56-2024-074 - RAA Spécial du 27 août 2024

Préfecture du Morbihan – 27 août 2024

ID d88c543182cb6940186d720ab804101d66c9697d7fe74756ab624183a8e1d9c9
Nom 56-2024-074 - RAA Spécial du 27 août 2024
Administration ID pref56
Administration Préfecture du Morbihan
Date 27 août 2024
URL https://www.morbihan.gouv.fr/contenu/telechargement/72727/564618/file/56-2024-074%20-%20RAA%20Sp%C3%A9cial%20du%2027%20ao%C3%BBt%202024.pdf
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PRÉFET
DU MORBIHAN
RECUEIL DES ACTES
ADMINISTRATIFS SPÉCIAL
N° 56-2024-074
PUBLIÉ LE 27 AOÛT 2024
Sommaire
5601_Préfecture et sous-préfectures / DS/Bureau de la Prévention de la Délinquance et
de la Radicalisation (BPDR)
56-2024-07-01-00006 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Bikezen - Velozen à Lorient (2 pages)Page 6
56-2024-07-01-00007 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Arzon (2 pages) Page 8
56-2024-07-01-00008 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Gâvres (2 pages)Page 10
56-2024-07-01-00009 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Groix (2 pages) Page 12
56-2024-07-01-00010 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Molac (2 pages) Page 14
56-2024-07-01-00011 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire à
Larmor-Plage (2 pages) Page 16
56-2024-07-01-00012 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire à
Lorient (2 pages) Page 18
56-2024-07-01-00013 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement CHBS - Site de Kervenoaël à Pontivy (2
pages) Page 20
56-2024-07-01-00014 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Clinique de Kerbernes à Ploemeur (2 pages)Page 22
56-2024-07-01-00018 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement EHPAD la Colline à Hennebont (2 pages)Page 24
56-2024-07-01-00024 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Gendarmerie de Nivillac à Nivillac (2 pages)Page 26
56-2024-07-01-00025 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Jicema - Intermarché à Surzur (2 pages)Page 28
56-2024-07-01-00026 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement KER-C TP à Caudan (2 pages) Page 30
56-2024-07-01-00034 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement L'Embuscade à Le Guerno (2 pages) Page 32
56-2024-07-01-00027 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement La Buvette à Grand-Champ (2 pages)Page 34
56-2024-07-01-00028 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Bubry
(2 pages) Page 36
56-2024-07-01-00029 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à
Hennebont (2 pages) Page 38
56-2024-07-01-00030 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à
Locminé (2 pages) Page 40
56-2024-07-01-00031 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à
Ploemeur (2 pages) Page 42
2
56-2024-07-01-00032 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement La Poste Platforme Courrier Colis à Auray (2
pages) Page 44
56-2024-07-01-00033 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Larivière SA à Vannes (2 pages) Page 46
56-2024-07-01-00019 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Josselin (2 pages) Page 48
56-2024-07-01-00020 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Malestroit (2 pages) Page 50
56-2024-07-01-00021 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Saint-Thuriau (2 pages)Page 52
56-2024-07-01-00022 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Theix-Noyalo (2 pages)Page 54
56-2024-07-01-00035 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Lidl à Questembert (2 pages) Page 56
56-2024-07-01-00036 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Piscine AQTA à Auray (2 pages) Page 58
56-2024-07-01-00037 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement RD Lorient Agglomération - Iziloà- Lorient
(2 pages) Page 60
56-2024-07-01-00038 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Bri'Antine à Damgan (2 pages)Page 62
56-2024-07-01-00039 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL HEG - Carrefour City à Lorient (2
pages) Page 64
56-2024-07-01-00040 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL LNB & CO - La Mie Caline à Lorient
(2 pages) Page 66
56-2024-07-01-00041 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS des Pins - Naéco à Erdeven (2
pages) Page 68
56-2024-07-01-00042 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS l'Amie Océane à Vannes (2 pages)Page 70
56-2024-07-01-00043 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SDIS 29 télédectection feu à Gourin (2
pages) Page 72
56-2024-07-01-00044 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SEM Lorient Keroman - Port de Pêche de
Lorient à Lorient (2 pages) Page 74
56-2024-07-01-00045 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SNC Couteller à Guiscriff (2 pages)Page 76
56-2024-07-01-00046 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SNC Maire -Aux Portes du Palais à Le
Palais (2 pages) Page 78
56-2024-07-01-00047 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SNC Marlau - Bar de la Place à Plumergat
(2 pages) Page 80
56-2024-07-01-00048 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SR Keryado Eurl - McDonald's à Lorient (2
pages) Page 82
3
56-2024-07-01-00023 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'Etablisssement Le Normand à Allaire (2 pages) Page 84
56-2024-07-01-00017 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour la Commune d'Hennebont (2 pages) Page 86
56-2024-07-01-00016 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour la Commune de Vannes (2 pages) Page 88
56-2024-05-02-00086 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Ogec du Levant - Lycée Saint-Louis à
Lorient (2 pages) Page 90
56-2024-05-02-00095 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Guyveline - La Mie Caline à Pontivy
(2 pages) Page 92
56-2024-05-02-00096 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Le Penven à Vannes (2 pages) Page 94
56-2024-05-02-00097 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Les Cotonnades - Manoie des
Cotonnades à Lorient (2 pages) Page 96
56-2024-05-02-00098 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Morin Boisson à Concoret (2 pages)Page 98
56-2024-05-02-00099 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Pains et Gourmandises K -
Boulangerie Bara à Lorient (2 pages) Page 100
56-2024-05-02-00100 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Panaca - Boulangerie Patisserie
Lorant à Séné (2 pages) Page 102
56-2024-05-02-00101 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Senange à Séné (2 pages) Page 104
56-2024-05-02-00102 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SARL Vanange - Boulangerie Ange à
Vannes (2 pages) Page 106
56-2024-05-02-00103 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Bricodolmen - Mr Bricolage à Carnac
(2 pages) Page 108
56-2024-05-02-00104 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Gaël à Séné (2 pages) Page 110
56-2024-05-02-00105 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Gaël à Vannes (2 pages) Page 112
56-2024-05-02-00106 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Gatoni - Intermarché à Réguiny (2
pages) Page 114
56-2024-05-02-00107 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Guidalis - Super U à Guidel (2 pages)Page 116
56-2024-05-02-00108 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Kingoland à Plumelin (2 pages)Page 118
56-2024-05-02-00109 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS MCV - XXL Maison à Ploeren (2
pages) Page 120
56-2024-05-02-00110 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Neworch - Orchestra Prémaman à
Lorient (2 pages) Page 122
4
56-2024-05-02-00111 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Neworch - Orchestra Prémaman à
Vannes (2 pages) Page 124
56-2024-05-02-00112 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Pondi Jump à Pontivy (2 pages)Page 126
56-2024-05-02-00113 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS Samaker - Le Relais de Kerphenir
àLocmariquer (2 pages) Page 128
56-2024-05-02-00114 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SAS The Pattern à Vannes (2 pages)Page 130
56-2024-05-02-00115 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Securiteam Option Formation à Lorient (2
pages) Page 132
56-2024-05-02-00116 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SELARL Pharmacie du K2 à Lorient (2
pages) Page 134
56-2024-05-02-00117 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SNC Caliclan - Bar le Blavet à
Inzinzac-Lochrist (2 pages) Page 136
56-2024-05-02-00118 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SNC Chayan Breizh - Le Moustoir à Arradon
(2 pages) Page 138
56-2024-05-02-00119 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SNC MP Quéven à Quéven (2 pages) Page 140
56-2024-05-02-00120 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement SR Pontivy - Mc Donald's à Pontivy (2
pages) Page 142
56-2024-05-02-00121 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Tabac Ancel Monique à Grand-Champ (2
pages) Page 144
56-2024-05-02-00122 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Tabac Le Commerce à Muzillac (2 pages)Page 146
56-2024-05-02-00123 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Tabac Le Treleau à Pontivy (2 pages)Page 148
56-2024-05-02-00124 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Tereva à Vannes (2 pages) Page 150
56-2024-05-02-00125 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour l'établissement Ty Events à Guidel (2 pages) Page 152
56-2024-07-01-00015 - Commune de Saint-Gildas de RhuysArrêté préfectoral du 1er juillet
