RAA n°008 du 14 janvier 2025

Préfecture de Loire-Atlantique – 14 janvier 2025

ID 3acd013768758a2825dd3320ec305fca153012971b492c7c3409e4ba7c88d650
Nom RAA n°008 du 14 janvier 2025
Administration ID pref44
Administration Préfecture de Loire-Atlantique
Date 14 janvier 2025
URL https://www.loire-atlantique.gouv.fr/contenu/telechargement/65904/477734/file/RAA%20n%C2%B0008%20du%2014%20janvier%202025.pdf
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéRECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
n° 008 du 14 janvier 2025

SOMMAIRE
PREFECTURE 44
CAB – CABINET
1-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-385 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Banque Populaire (dossier 2009-0125) – Saint-
Herblain
2-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-386 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement public La Cité des congrès (dossier 2010-016) – Nantes
3-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-2387 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société Carter Cash (dossier 2012-021) – Saint-Luce-sur-Loire
4-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-388 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à au centre aquatique AQUAJADE (dossier 2013-0296) – Saint-Brévin-les-Pins
5-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-389 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0712) – La
Montagne
6-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-390 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0714) –
Herbignac
7-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-391 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0715) –
Pornic
8-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-392 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée – Saint-Jacques (dossier
2013-0717) – Nantes
9-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-393 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0719) – Le
Pellerin
10-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-394 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée – Pont du Cens (dossier
2013-0721) – Nantes
11-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-395 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0728) –
Sainte-Luce-sur-Loire
12-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-396 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0730) –
Saint-Gildas-des-Bois
13-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-397 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0733) –
Sautron
14-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-398 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0735) –
Divatte-sur-Loire
15-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-399 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0736) –
Thouaré-sur-Loire
16-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-400 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0738) –
Saint-Herblain (rue Pierre Blard)
17-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-401 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0739) –
Saint-Herblain (rue de Saint Nazaire)
18-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-402 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0740) –
Orvault
19-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-403 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0747) –
Chaumes en Retz
20-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-404 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0748) –
Saint-Nazaire (BD de l'université)
21-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-405 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0750) –
Saint-Julien-de-Concelles
22-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-406 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2013-0758) –
Saint-Nicolas-de-Redon
23-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-407 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-073) –
Saint-Pazanne
24-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-408 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-077) –
Plessé
25-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-409 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-081) –
Derval
26-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-410 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-082) – Le
Croisic
27-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-411 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-083) –
Treillières
28-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-412 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-085) – Rezé
29-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-413 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-088) –
Trignac
30-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-414 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-089) –
Machecoul
31-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-415 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-090) –
Donges
32-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-416 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-093) –
Saint-Sébastien-sur-Loire
33-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-417 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-094) –
Nantes (rond point de Paris)
34-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-418 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-096) –
Moisdon-La-Rivière
35-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-419 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-097) –
Clisson
36-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-420 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-098) –
Saint-Philbert de Grand-lieu
37-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-421 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0100) –
Geneston
38-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-422 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0101) –
Nozay
39-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-423 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0102) –
Saint-Etienne-de-Montluc
40-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-424 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0104) – La
Chapelle-sur-Erdre
41-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-425 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0105) –
Riaillé
42-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-426 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0106) – Le
Loroux-Bottereau
43-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-427 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0107) –
Blain
44-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-428 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0108) – La
Baule-Escoublac
45-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-429 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0110) –
Legé
46-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-430 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0111) –
Pont-Saint-Martin
47-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-431 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0114) –
Rezé (Océane)
48-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-432 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0115) –
Ligné
49-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-433 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0118) –
Haute-Goulaine
50-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-434 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0122) –
Vieillevigne
51-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-435 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0123) –
Vertou
52-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-436 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0124) –
Loireauxence
53-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-437 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0125) –
Saint-Nazaire (Plaisance)
54-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-438 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0127) –
Saint-Nazaire (Commerce)
55-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-439 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2014-0128) – La
Turballe
56-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-440 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société LIDL (dossier 2014-0312) – Saint-Nazaire
57-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-441 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Banque Populaire Grand Ouest (dossier 2014-
