmer des lieux privés, tels que les entrées ou les fenêtres des
habitations. Si ces lieux sont néanmoins filmés, le "floutage" des images s'impose afin de
préserver la vie privée des citoyens.
Seuls le maire, l'agent de police municipale désigné et habilité par le maire ainsi que
l'adjoint au maire et le conseiller municipal mentionnés dans la demande, s'ils sont
délégataires de fonctions de police municipale au sens de l'article L 22-12-2 du code général
des collectivités territoriales et en application de l'article L 2122-18 du même code, peuvent
accéder aux images et aux données à caractère personnel.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-26-00001 - AP N° 2025-0270 du 26022025 vidéoprotection Riom-es-Montagnes 106
Article 6: L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives .
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant du groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 26 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-26-00001 - AP N° 2025-0270 du 26022025 vidéoprotection Riom-es-Montagnes 107
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0219
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Jean
Sébastien BONHOMME, gérant de la SARL VOTRE-SURETE.COM pour l'établissement
PROXISURE, sis 5, rue Jacques Prévert 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé
de dépôt le 13 janvier 2025 (dossier n° 20240109) ;
Vu l'avis rendu le 13 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Jean-Sébastien BONHOMME, gérant de la SARL VOTRE-SURETE.COM est
autorisé, dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de
vidéoprotection comportant 3 caméras intérieures et 3 caméras extérieures pour
l'établissement PROXISURE, situé 5, rue Jacques Prévert 15000 AURILLAC. Ce dispositif
poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des
commerçants dans des lieux exposés à des risques d'agression et de vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00004 - AP N°2025-0219 du 24022025 vidéoprotection Proxisure Aurillac 108
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé au
pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 f évrier 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00004 - AP N°2025-0219 du 24022025 vidéoprotection Proxisure Aurillac 109
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0241
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Michael
ROUSSE, directeur général de la société Mondial Relay pour la consigne n° 30153, sise
Crozatier 15100 SAINT-GEORGES et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 13 janvier
2025 (dossier n° 20240129) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Michael ROUSSE, directeur général de la société Mondial Relay est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras extérieures pour la consigne n° 30153, située Crozatier 15100 SAINT-
GEORGES. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00026 - AP N°2025-0241 du 24022025 vidéoprotection Mondial Relay ST Georges 110
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le r esponsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant) des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00026 - AP N°2025-0241 du 24022025 vidéoprotection Mondial Relay ST Georges 111
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0255
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Quentin
MESTRE, gérant du bar restaurant l'IMPREVU sis 6, place d'Empeyssine 15700 PLEAUX et
ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le 14 janvier 2025 (dossier n° 20240151) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Quentin MESTRE, gérant du bar restaurant l'IMPREVU est autorisé, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
3 caméras intérieures pour l'établissement situé 6, place d'Empeyssine 15700 PLEAUX. Ce
dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
-protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des
commerçants dans des lieux exposés à des risques d'agression et de vol.
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00040 - AP N°2025-0255 du 24022025 vidéoprotection bar restaurant L'Imprévu Pleaux 112
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de 15
jours.
Article 5 : Le responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 15 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00040 - AP N°2025-0255 du 24022025 vidéoprotection bar restaurant L'Imprévu Pleaux 113
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0228
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par Mme Marie
BLACHERE, directrice de COTE BULANGE SAS pour l'établissement COTE BOULANGE, sis
25 allée George Pompidou 15000 AURILLAC et ayant fait l'objet d'un récépissé de dépôt le
13 janvier 2025 (dossier n° 20240126) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : Mme Marie BLACHERE, directrice de COTE BULANGE SAS est autorisée, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection comportant
3 caméras intérieures et 1 caméra extérieure pour l'établissement COTE BOULANGE situé
25 allée George Pompidou 15000 AURILLAC. Ce dispositif poursuit les finalités suivantes :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
-protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des
commerçants dans des lieux exposés à des risques d'agression et de vol.