2024 portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour la Commune de
Saint-Gildas de Rhuys (2 pages) Page 154
5
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Ronan Salaun pour Bikezen – Velozen ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0291 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Bikezen – Velozen
Lieu d'implantation : 5 rue Georges Brassens
56100 Lorient
Nombre de caméras : 5 en intérieur
2 en extérieur
Identité du déclarant : M. Ronan Salaun
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00006 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bikezen - Velozen à Lorient 6
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00006 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bikezen - Velozen à Lorient 7
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour le Bureau de Poste d'Arzon ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0270 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ le champ de vision des caméras devra se limiter aux abords immédiats
Établissement concerné : Bureau de Poste d'Arzon
Lieu d'implantation : Rue de la Poste
56640 Arzon
Nombre de caméras : 2 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00007 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Arzon 8
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00007 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Arzon 9
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour le Bureau de Poste de Gâvres ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0264 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ le champ de vision de la caméra extérieure devra se limiter aux abords immédiats
Établissement concerné : Bureau de Poste de Gâvres
Lieu d'implantation : Avenue des Sardiniers
56680 Gâvres
Nombre de caméras : 2 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00008 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Gâvres 10
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00008 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Gâvres 11
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour le Bureau de Poste de Groix ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0235 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Bureau de Poste de Groix
Lieu d'implantation : 14 rue du Général de Gaulle
56590 Groix
Nombre de caméras : 3 en intérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00009 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Groix 12
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00009 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Groix 13
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour le Bureau de Poste de Molac ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0269 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Bureau de Poste de Molac
Lieu d'implantation : 6 rue jollivet
56230 Molac
Nombre de caméras : 2 en intérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00010 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Molac 14
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00010 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Bureau de Poste à Molac 15
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le chargé de sécurité CEBPL pour la
Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0183 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire
Lieu d'implantation : 6 place Notre-Dame
56260 Larmor-Plage
Nombre de caméras : 5 en intérieur
Identité du déclarant : M. le chargé de sécurité CEBPL
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Protection incendie / accident
- Prévention des atteintes aux biens
- Prévention d'actes terroristes
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00011 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire à Larmor-Plage 16
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00011 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire à Larmor-Plage 17
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le chargé de sécurité CEBPL pour la
Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 20240273 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire
Lieu d'implantation : 52 A cours Chazelle
56100 Lorient
Nombre de caméras : 6 en intérieur
Identité du déclarant : M. le chargé de sécurité CEBPL
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Protection incendie / accident
- Prévention des atteintes aux biens
- Prévention d'actes terroristes
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00012 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire à Lorient 18
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00012 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire à Lorient 19
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme la directrice général par intérim pour le
Centre Hospitalier Centre Bretagne ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0245 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Centre Hospitalier Centre Bretagne
Lieu d'implantation : Site de Kervenoaël
10 avenue des Otages
56300 Pontivy
Nombre de caméras : 18 en extérieur
Identité du déclarant : Mme la directrice général par intérim
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Protection des bâtiments publics
- Prévention d'actes terroristes
- Prévention du trafic de stupéfiants
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00013 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement CHBS - Site de Kervenoaël à Pontivy 20
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00013 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement CHBS - Site de Kervenoaël à Pontivy 21
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. directeur général pour Clinique de
Kerbernes ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0296 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Clinique de Kerbernes
Lieu d'implantation : Rue du Moulin du Ter
56270 Ploemeur
Nombre de caméras : 4 en intérieur
5 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur général
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux particulièrement exposés à des risques d'agression
et de vol ou de trafic de stupéfiant
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
- Secours aux personnes et la défense contre l'incendie
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00014 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Clinique de Kerbernes à Ploemeur 22
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision. Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours
citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la
réglementation en vigueur, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des
articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail. Le fait de collecter des données à
caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende
(article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00014 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Clinique de Kerbernes à Ploemeur 23
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur général pour l'EHPAD la
Colline ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0295 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : EHPAD la Colline
Lieu d'implantation : Rue du Docteur Paul Carpentier
56700 Hennebont
Nombre de caméras : 1 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur général
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux particulièrement exposés à des risques d'agression
et de vol ou de trafic de stupéfiant
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
- Secours aux personnes et la défense contre l'incendie
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00018 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement EHPAD la Colline à Hennebont 24
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00018 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement EHPAD la Colline à Hennebont 25
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses
annexes techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le Président d'Arc Sud
Bretagne pour la Gendarmerie de Nivillac ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier
annexé à la demande enregistrée sous le n° 2024/0292 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Gendarmerie de Nivillac
Lieu d'implantation : 28 Clos des Métairies
56130 Nivillac
Nombre de caméras : 3 en extérieur
Identité du déclarant : M. le Président d'Arc Sud Bretagne
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées
par la réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est
renouvelable sur demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la
configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du
système ou, le cas échéant, du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles
peuvent éventuellement impliquer seront données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du
système ou de son exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de
gendarmerie individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de
l'article L.252-3 du code de sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra
excéder un mois, sans préjudice des besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de
validité de l'autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00024 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Gendarmerie de Nivillac à Nivillac 26
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services
préfectoraux (notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates
de mise en place ou d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L.