0320) – Saint-Herblain
58-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-443 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement SASU Casino Barrière (dossier 2014-0422) – La Baule-
Escoublac
59-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-444 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société LIDL (dossier 2014-0435) – Blain
60-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-445 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Institut des Mines-Telecom (IMT) Atlantique-Breatgen-Pays
de la Loire (dossier 2014-0644) – Nantes
61-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-446 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société EMA-ETAM (dossier 2014-0653) – Ancenis-Saint-Géréon
62-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-447 du 30 décembre 2024 portant modification d'un système de
vidéo-protection à l'établissement bancaire Banque Populaire Grand Ouest (dossier 2014-0740) –
Nantes
63-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-448 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Banque Populaire Grand Ouest (dossier 2014-
0759) – Couëron
64-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-449 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Banque Populaire Grand Ouest (dossier 2015-03)
– Nantes (Bd de la liberté)
65-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-450 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société SAS VF J France VANS (dossier 2016-027) – Nantes
66-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-451 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société SUPER U (dossier 2016-0476) – Carquefou
67-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-452 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2017-0304) –
Nantes (Lafayette)
68-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-453 du 30 décembre 2024 portant modification d'un système de
vidéo-protection à l'établissement Nantes Métropole- Musée d'Arts (dossier 2017-0332) – Nantes
69-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-454 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société HYPER U (dossier 2017-0507) – Vallet
70-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-455 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société SECA-Antoine Le Boulanger (dossier 2017-0537) – Saint-Herblain
71-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-456 du 30 décembre 2024 portant modification d'un système de
vidéo-protection à la collectivité territoriale Nantes Métropole-Centre de Supervision Urbain
(dossier 2017-0556) – Nantes Métropole
72-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-457 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Banque Populaire Grand Ouest (dossier 2018-
0303) – Savenay
73-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-500 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la société Castorama France (dossier 2018-0468) – Saint-Nazaire
74-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-458 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0542) –
Treillières
75-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-459 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0543) – Saint-
Nicolas-de-Redon
76-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-460 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0547) –
Sautron
77-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-461 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0550) –
Couëron
78-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-462 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à la l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0553) –
Nozay
79-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-463 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0554) – Plessé
80-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-464 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste(dossier 2019-0556) –
Vallons-de-l'Erdre
81-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-465 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0557) – Blain
82-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-466 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0561) – Nort-
sur-Erdre
83-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-467 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0562) –
Châteaubriant
84-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-468 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0574) –
Thouaré-sur-Loire
85-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-469 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste(dossier 2019-0578) –
Derval
86-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-470 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0579) – Saint-
Herblain
87-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-471 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0590) –
Montoir-de-Bretagne
88-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-472 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0592) – La
Bernerie-en-Retz
89-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-473 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0597) – La
Plaine-sur-Mer
90-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-474 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0611) – Saint-
Viaud
91-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-475 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0613) –
Frossay
92-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-476 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-0621) – Port-
Saint-Père
93-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-477 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire BNP Paribas (dossier 2019-0669) – Carquefou
94-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-478 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire BNP Paribas (dossier 2019-0671) – La Baule-
Escoublac
95-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-479 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel - Talensac (dossier 2019-0676) –
Nantes
96-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-480 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel (dossier 2019-0680) – Pont-Saint-
Martin
97-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-481 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel (dossier 2019-0683) – Basse-
Goulaine
98-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-482 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel (dossier 2019-0684) – Campbon
99-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-483 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection l'établissement bancaire Banque CIC Ouest (dossier 2019-0687) – Vertou
100-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-484 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à la société SNCF Voyageurs ESC TGV Ouest (dossier 2019-0728) –
Nantes
101-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-485 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à la société SCI Pôle numérique Pasteur (dossier 2019-0804) –
Savenay
102-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-486 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à la société SAS Carrefour Hypermarchés (dossier 2019-0869) –
Saint-Herblain
103-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-487 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel – Sainte Thérèse (dossier
2019-0892) – Nantes
104-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-488 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel – La Chenaie/Vieux
Doulon (dossier 2019-0893) – Nantes
105-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-489 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-
0898) – Saint-Nazaire
106-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-490 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à l'établissement Direction générale de La Poste (dossier 2019-
0901) – Le Pouliguen
107-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-491 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un système
de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel - Gare (dossier 2019-0906) –
Pornichet
108-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-492 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Mutuel - Mangin (dossier 2019-
0907) – Nantes
109-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-493 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à la société Manpower (dossier 2019-0996) – Châteaubriant