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et
établissements relevant d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de
terrorisme,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00013 - APN° 2025-0228 du 24022025 vidéoprotection COTE BOULANGE Aurillac 114
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : La responsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressée ait été mise à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le directeur départemental de la
police nationale sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera adressé à
la pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-24-00013 - APN° 2025-0228 du 24022025 vidéoprotection COTE BOULANGE Aurillac 115
PREFETDU CANTALLibertéEgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n° 2025-0240
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment les articles R251-1 à R253-4 ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
Vu le décret du 29 juillet 2022 du président de la République, nommant M. Alexandre
KESTELOOT, sous préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté n°2025-154 du 3 février 2025 portant délégation de signature à M. Alexandre
KESTELOOT, sous-préfet, directeur de cabinet du préfet du Cantal ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des
systèmes de vidéoprotection et ses annexes techniques ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2022-0528 du 13 avril 2022 portant désignation des membres de
la commission départementale de vidéoprotection ;
Vu la demande d'autorisation d'un système de vidéoprotection déposée par M. Michael
ROUSSE, directeur général de la société Mondial Relay pour la consigne n° 28811, sise
24, avenue du 15 septembre 1945- 15290 LE ROUGET-PERS et ayant fait l'objet d'un
récépissé de dépôt le 14 janvier 2025 (dossier n° 20240128) ;
Vu l'avis rendu le 29 janvier 2025 par la commission départementale de vidéoprotection ;
Considérant qu'il ressort des éléments fournis par le demandeur que ce lieu ouvert au
public est particulièrement exposé à des risques d'agression ou de vol ;
Considérant le caractère proportionné du nombre de caméras envisagées au regard des
risques susmentionnés ;
SUR proposition du directeur de cabinet ;
ARRÊTE
Article 1 : M. Michael ROUSSE, directeur général de la société Mondial Relay est autorisé,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à exploiter un système de vidéoprotection
comportant 2 caméras extérieures pour la consigne n° 28811, située 24, avenue du
15 septembre 1945- 15290 LE ROUGET-PERS. Ce dispositif poursuit la finalité suivante :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et
établissements ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de
vol,
La présente autorisation est valable pour une durée de cinq ans à compter de la date
du présent arrêté.
Article 2 : Une signalétique disposée à chaque accès de l'espace vidéoprotégé, informe le
public de la présence de caméras. Cet affichage permanent doit mentionner de manière
claire les finalités du système de vidéoprotection, la durée de conservation des images, le
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responsable du système de vidéoprotection, les références de la loi et les coordonnées de
la personne ou du service auprès duquel s'exerce le droit d'accès aux images.
Article 3 : Le titulaire de l'autorisation doit tenir un registre mentionnant les opérations de
collecte, de consultation, de communication et de destruction des images et, le cas
échéant, les destinataires des données.
Article 4 : Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou
d'une information judiciaire, les enregistrements sont détruits dans un délai maximum de
30 jours.
Article 5 : Le r esponsable de la mise en œuvre du système doit se porter garant des
personnes susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi
que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes très précises sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer sont données à toutes les personnes concernées.
Article 6 : L'accès aux images et enregistrements sera ouvert, dans la limite de 30 jours sans
préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d'une procédure pénale, aux
agents des services de police et de gendarmerie nationale individuellement désignés et
dûment habilités à cette fin par le chef de service ou le chef d'unité à compétence
départementale, zonale ou nationale où ils sont affectés. Ces mêmes prérogatives seront
appliquées dans un cadre de police administrative visant à prévenir tout trouble à l'ordre
public.
Article 7 : Toute modification présentant un caractère substantiel doit faire l'objet d'une
déclaration auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les
lieux protégés, changement dans la configuration des lieux, changement affectant la
protection des images).
Article 8 : Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation peut,
après que l'intéressé ait été mis à même de présenter ses observations, être retirée en cas
de manquement aux dispositions figurant aux articles L.251-2, L.251-3, L.252-1 à L.252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou encore en cas de modification des
conditions au vu desquelles cette autorisation a été délivrée.
Article 9 : Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois suivants sa notification :
- soit par recours gracieux motivé adressé à M. le préfet du Cantal
- soit par recours hiérarchique introduit auprès de M. le ministre de l'intérieur, place
Beauvau, 75800 PARIS à l'attention de la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques, cabinet, bureau des polices administratives
- soit par recours contentieux auprès des juridictions du tribunal administratif de Clermont-
Ferrand.
Article 10 : Le directeur de cabinet du préfet du Cantal et le commandant de groupement
de gendarmerie du Cantal sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs dont un exemplaire sera
adressé au pétitionnaire et au maire de la commune concernée.