252-6, L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de
modification des conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et l e bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun
en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision
contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales
dans les deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal
Administratif de Rennes – 3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus
tard dans un délai de deux mois à compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site
www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois
ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et
L. 1121-1, L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00024 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Gendarmerie de Nivillac à Nivillac 27
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Pascal Blandin pour Jicema –
Intermarché ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0294 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Jicema – Intermarché
Lieu d'implantation : ZA le Lobréont
56450 Surzur
Nombre de caméras : 16 en intérieur
8 en extérieur
Identité du déclarant : M. Pascal Blandin
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux particulièrement exposés à des risques d'agression
et de vol ou de trafic de stupéfiant
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
- Protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des commerçants dans des lieux exposés à des risques
d'agression et de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00025 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Jicema - Intermarché à Surzur 28
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision. Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours
citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la
réglementation en vigueur, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des
articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail. Le fait de collecter des données à
caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende
(article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00025 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Jicema - Intermarché à Surzur 29
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Régis Rety pour KER-C TP ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0282 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : KER-C TP
Lieu d'implantation : 208 rue Henri Ducassou
56850 Caudan
Nombre de caméras : 2 en extérieur
Identité du déclarant : M. Régis Rety
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00026 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement KER-C TP à Caudan 30
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00026 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement KER-C TP à Caudan 31
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Sylvie Dumas pour L'Embuscade ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0285 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : L'Embuscade
Lieu d'implantation : 6 rue des Hospitaliers
56190 Le Guerno
Nombre de caméras : 3 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Sylvie Dumas
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00034 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement L'Embuscade à Le Guerno 32
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00034 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement L'Embuscade à Le Guerno 33
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Pascal Le Gluher pour La Buvette ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0283 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : La Buvette
Lieu d'implantation : 17 place de l'Église
56390 Grand-Champ
Nombre de caméras : 6 en intérieur
Identité du déclarant : M. Pascal Le Gluher
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00027 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Buvette à Grand-Champ 34
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00027 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Buvette à Grand-Champ 35
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour La Poste Plateforme Courrier Colis Bubry ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0266 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : La Poste Plateforme Courrier Colis Bubry
Lieu d'implantation : ZA de Kerlevic
56310 Bubry
Nombre de caméras : 1 en intérieur
2 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00028 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Bubry 36
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00028 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Bubry 37
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour La Poste Plateforme Courrier Colis Hennebont ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0263 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : La Poste Plateforme Courrier Colis Hennebont
Lieu d'implantation : 20 rue Clément Ader
56700 Hennebont
Nombre de caméras : 3 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00029 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Hennebont 38
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00029 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Hennebont 39
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour La Poste Plateforme Courrier Colis Locminé ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0234 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : La Poste Plateforme Courrier Colis Locminé
Lieu d'implantation : 43 rue Anatole Le Braz
56500 Locminé
Nombre de caméras : 2 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00030 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Locminé 40
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00030 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Locminé 41
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour La Poste Plateforme Courrier Colis Ploemeur ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0265 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : La Poste Plateforme Courrier Colis Plœmeur
Lieu d'implantation : 10 rue François Kergoat
56270 Plœmeur
Nombre de caméras : 3 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00031 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Ploemeur 42
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00031 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Plateforme Courrier Colis à Ploemeur 43
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur sécurité et prévention des
incivilités pour La Poste Plateforme Courrier Colis Auray ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0185 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : La Poste Plateforme Courrier Colis Auray
Lieu d'implantation : 13 avenue Kerroux
56400 Auray
Nombre de caméras : 2 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur sécurité et prévention des incivilités
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00032 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Platforme Courrier Colis à Auray 44
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00032 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement La Poste Platforme Courrier Colis à Auray 45
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Florence Chupin pour Larivière SA ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0155 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Larivière SA
Lieu d'implantation : 65 rue du Vincin
56000 Vannes
Nombre de caméras : 3 en intérieur
8 en extérieur
Identité du déclarant : Mme Florence Chupin
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00033 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Larivière SA à Vannes 46
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00033 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Larivière SA à Vannes 47
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Ludovic Le Normand pour les
Établissements Le Normand ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0298 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Établissements Le Normand
Lieu d'implantation : ZI Rochettes
56120 Josselin
Nombre de caméras : 2 en intérieur
7 en extérieur
Identité du déclarant : M. Ludovic Le Normand
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00019 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Josselin 48
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00019 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Josselin 49
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Ludovic Le Normand pour les
Établissements Le Normand ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0299 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Établissements Le Normand
Lieu d'implantation : ZA La Garmanière
56140 Malestroit
Nombre de caméras : 1 en intérieur
7 en extérieur
Identité du déclarant : M. Ludovic Le Normand
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00020 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Malestroit 50
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00020 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Malestroit 51
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Ludovic Le Normand pour les
Établissements Le Normand ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0300 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Établissements Le Normand
Lieu d'implantation : Rue Joseph Quilliou
56300 Saint-Thuriau
Nombre de caméras : 1 en intérieur
6 en extérieur
Identité du déclarant : M. Ludovic Le Normand