110-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-494 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à l'établissement Pharmacie des Jardins (dossier 2020-09) – Saint-
Nazaire
111-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-495 du 30 décembre 2024 portant modification d'un système
de vidéo-protection à la société Bio'zitive (dossier 2020-0850) – Saint-Pazanne
112-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-496 du 30 décembre 2024 portant modification d'un système
de vidéo-protection à la société Carrefour Hypermarchés - La Beaujoire (dossier 2020-01104) –
Nantes
113-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-497 du 30 décembre 2024 portant modification d'un système
de vidéo-protection sur le territoire communal de la commune de Vallet (dossier 2021-0620) –
Vallet
114-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-532 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection sur le territoire communal de la commune de Divatte-sur-Loire (dossier 2022-
0533) – Divatte-sur-Loire
115-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-498 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Planitis Auto Gétigné – Point S (dossier 2023-078) – Gétigné
116-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-499 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société SAS Mathines – Le P'tit Zinc (dossier 2023-080) – Le Pouliguen
117-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-501 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Le Grand Comptoir (dossier 2023-0560) – Saint-Herblain
118-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-502 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Orchestra Premaman (dossier 2023-0829) – Rezé
119-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-503 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection au Conseil Départemental de la Loire-Atlantique - Musée Dobrée (dossier
2023-0845) – Nantes
120-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-504 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à l'établissement bancaire Banque Populaire Grand Ouest (dossier 2023-0868)
– Rezé
121-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-505 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société GEMO (dossier 2024-0152) – Saint-Herblain
122-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-507 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°24911 (dossier 2024-0283) – Les
Sorinières
123-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-508 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Le Moulin de la Coutancière (dossier 2024-0397) – Grand-Auverné
124-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-509 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Biofortis (dossier 2024-0405) – Saint-Herblain
125-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-510 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Agricol Vendée Approv Vente Céréale - CAVAC (dossier 2024-0410)
– Touvois
126-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-511 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Redureau Thierry (dossier 2024-0445) – Malville
127-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-512 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Witradis - Cavavin (dossier 2024-0462) – La Baule-Escoublac
128-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-534 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société de Bienfaisance du Cellier-Résidence Montclair (dossier 2024-0468)
– Le Cellier
129-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-513 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Immhôtel - hôtel Ibis Thalasso (dossier 2024-0475) – Pornichet
130-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-514 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à l'établissement Mutualiste Sociale Agricole (dossier 2024-0477) – Saint-
Herblain
131-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-515 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société TRX Wild Alcédo Chasse et Pêche (dossier 2024-0495) – Pornichet
132-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-517 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Lactamat (dossier 2024-0726) – Saint-Etienne-de-Mer-Morte
133-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-518 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Macoretz (dossier 2024-0730) – Saint-Père-en-Retz
134-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-519 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Massot Casa Luna (dossier 2024-0731) – Treillières
135-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-520 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°25984 (dossier 2024-0742) – Sautron
136-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-521 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°26194 (dossier 2024-0743) – Nantes
137-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-522 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°26879 (dossier 2024-0744) – Nantes
138-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-523 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à a société Mondial Relay consigne N°26051 (dossier 2024-0745) – Les
Sorinières
139-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-524 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°25939 (dossier 2024-0524) – Guérande
140-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-525 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°25907 (dossier 2024-0747) – Nantes
141-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-526 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°25959 (dossier 2024-0748) – Bouvron
142-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-527 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°42920 (dossier 2024-0749) – Basse-
Goulaine
143-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-528 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°57488 (dossier 2024-0750) – Oudon
144-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-529 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à la société Mondial Relay consigne N°25479 (dossier 2024-0751) – Nantes
145-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-531 du 30 décembre 2024 portant autorisation d'un système de
vidéo-protection à l'établissement bancaire Crédit Agricole Vendée (dossier 2024-0758) –
Nantes
146-Arrêté CAB/SPAS/VIDEO/24-532 du 30 décembre 2024 portant renouvellement d'un
système de vidéo-protection à la société MC Donald's 2RG (dossier 2013-0589) – Guérande
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-385
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20090125)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST situé au sein de l'établissement sis 2 rue
Françoise Sagan - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 26 août 2024 par le
responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE
GRAND OUEST, au sein de l'établissement situé 2 rue Françoise Sagan - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dén ommé BANQUE
POPULAIRE GRAND OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 2 rue Françoise Sagan - 44800 SAINT-HERBLAIN ,
un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le
numéro 20090125.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 9
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
- 4 caméras extérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-386
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2010016)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement public dénommé LA CITÉ DES CONGRÈS DE NANTES situé au sein de l'établissement sis 5 rue de
Valmy - 44041 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 4 avril 2024 par
Monsieur CAILLE Denis , agissant en sa qualité de directeur général de l'établissement public dénommé LA CITÉ
DES CONGRÈS DE NANTES, au sein de l'établissement situé 5 rue de Valmy - 44041 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur CAILLE Denis , agissant en sa qualité de directeur général d e l'établissement public dénommé
LA CITÉ DES CONGRÈS DE NANTES est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 5 rue de Valmy - 44041 NANTES , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
2010016.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 114
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 96 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 9 caméras extérieures ;
- 9 caméras visionnant la voie publique ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°48 caméras HCL selon le tableau