Aurillac, le 24 février 2025
le préfet,
pour le préfet et par délégation,
le sous-préfet,
directeur de cabinet
Signé
Alexandre KESTELOOT
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PREFETDU CANTALijerte'EgalitéFraternité
Direction du cabinet
Arrêté n°2025- 269 du 25 février 2025
Portant interdiction temporaire de rassemblements festifs à caractère musical
amplifié, dit « tecknival », « freeparty » ou « rave-party », et portant interdiction de
circulation des véhicules transportant du matériel à destination d'un rassemblement
festif à caractère musical amplifié
Le préfet du Cantal,
Officier de l'ordre national du mérite,
VU le code général des collectivités territoriales, notamment l'article L.2215-1 ;
VU le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L.211-5 à L.211-8, L.211-15,
R211-2 à R211-9, et R211-27 à R211-30 ;
VU le code pénal ;
VU le code de la santé publique ;
VU le code de la route, notamment son article R.441-18 ;
VU le décret n°2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets à l'organisation
et à l'action des services de l'État dans les régions et les départements ;
Vu le décret du président de la République du 23 octobre 2024 portant nomination de
M. Philippe LOOS, préfet du Cantal ;
CONSIDÉRANT qu'en application des dispositions de l'article L.211-5 du code de la
sécurité intérieure, les rassemblements festifs à caractère musical amplifié, au-delà de
500 participants, sont soumis à l'obligation d'une déclaration, au plus tard un mois avant
la date de la manifestation, de la part des organisateurs auprès du préfet du
département, précisant le nombre prévisible de participants ainsi que les mesures
envisagées pour garantir la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques ;
CONSIDÉRANT qu'aucune demande d'autorisation n'a été déposée auprès du préfet
pour ce type de manifestation durant le week-end prochain ;
CONSIDÉRANT que les forces de l'ordre sont fortement sollicitées dans le cadre de la
vigilance « VIGIPIRATE – URGENCE ATTENTAT » ;
CONSIDÉRANT le rassemblement festif à caractère musical de type « freeparty » sur la
commune d'Allanche qui s'est tenu le 24 mars 2024 ;
CONSIDÉRANT le rassemblement festif à caractère musical de type « freeparty » sur la
commune de Clavières qui s'est tenu le 27 juillet 2024 regroupant environ 6 000
personnes ;
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-25-00002 - Portant interdiction temporaire de rassemblements festifs à caractère musical amplifié,
dit « tecknival , « freeparty » ou « rave-party », et portant interdiction de circulation des véhicules transportant du matériel à
destination d'un rassemblement festif à caractère musical amplifié
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CONSIDÉRANT que les moyens appropriés à mobiliser en matière de lutte contre
l'incendie et de secours à personne, ainsi qu'en matière de sécurité sanitaire et routière
ne peuvent être réunis dans un délai aussi bref ; que dans ces conditions, ces
rassemblements comportent des risques sérieux de désordre important ;
CONSIDÉRANT les risques de troubles graves à l'ordre, à la sûreté, à la sécurité et à la
salubrité que présenterait le déroulement d'un rassemblement dépourvu d'un service
d'ordre et d'un dispositif sanitaire et auquel pourraient participer des milliers de
personnes ;
CONSIDÉRANT le risque de pollution liée à la génération de déchets en zones protégées
lors de ce type d'évènements ;
CONSIDÉRANT le risque de départ de feu dans les zones boisées ou cultivées ne
disposant pas de moyens appropriés de lutte contre l'incendie, le risque de pollution lié
aux déchets laissés à même le sol en zones protégées et la dégradation potentielle de
terres agricoles lors de ces rassemblements festifs ;
A R R E T E :
Article 1 er : L'organisation des rassemblements festifs à caractère musical de type
« tecknival, « rave-party » ou « free-party » répondant à l'ensemble des caractéristiques
énoncées à l'article R.211-2 du code de la sécurité intérieure, autres que ceux légalement
déclarés et autorisés, est interdite sur l'ensemble du département du Cantal.
Article 2 : La circulation des véhicules transportant du matériel susceptible d'être utilisé
pour une manifestation festive à caractère musical de type « tecknival, « rave-party » ou
« free-party » répondant à l'ensemble des caractéristiques énoncées à l'article R.211-2 du
code de la sécurité intérieure, autres que ceux légalement déclarés et autorisés, est
interdite sur l'ensemble du département du Cantal.

Article 3 : Les interdictions énoncées aux articles 1 et 2 du présent arrêté sont prises pour
les journées du vendredi 28 février à partir de 18h00 jusqu'au dimanche 02 mars 2025
inclus.
Article 4 : Toute infraction au présent arrêté est passible des sanctions prévues par les
articles R.211-27 à R.211-30 du code de la sécurité intérieure et peut donner lieu à la saisie
du matériel, pour une durée maximale de 6 mois, en vue de sa confiscation par l'autorité
judiciaire.
Article 5 : Dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision les
recours suivants peuvent être introduits :
- un recours gracieux, adressé au préfet du Cantal
- un recours hiérarchique, adressé à M. le Ministre de l'Intérieur – direction des libertés
publiques et des affaires juridiques - bureau des polices administratives – Place Beauvau –
75800 Paris cedex 08
- un recours contentieux, a dressé au tribunal administratif de Clermont-Ferrand. Le
tribunal administratif peut être saisi par l'application informatique « Télérecours
citoyens » accessible par le site internet www.telerecours.fr.
Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois
suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2 e mois suivant la
date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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dit « tecknival , « freeparty » ou « rave-party », et portant interdiction de circulation des véhicules transportant du matériel à
destination d'un rassemblement festif à caractère musical amplifié
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Article 6 : le secrétaire général de la préfecture, le sous-préfet directeur de cabinet, la
sous-préfète de l'arrondissement de Mauriac, le sous-préfet de l'arrondissement de Saint-
Flour, les maires du département, le commandant du groupement de gendarmerie du
Cantal et le directeur départemental de la police nationale sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture du Cantal.
Le préfet,
Philippe LOOS
SIGNE
Préfecture du Cantal - 15-2025-02-25-00002 - Portant interdiction temporaire de rassemblements festifs à caractère musical amplifié,
dit « tecknival , « freeparty » ou « rave-party », et portant interdiction de circulation des véhicules transportant du matériel à
destination d'un rassemblement festif à caractère musical amplifié
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