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00021 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Saint-Thuriau 52
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00021 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Saint-Thuriau 53
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Ludovic Le Normand pour les
Établissements Le Normand ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0301 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Établissements Le Normand
Lieu d'implantation : ZA du Landy
56450 Theix-Noyalo
Nombre de caméras : 1 en intérieur
6 en extérieur
Identité du déclarant : M. Ludovic Le Normand
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00022 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Theix-Noyalo 54
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00022 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablissement Le Normand à Theix-Noyalo 55
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur régional pour Lidl ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0253 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Lidl
Lieu d'implantation : Avenue des Azalées
56230 Questembert
Nombre de caméras : 26 en intérieur
2 en extérieur
Identité du déclarant : M. le directeur régional
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00035 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Lidl à Questembert 56
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00035 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Lidl à Questembert 57
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le président pour AQTA Piscine ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0281 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : AQTA Piscine
Lieu d'implantation : Place de l'Europe – Porte Océane CS 70447
56404 Auray
Nombre de caméras : 4 en intérieur
6 en extérieur
Identité du déclarant : M. le président
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00036 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Piscine AQTA à Auray 58
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00036 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Piscine AQTA à Auray 59
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le directeur général pour RD Lorient
Agglomération – Izilo ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0287 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : RD Lorient Agglomération – Izilo
Lieu d'implantation : Dans les bus de L'agglomération
56100 Lorient
Nombre de caméras : 105 en intérieur
Identité du déclarant : M. le directeur général
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00037 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement RD Lorient Agglomération - Iziloà- Lorient 60
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00037 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement RD Lorient Agglomération - Iziloà- Lorient 61
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Brieux Anglade pour la SARL Bri'Antine ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0276 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SARL Bri'Antine
Lieu d'implantation : 7 rue de la Plage
56750 Damgan
Nombre de caméras : 1 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. Brieux Anglade
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00038 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Bri'Antine à Damgan 62
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00038 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Bri'Antine à Damgan 63
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Gaëtan Rioult de Neuville pour l'SARL
HEG - Carrefour City ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0288 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ le champ de vision des caméras devra se limiter aux abords immédiats
Établissement concerné : SARL HEG - Carrefour City
Lieu d'implantation : 26 boulevard du Maréchal Joffre
56100 Lorient
Nombre de caméras : 19 en intérieur
3 en extérieur
Identité du déclarant : M. Gaëtan Rioult de Neuville
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux particulièrement exposés à des risques d'agression
et de vol ou de trafic de stupéfiant
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
- Protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des commerçants dans des lieux exposés à des risques
d'agression et de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00039 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL HEG - Carrefour City à Lorient 64
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00039 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL HEG - Carrefour City à Lorient 65
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Etienne Bouron pour la SARL LNB & CO
– La Mie Caline ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0248 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SARL LNB & CO – La Mie Caline
Lieu d'implantation : 4 rue de la Patrie
56100 Lorient
Nombre de caméras : 1 en intérieur
Identité du déclarant : M. Etienne Bouron
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00040 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL LNB & CO - La Mie Caline à Lorient 66
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00040 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL LNB & CO - La Mie Caline à Lorient 67
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Charles Le Baud pour la SAS des Pins –
Naéco ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0256 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS des Pins – Naéco
Lieu d'implantation : Route Nationale
56410 Erdeven
Nombre de caméras : 1 en intérieur
Identité du déclarant : M. Charles Le Baud
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Prévention d'actes terroristes
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00041 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS des Pins - Naéco à Erdeven 68
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00041 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS des Pins - Naéco à Erdeven 69
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Marguerite Pansart pour la SAS l'Amie
Océane ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0049 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS l'Amie Océane
Lieu d'implantation : 60 avenue Paul Cézanne
56000 Vannes
Nombre de caméras : 7 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Marguerite Pansart
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00042 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS l'Amie Océane à Vannes 70
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00042 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS l'Amie Océane à Vannes 71
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par le SDIS 29 pour le SDIS 29 – Télédétection
Feu ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0280 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SDIS 29 – Télédétection Feu
Lieu d'implantation : Lieu-dit Kerhelvez
56110 Gourin
Nombre de caméras : 4 sur la voie publique
Identité du déclarant : SDIS 29
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des risques naturels ou technologiques
- Secours aux personnes et la défense contre l'incendie
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00043 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SDIS 29 télédectection feu à Gourin 72
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00043 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SDIS 29 télédectection feu à Gourin 73
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Benoit Jaffre pour la SEM Lorient
Keroman – Port de pêche de Lorient ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0290 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SEM Lorient Keroman – Port de pêche de Lorient
Lieu d'implantation : Direction du Port de pêche – CS 50382
56323 Lorient
Nombre de caméras : 71 en intérieur
67 en extérieur
Identité du déclarant : M. Benoit Jaffre
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00044 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SEM Lorient Keroman - Port de Pêche de Lorient à Lorient 74
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00044 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SEM Lorient Keroman - Port de Pêche de Lorient à Lorient 75
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Manon Couteller pour la SNC Couteller
;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0284 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ le champ de vision de la caméra extérieure devra se limiter aux abords immédiats
Établissement concerné : SNC Couteller
Lieu d'implantation : 14 place de la Mairie
56560 Guiscriff
Nombre de caméras : 3 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : Mme Manon Couteller
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00045 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Couteller à Guiscriff 76
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00045 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Couteller à Guiscriff 77
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Géraldine Colin pour la SNC Maire –
Aux Portes du Palais ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0286 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SNC Maire – Aux Portes du Palais
Lieu d'implantation : 5 rue Jules Simon
56360 Le Palais
Nombre de caméras : 4 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Géraldine Colin