des caractéristiques sur le plan et le listing d'implantation des caméras joints à la demande) implantées sur une
zone privative non ouverte au public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de
la sécurité intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises sur
la voie publique, il n'est pas possible de visualiser les images de l'intérieur des immeubles d'habitation, ni de façon
spécifique, celles de leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pas pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords ;
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par jélégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-387
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2012021)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/17-342 du 2 octobre 2017 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. CARTER CASH situé au sein de l'établissement sis
24 route de Paris - 44980 SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 7 août 2024 par le
responsable service travaux de la société dénommée S.A.S. CARTER CASH, au sein de l'établissement situé 24
route de Paris - 44980 SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable service travaux de la société dénommée S.A.S. CARTER CASH est autorisé, jusqu'au 29
décembre 2029 inclus, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement
sis 24 route de Paris - 44980 SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numér o 2012021.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 30
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 22 caméras intérieures ;
- 8 caméras extérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°1, n°19, n°20 et n°27 « livraison »
sur le plan et le listing d'implantation des caméras joints à la demande) implantées sur une zone privative non
ouverte au public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif
auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- lutte contre la démarque inconnue ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINTE-
LUCE-SUR-LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-388
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130296)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/BPS/13-316 du 3 juillet 2013 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. VM 44154 (VERT MARINE) - CENTRE AQUATIQUE
AQUAJADE situé au sein de l'établissement sis parc de la Guerche, avenue Georges Brassens - 44250 SAINT-
BRÉVIN-LES-PINS ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 17 octobre 2024 par
Monsieur Aurélie SADOU , agissant en sa qualité de directrice de la société dénommée S.A.S. VM 44154 (VERT
MARINE) - CENTRE AQUATIQUE AQUAJADE, au sein de l'établissement situé parc de la Guerche, avenue Georges
Brassens - 44250 SAINT-BRÉVIN-LES-PINS ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Aurélie SADOU , agissant en sa qualité de directric e de la société dénommée S.A .S. VM 44154
(VERT MARINE) - CENTRE AQUATIQUE AQUAJADE est autorisé, jusqu'au 29 décembre 2029 inclus , dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis parc de la Guerche, avenue
Georges Brassens - 44250 SAINT-BRÉVIN-LES-PINS , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numé ro 20130296.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 1
caméra. Ce système se décompose comme suit :
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 1 caméra intérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arr êté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINT-
BRÉVIN-LES-PINS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-389
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130712)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-425 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rond-point de l'Europe - 44620 LA MONTAGNE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rond-point de l'Europe - 44620 LA MONTAGNE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénomm é CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, jusqu'au 29 décembre 2029 inclus , dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au
sein de l'établissement sis rond-point de l'Europe - 44620 LA MONTAGNE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130712.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. L e
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LA
MONTAGNE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-390
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130714)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-647 du 12 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 16 rue Paul de la Monneraye - 44410 HERBIGNAC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 16 rue Paul de la Monneraye - 44410 HERBIGNAC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 16 rue Paul de la Monneraye - 44410 HERBIGNAC , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130714.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. L e
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de HERBIGNAC
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-391
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130715)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-422 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 1 avenue du traité d'Amsterdam - 44210 PORNIC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par ,
agissant en sa qualité de responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE
(C.A.A.V.), au sein de l'établissement situé 1 avenue du traité d'Amsterdam - 44210 PORNIC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 1 avenue du traité d'Amsterdam - 44210 PORNIC , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le nu méro 20130715.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune de PORNIC sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Liberté
Egalité
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-392
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130717)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-648 du 12 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
SAINT-JACQUES situé au sein de l'établissement sis 3 route de Clisson - 44200 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) SAINT-
JACQUES, au sein de l'établissement situé 3 route de Clisson - 44200 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
SAINT-JACQUES est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent
arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 3 route de Clisson - 44200 NANTES , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numé ro 20130717 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce dél ai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-393
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130719)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-439 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rue de la Jouardais - 44640 LE PELLERIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rue de la Jouardais - 44640 LE PELLERIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rue de la Jouardais - 44640 LE PELLERIN , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130719.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 11/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus . Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LE PELLERIN
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-394
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130721)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-649 du 12 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rond point du Cens - 44300 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rond point du Cens - 44300 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité d e l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rond point du Cens - 44300 NANTES , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130721.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrê té, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-395
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130728)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.2 23-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-433 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 11 rue Jean Moulin - 44980 SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 11 rue Jean Moulin - 44980 SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 11 rue Jean Moulin - 44980 SAINTE-LUCE-SUR-LOIRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130728.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. L e
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune de SAINTE-