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00046 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Maire -Aux Portes du Palais à Le Palais 78
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00046 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Maire -Aux Portes du Palais à Le Palais 79
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Laurent Diemer pour la SNC Marlau –
Bar de la Place ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0293 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SNC Marlau – Bar de la Place
Lieu d'implantation : 5 place Joseph Corfmat
56400 Plumergat
Nombre de caméras : 3 en intérieur
Identité du déclarant : M. Laurent Diemer
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux particulièrement exposés à des risques d'agression
et de vol ou de trafic de stupéfiant
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00047 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Marlau - Bar de la Place à Plumergat 80
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00047 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Marlau - Bar de la Place à Plumergat 81
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Anna-Maël Tande pour la SR Keryado
EURL – McDonad's ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0289 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SR Keryado EURL – McDonad's
Lieu d'implantation : 6 rue Eugène Pottier – ZAC du Bourg Neuf
56100 Lorient
Nombre de caméras : 7 en intérieur
2 en extérieur
Identité du déclarant : Mme Anna-Maël Tande
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00048 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SR Keryado Eurl - McDonald's à Lorient 82
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00048 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SR Keryado Eurl - McDonald's à Lorient 83
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Ludovic Le Normand pour les
Établissements Le Normand ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0297 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Établissements Le Normand
Lieu d'implantation : PA Cap Ouest
56350 Allaire
Nombre de caméras : 1 en intérieur
6 en extérieur
Identité du déclarant : M. Ludovic Le Normand
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00023 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablisssement Le Normand à Allaire 84
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00023 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'Etablisssement Le Normand à Allaire 85
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme la maire pour la Commune
d'Hennebont ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0277 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Commune d'Hennebont
Lieu d'implantation : 56700 Hennebont
Nombre de caméras : 18 sur la voie publique
Identité du déclarant : Mme la maire
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Protection des bâtiments publics
- Prévention d'actes terroristes
- Prévention du trafic de stupéfiants
- Prévention des fraudes douanières
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00017 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour la Commune d'Hennebont 86
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00017 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour la Commune d'Hennebont 87
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le maire pour la Commune de Vannes ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0279 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Commune de Vannes
Lieu d'implantation : 56000 Vannes
Nombre de caméras : 9 périmètres sur la voie publique
Identité du déclarant : M. le maire
Quartier Quartier
Centre-Port – Quartier 1 Nord-Ménimur – Quartier 6
Sud-Ouest-Conleau – Quartier 2 Nord-Gare – Quartier 7
Cliscouët – Quartier 3 Est – Quartier 8
Kercado – Quartier 4 Sud-Est – Quartier 9
Ouest – Quartier 5
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
Pour les caméras visionnées par le CSU les finalités sont les suivantes :
- Sécurité des personnes
- Secours à personnes – défense contre l'incendie préventions risques naturels ou technologiques
- Prévention des atteintes aux biens
- Protection des bâtiments publics
- Régulation du trafic routier
- Prévention d'actes terroristes
- Prévention du trafic de stupéfiants
- Constatation des infractions aux règles de la circulation
Pour les caméras visionnées par le service technique, les finalités sont les suivantes :
- Régulation du trafic routier
- Surveillances des bornes escamotables
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00016 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour la Commune de Vannes 88
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision. Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours
citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la
réglementation en vigueur, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des
articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail. Le fait de collecter des données à
caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 300 000 eurosd'amende
(article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00016 - Arrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour la Commune de Vannes 89
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme la directrice de l'établissement pour
Ogec du Levant - Lycée Saint-Louis ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0097 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété. Les casiers et la voie publique devront être
masqués.
Établissement concerné : Ogec du Levant - Lycée Saint-Louis
Lieu d'implantation : 5 rue Etienne Pérault
56100 Lorient
Nombre de caméras : 1 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : Mme la directrice de l'établissement
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Prévention d'actes terroristes
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00086 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Ogec du Levant - Lycée Saint-Louis à Lorient 90
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00086 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Ogec du Levant - Lycée Saint-Louis à Lorient 91
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Arnaud Choplin pour SARL Guyveline –
La Mie Caline ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0095 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SARL Guyveline – La Mie Caline
Lieu d'implantation : 1 rue Nationale
56300 Pontivy
Nombre de caméras : 5 en intérieur
Identité du déclarant : M. Arnaud Choplin
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00095 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Guyveline - La Mie Caline à Pontivy 92
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00095 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Guyveline - La Mie Caline à Pontivy 93
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Romain Lecointe pour SARL Le Penven ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0197 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SARL Le Penven
Lieu d'implantation : 50 Boulevard de la paix
56000 Vannes
Nombre de caméras : 6 en intérieur
Identité du déclarant : M. Romain Lecointe
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
- Protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des commerçants dans des lieux exposés à des risques
d'agression et de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00096 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Le Penven à Vannes 94
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00096 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Le Penven à Vannes 95
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Anne Berhouc pour SARL Les
Cotonnades – Manoir des Cotonnades ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0149 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SARL Les Cotonnades – Manoir des Cotonnades
Lieu d'implantation : Allée du Manoir de Kerletu
56100 Lorient
Nombre de caméras : 3 en extérieur
Identité du déclarant : Mme Anne Berhouc
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00097 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Les Cotonnades - Manoie des Cotonnades à Lorient 96
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00097 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Les Cotonnades - Manoie des Cotonnades à Lorient 97
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Mickaël Boisson pour SARL Morin-
Boisson – Camping Le Val aux Fées ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0219 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SARL Morin-Boisson – Camping Le Val aux Fées
Lieu d'implantation : 5 rue Renan Le Cunff
56430 Concoret
Nombre de caméras : 1 en intérieur
Identité du déclarant : M. Mickaël Boisson
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
- Protection des abords immédiats des bâtiments et des installations des commerçants dans des lieux exposés à des risques
d'agression et de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00098 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Morin Boisson à Concoret 98
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00098 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Morin Boisson à Concoret 99
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Erwan Nicolic pour SARL Pains et
Gourmandises K – Boulangerie Bara ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0200 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SARL Pains et Gourmandises K – Boulangerie Bara
Lieu d'implantation : 26 rue Auguste Nayel
56100 Lorient
Nombre de caméras : 2 en intérieur
Identité du déclarant : M. Erwan Nicolic
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00099 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Pains et Gourmandises K - Boulangerie Bara à Lorient 100
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00099 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Pains et Gourmandises K - Boulangerie Bara à Lorient 101
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Nadia Morice pour SARL Panaca –
Boulangerie Patisserie Lorant ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0190 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SARL Panaca – Boulangerie Patisserie Lorant
Lieu d'implantation : 29 route de Nantes
56860 Séné
Nombre de caméras : 2 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Nadia Morice
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00100 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Panaca - Boulangerie Patisserie Lorant à Séné 102
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00100 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Panaca - Boulangerie Patisserie Lorant à Séné 103
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Franck Dessapt pour SARL Senange ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0196 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure devra se limiter aux abords immédiats
Établissement concerné : SARL Senange
Lieu d'implantation : 69 route de Nantes
56860 Séné
Nombre de caméras : 3 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. Franck Dessapt
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00101 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Senange à Séné 104
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00101 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Senange à Séné 105
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Franck Dessapt pour SARL Vanange –
Boulangerie Ange ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0195 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SARL Vanange – Boulangerie Ange
Lieu d'implantation : 131 avenue de la Marne
56000 Vannes
Nombre de caméras : 2 en intérieur
Identité du déclarant : M. Franck Dessapt
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00102 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Vanange - Boulangerie Ange à Vannes 106
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00102 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SARL Vanange - Boulangerie Ange à Vannes 107
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Arnaud Le Niniven pour SAS
Bricodolmen – Mr Bricolage ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0221 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SAS Bricodolmen – Mr Bricolage
Lieu d'implantation : 2 rue Gallo Romaine – ZAC de Montauban
56340 Carnac
Nombre de caméras : 19 en intérieur
6 en extérieur
Identité du déclarant : M. Arnaud Le Niniven
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Secours à personnes – défense contre l'incendie préventions risques naturels ou technologiques
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00103 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Bricodolmen - Mr Bricolage à Carnac 108
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00103 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Bricodolmen - Mr Bricolage à Carnac 109
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Valérie Ferge pour SAS Gaël ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2023/0559 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS Gaël
Lieu d'implantation : C.C Intermarché – Route de Nantes – ZC du poulfanc
56860 Séné
Nombre de caméras : 1 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Valérie Ferge
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00104 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Gaël à Séné 110
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00104 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Gaël à Séné 111
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Valérie Ferge pour SAS Gaël ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2023/0560 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS Gaël
Lieu d'implantation : C.C Leclerc Zone du Parc Lann
56000 Vannes
Nombre de caméras : 1 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Valérie Ferge
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00105 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Gaël à Vannes 112
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00105 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Gaël à Vannes 113
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Hervé Cuzon pour SAS Gatoni –
Intermarché ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0189 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SAS Gatoni – Intermarché
Lieu d'implantation : Rue du Chamoine Martin
56500 Réguiny
Nombre de caméras : 29 en intérieur
5 en extérieur
Identité du déclarant : M. Hervé Cuzon
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00106 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Gatoni - Intermarché à Réguiny 114
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00106 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Gatoni - Intermarché à Réguiny 115
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Christian Prodhomme pour SAS Guidalis
– Super U ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0224 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SAS Guidalis – Super U
Lieu d'implantation : Route des Plages – Rue de Carrigaline
56520 Guidel
Nombre de caméras : 58 en intérieur
13 en extérieur
Identité du déclarant : M. Christian Prodhomme
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00107 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Guidalis - Super U à Guidel 116
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00107 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Guidalis - Super U à Guidel 117
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Dominique Leroux pour SAS Kingoland ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0154 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SAS Kingoland
Lieu d'implantation : Pondigo
56500 Plumelin
Nombre de caméras : 21 en intérieur
14 en extérieur
Identité du déclarant : M. Dominique Leroux
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00108 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Kingoland à Plumelin 118
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00108 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Kingoland à Plumelin 119
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Nicolas Vallade pour SAS MCV – XXL
Maison ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 20240090 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS MCV – XXL Maison
Lieu d'implantation : 11 avenue Louis de Cadoudal
56880 Ploeren
Nombre de caméras : 4 en intérieur
Identité du déclarant : M. Nicolas Vallade
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Secours à personnes – défense contre l'incendie préventions risques naturels ou technologiques
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00109 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS MCV - XXL Maison à Ploeren 120
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00109 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS MCV - XXL Maison à Ploeren 121
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Clément Pépino pour SAS Neworch –
Orchestra Prémaman ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0044 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS Neworch – Orchestra Prémaman
Lieu d'implantation : 1 rue de l'Etang
56100 Lorient
Nombre de caméras : 7 en intérieur
Identité du déclarant : M. Clément Pépino
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00110 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Neworch - Orchestra Prémaman à Lorient 122
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00110 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Neworch - Orchestra Prémaman à Lorient 123
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Clément Pépino pour SAS Neworch –
Orchestra Prémaman ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0045 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS Neworch – Orchestra Prémaman
Lieu d'implantation : 27 rue Théophraste Renaudot
56000 Vannes
Nombre de caméras : 6 en intérieur
Identité du déclarant : M. Clément Pépino
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00111 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Neworch - Orchestra Prémaman à Vannes 124
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00111 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Neworch - Orchestra Prémaman à Vannes 125
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Steven Toutain pour SAS Pondi Jump ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2023/0052 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS Pondi Jump
Lieu d'implantation : 27 avenue Albert de Mun
56300 Pontivy
Nombre de caméras : 5 en intérieur
Identité du déclarant : M. Steven Toutain
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00112 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Pondi Jump à Pontivy 126
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00112 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Pondi Jump à Pontivy 127
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. El Hadji Ndiaye pour SAS Samaker – Le