LUCE-SUR-LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-396
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130730)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-440 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rue du Pont - 44530 SAINT-GILDAS-DES-BOIS ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rue du Pont - 44530 SAINT-GILDAS-DES-BOIS ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité d e l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rue du Pont - 44530 SAINT-GILDAS-DES-BOIS , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numér o 20130730.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINT-
GILDAS-DES-BOIS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-397
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130733)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-426 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 20 rue de Bretagne - 44880 SAUTRON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par l e
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 20 rue de Bretagne - 44880 SAUTRON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement banc aire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 20 rue de Bretagne - 44880 SAUTRON , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numér o 20130733.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. L e
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune de SAUTRON
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-398
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130735)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-451 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 2 rue du Calvaire - 44450 DIVATTE-SUR-LOIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 2 rue du Calvaire - 44450 DIVATTE-SUR-LOIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 2 rue du Calvaire - 44450 DIVATTE-SUR-LOIRE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130735.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. L e
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de DIVATTE-
SUR-LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-399
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130736)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-420 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 9 place de la République - 44470 THOUARÉ-SUR-LOIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 9 place de la République - 44470 THOUARÉ-SUR-LOIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité de l' établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 9 place de la République - 44470 THOUARÉ-SUR-LOIRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée so us le numéro 20130736.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de THOUARÉ-
SUR-LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-400
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130738)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-442 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 2 rue Pierre Blard - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 2 rue Pierre Blard - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 2 rue Pierre Blard - 44800 SAINT-HERBLAIN , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le nu méro 20130738.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune
de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-401
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130739)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-651 du 12 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 3 rue de Saint Nazaire - 4480 SAINT-HERBLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 3 rue de Saint Nazaire - 4480 SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l 'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelabl e, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 3 rue de Saint Nazaire - 4480 SAINT-HERBLAIN , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le num éro 20130739.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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ATLANTIQUE
Liberté
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-402
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130740)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-436 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 2 place Jeanne d'Arc - 44700 ORVAULT ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 2 place Jeanne d'Arc - 44700 ORVAULT ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'é tablissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 2 place Jeanne d'Arc - 44700 ORVAULT , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le n uméro 20130740.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de ORVAULT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-403
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130747)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-448 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis zone d'activité Le Butay - 44320 CHAUMES EN RETZ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé zone d'activité Le Butay - 44320 CHAUMES EN RETZ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité d e l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis zone d'activité Le Butay - 44320 CHAUMES EN RETZ, un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130747 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de CHAUMES
EN RETZ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-404
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130748)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-435 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 48 boulevard de l'Université - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 48 boulevard de l'Université - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 48 boulevard de l'Université - 44600 SAINT-NAZAIRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le num éro 20130748.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-NAZAIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-405
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130750)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-428 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 7 place de l'Europe - 44450 SAINT-JULIEN-DE-CONCELLES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 7 place de l'Europe - 44450 SAINT-JULIEN-DE-CONCELLES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établis sement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 7 place de l'Europe - 44450 SAINT-JULIEN-DE-CONCELLES , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20130750.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINT-
JULIEN-DE-CONCELLES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-406
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130758)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-452 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 40 avenue Jean Burel - 44460 SAINT-NICOLAS-DE-REDON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 40 avenue Jean Burel - 44460 SAINT-NICOLAS-DE-REDON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 40 avenue Jean Burel - 44460 SAINT-NICOLAS-DE-REDON , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le num éro 20130758.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
él : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINT-
NICOLAS-DE-REDON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécuti on du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
él : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-407
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014073)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-477 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 10 place de Retz - 44680 SAINTE-PAZANNE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 10 place de Retz - 44680 SAINTE-PAZANNE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 10 place de Retz - 44680 SAINTE-PAZANNE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le nu méro 2014073.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINTE-
PAZANNE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-408
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014077)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-480 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 1 place de l'Église - 44630 PLESSÉ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 1 place de l'Église - 44630 PLESSÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 1 place de l'Église - 44630 PLESSÉ , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le n uméro 2014077.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune de PLESSÉ sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-409