Relais de Kerphenir ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2023/0578 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SAS Samaker – Le Relais de Kerphenir
Lieu d'implantation : 3 rue Henri Ezan
56740 Locmariaquer
Nombre de caméras : 1 en intérieur
4 en extérieur
Identité du déclarant : M. El Hadji Ndiaye
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00113 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Samaker - Le Relais de Kerphenir àLocmariquer 128
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00113 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS Samaker - Le Relais de Kerphenir àLocmariquer 129
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. German Lugo Schacht pour SAS The
Pattern ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2023/0562 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SAS The Pattern
Lieu d'implantation : 24 rue du Maréchal Leclerc
56000 Vannes
Nombre de caméras : 3 en intérieur
Identité du déclarant : M. German Lugo Schacht
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00114 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS The Pattern à Vannes 130
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00114 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SAS The Pattern à Vannes 131
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Alban ragani pour Sécuriteam Option
Formation ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0199 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Sécuriteam Option Formation
Lieu d'implantation : 5 rue Simone Signoret
56100 Lorient
Nombre de caméras : 5 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. Alban ragani
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Secours à personnes – défense contre l'incendie préventions risques naturels ou technologiques
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00115 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Securiteam Option Formation à Lorient 132
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00115 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Securiteam Option Formation à Lorient 133
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Véronique François pour SELARL
Pharmacie du K2 ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0201 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SELARL Pharmacie du K2
Lieu d'implantation : 1 rue du Colonel Muller
56100 Lorient
Nombre de caméras : 8 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Véronique François
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux particulièrement exposés à des risques d'agression
et de vol ou de trafic de stupéfiant
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00116 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SELARL Pharmacie du K2 à Lorient 134
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00116 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SELARL Pharmacie du K2 à Lorient 135
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Lionel Cartelier pour SNC Calican – Bar
Le Blavet ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0225 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SNC Caliclan – Bar Le Blavet
Lieu d'implantation : 19 quartier Julien Le Grand
56650 Inzinzac-Lochrist
Nombre de caméras : 4 en intérieur
Identité du déclarant : M. Lionel Cartelier
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00117 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Caliclan - Bar le Blavet à Inzinzac-Lochrist 136
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00117 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Caliclan - Bar le Blavet à Inzinzac-Lochrist 137
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Charlotte-Emmanuelle Cavenne pour
SNC Chayan Breizh – Le Moustoir ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0054 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SNC Chayan Breizh – Le Moustoir
Lieu d'implantation : 37 rue Saint-Martin
56610 Arradon
Nombre de caméras : 1 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Charlotte-Emmanuelle Cavenne
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00118 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Chayan Breizh - Le Moustoir à Arradon 138
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00118 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC Chayan Breizh - Le Moustoir à Arradon 139
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Pascal Tual pour SNC MP Quéven – La
Presse de Quéven ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0187 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : SNC MP Quéven – La Presse de Quéven
Lieu d'implantation : 3 rue de la Gare
56530 Quéven
Nombre de caméras : 11 en intérieur
Identité du déclarant : M. Pascal Tual
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux et établissements ouverts au public particulièrement
exposés à des risques d'agression ou de vol
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00119 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC MP Quéven à Quéven 140
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00119 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SNC MP Quéven à Quéven 141
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Leïla Kaddouri pour SR Pontivy – Mc
Donald's ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0230 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ les caméras extérieures ne devront pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : SR Pontivy – Mc Donald's
Lieu d'implantation : 47 rue Albert de Mun
56300 Pontivy
Nombre de caméras : 3 en intérieur
2 en extérieur
Identité du déclarant : Mme Leïla Kaddouri
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Lutte contre la démarque inconnue
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00120 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SR Pontivy - Mc Donald's à Pontivy 142
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00120 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement SR Pontivy - Mc Donald's à Pontivy 143
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par Mme Monique Ancel pour Tabac Ancel
Monique ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0222 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Tabac Ancel Monique
Lieu d'implantation : 15 place de l'Église
56390 Grand-Champ
Nombre de caméras : 2 en intérieur
Identité du déclarant : Mme Monique Ancel
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00121 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tabac Ancel Monique à Grand-Champ 144
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00121 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tabac Ancel Monique à Grand-Champ 145
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Christophe Allaire pour Tabac Le
Commerce ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0228 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Tabac Le Commerce
Lieu d'implantation : 2 place Saint-Julien
56190 Muzillac
Nombre de caméras : 7 en intérieur
Identité du déclarant : M. Christophe Allaire
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00122 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tabac Le Commerce à Muzillac 146
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00122 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tabac Le Commerce à Muzillac 147
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Laurent Martin pour Tabac Le Treleau ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0229 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Tabac Le Treleau
Lieu d'implantation : 20 rue du Général du Quinivet
56300 Pontivy
Nombre de caméras : 3 en intérieur
Identité du déclarant : M. Laurent Martin
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00123 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tabac Le Treleau à Pontivy 148
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00123 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tabac Le Treleau à Pontivy 149
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Dimitri Samson pour Tereva ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0096 et répondant aux caractéristiques suivantes :
➢ la caméra extérieure ne devra pas filmer au-delà des limites de propriété
Établissement concerné : Tereva
Lieu d'implantation : 10 rue Aristide Boucicaut
56000 Vannes
Nombre de caméras : 6 en intérieur
1 en extérieur
Identité du déclarant : M. Dimitri Samson
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00124 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tereva à Vannes 150
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00124 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Tereva à Vannes 151
ExPREFETDU MORBIHAN
Fraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 septembre 2023 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la
préfecture du Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. Olivier Rome pour Ty Events ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 28 mars 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0223 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Ty Events
Lieu d'implantation : 7C place du Bas-Pouldu
56520 Guidel
Nombre de caméras : 1 en intérieur
Identité du déclarant : M. Olivier Rome
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public de vra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adaptée à la configuration
des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne responsable du système ou, le cas
échéant, du délégué à la protection des données.
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00125 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Ty Events à Guidel 152
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 2 mai 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-05-02-00125 - Arrêté préfectoral du 2 mai 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour l'établissement Ty Events à Guidel 153
ExPRÉFETDU MORBIHANLibertéEgalitéFraternité
Direction des sécurités
Bureau de la prévention de la
délinquance et de la radicalisation
Arrêté préfectoral portant autorisation d'un système de vidéoprotection
Le préfet du Morbihan
Chevalier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Vu le code de la sécurité intérieure, et notamment ses articles L. 251-1 à L. 255-1 et R 251-1à R 253-4 ;
Vu l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection et ses annexes
techniques ;
Vu le décret du 20 juillet 2022 nommant M. Pascal Bolot en qualité de préfet du Morbihan ;
Vu l'arrêté préfectoral du 7 juin 2024 portant délégation de signature à Mme Marie Conciatori, directrice de cabinet de la préfecture du
Morbihan ;
Vu la demande d'autorisation d'installation d'un système de vidéoprotection présentée par M. le maire pour la Commune de Saint-
Gildas de Rhuys – Port aux Moines ;
Vu l'avis de la commission départementale des systèmes de vidéoprotection du 13 juin 2024 ;
A R R E T E
Article 1 er – L'établissement est autorisé à installer et à exploiter un système de vidéoprotection tel que défini au dossier annexé à la
demande enregistrée sous le n° 2024/0278 et répondant aux caractéristiques suivantes :
Établissement concerné : Commune de Saint-Gildas de Rhuys – Port aux Moines
Lieu d'implantation : Port aux Moines
56730 Saint-Gildas de Rhuys
Nombre de caméras : 3 sur la voie publique
Identité du déclarant : M. le maire
Le système répond aux finalités prév u es par la loi :
- Sécurité des personnes
- Prévention des atteintes aux biens
- Protection des bâtiments publics
Le système ne devra pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et doit être conforme aux normes techniques fixées par la
réglementation.
Article 2 – L'autorisation est accordée pour une période de 5 ans à compter de la date du présent arrêté. Elle est renouvelable sur
demande au plus tard quatre mois avant le terme de ce délai.
Article 3 – Le public devra être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à la configuration des
lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personnes responsable du système ou, le cas échéant,
du délégué à la protection des données .
Article 4 – Hormis les cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, les
enregistrements seront détruits dans un délai maximum de 30 jours.
Article 5 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de destruction des
images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet. Il devra se porter garant des personnes susceptibles d'intervenir
dans l'exploitation ou le visionnage des images ainsi que dans la maintenance du système mis en place. Des consignes sur la
confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront
données à toutes les personnes concernées.
Article 6 – L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à toute
personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement autorisée par le responsable du système ou de son
exploitation.
Article 7 – L'accès aux enregistrements est ouvert, dans un cadre de police administrative, aux agents de police et de gendarmerie
individuellement désignés et dûment habilités à cette fin par leur chef de service, dans les conditions de l'article L.252-3 du code de
sécurité intérieure susmentionné. La durée de conservation des images par ces agents ne pourra excéder un mois, sans préjudice des
besoins afférents à des procédures judiciaires. Cet accès est valable pour la durée de validité de l'autorisation.
Article 8 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des services préfectoraux
(notamment les changements dans la configuration des lieux, affectant la protection des images et des dates de mise en place ou
d'arrêt du système).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00015 - Commune de Saint-Gildas de RhuysArrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant
autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour la Commune de Saint-Gildas de Rhuys 154
Article 9 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation pourra être retirée, après observations
éventuelles de son bénéficiaire, en cas de manquement aux dispositions prévues aux articles L. 251-2, L 251-3, L. 252-1 à L. 252-6,
L.253-1 à L.253-5 du code de la sécurité intérieure ou à l'article 18 du décret du 17 octobre 1996 ou en cas de modification des
conditions de délivrance de cette autorisation.
Article 10 – La présente autorisation sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Article 11 – La directrice de cabinet de la préfecture du Morbihan et le bénéficiaire de l'autorisation , sont chargés, chacun en ce qui l e
concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Vannes, le 1er juillet 2024
Pour le préfet, par délégation
l'adjoint à la directrice des sécurités
Gwénaël Dréano
La présente décision peut être contestée à compter de la notification en utilisant les voies de recours suivantes :
- dans un délai de deux mois, un recours gracieux motivé peut être adressé à l'autorité administrative ayant pris la décision contestée.
- un recours hiérarchique peut être introduit auprès du ministre de l'intérieur de l'outre-mer et des collectivités territoriales dans les
deux mois suivants.
- un recours contentieux peut être formé devant le tribunal administratif territorialement compétent (Tribunal Administratif de Rennes –
3, Contour de la Motte – 35044 Rennes cedex). Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard dans un délai de deux mois à
compter de la date de notification de la décision.
Le tribunal administratif de Rennes peut être saisi par l'application Télérecours citoyens accessible par le site www.telerecours.fr.
Rappel : Utiliser un système de vidéoprotection sans autorisation, au sens de la réglementation en vigueur, est puni de trois ans
d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1,
L. 121-9, L. 1222-4 et L. 2323-47 du code du travail.
Le fait de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite est puni de cinq ans
d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (article 226-18 du code pénal).
5601_Préfecture et sous-préfectures - 56-2024-07-01-00015 - Commune de Saint-Gildas de RhuysArrêté préfectoral du 1er juillet 2024 portant
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