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014081)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-419 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis place du Bon Accueil - 44590 DERVAL ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé place du Bon Accueil - 44590 DERVAL ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis place du Bon Accueil - 44590 DERVAL , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014081.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des ac tes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune d e DERVAL sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-410
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014082)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-474 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 11 rue du Pilori - 44490 LE CROISIC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 11 rue du Pilori - 44490 LE CROISIC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 11 rue du Pilori - 44490 LE CROISIC , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014082.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus . Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LE CROISIC
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-411
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014083)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-655 du 12 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 56 rue de la Mairie - 44119 TREILLIÈRES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 56 rue de la Mairie - 44119 TREILLIÈRES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 56 rue de la Mairie - 44119 TREILLIÈRES , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014083.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de TREILLIÈRES
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-412
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014085)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-456 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
SAINT-PAUL situé au sein de l'établissement sis 4 bis rond point de la Corbinerie - 44400 REZÉ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) SAINT-PAUL, au
sein de l'établissement situé 4 bis rond point de la Corbinerie - 44400 REZÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
SAINT-PAUL est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à
mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 4 bis rond point de la Corbinerie - 44400 REZÉ , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014085.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune
de REZÉ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-413
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014088)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-462 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 9 bis rue Barbara - 44570 TRIGNAC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 9 bis rue Barbara - 44570 TRIGNAC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l' établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 9 bis rue Barbara - 44570 TRIGNAC , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014088.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de TRIGNAC
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-414
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014089)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-488 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rue de Challans - 44270 MACHECOUL-SAINT-MÊME ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rue de Challans - 44270 MACHECOUL-SAINT-MÊME ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rue de Challans - 44270 MACHECOUL-SAINT-MÊME , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014089.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arr êté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de
MACHECOUL-SAINT-MÊME sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-415
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014090)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-417 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 23 rue Laënnec - 44480 DONGES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 23 rue Laënnec - 44480 DONGES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 23 rue Laënne c - 44480 DONGES , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le num éro 2014090.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. L e
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune de DONGES
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-416
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014093)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) situé au sein de l'établissement sis 14
rue Maurice Daniel - 44230 SAINT-SÉBASTIEN-SUR-LOIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 14 rue Maurice Daniel - 44230 SAINT-SÉBASTIEN-SUR-LOIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, da ns les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 14 rue Maurice Daniel - 44230 SAINT-SÉBASTIEN-SUR-LOIRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le nu méro 2014093.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus . Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-SÉBASTIEN-SUR-LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont
un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-417
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014094)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loir e, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprote ction, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rond point de Paris - 44000 NANTES ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) situé au sein de l'établissement sis rond
point de Paris - 44000 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rond point de Paris - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rond point de Paris - 44000 NANTES , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014094.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 4 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par jélégation
La D een
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus . Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-418
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014096)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-469 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 3 rue des Perrières - 44520 MOISDON-LA-RIVIÈRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 3 rue des Perrières - 44520 MOISDON-LA-RIVIÈRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 3 rue des Perrières - 44520 MOISDON-LA-RIVIÈRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014096.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de MOISDON-
LA-RIVIÈRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-419
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014097)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-421 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 28/30 avenue du Général Leclerc - 44190 CLISSON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 28/30 avenue du Général Leclerc - 44190 CLISSON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 28/30 avenue du Général Leclerc - 44190 CLISSON , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014097 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrê té, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de CLISSON
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-420
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2014098)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-459 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 17 rue de la Poste - 44310 SAINT-PHILBERT-DE-GRAND-LIEU ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 17 rue de la Poste - 44310 SAINT-PHILBERT-DE-GRAND-LIEU ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 17 rue de la Poste - 44310 SAINT-PHILBERT-DE-GRAND-LIEU , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2014098.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrê té, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINT-
PHILBERT-DE-GRAND-LIEU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-421
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140100)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-432 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 22 place Georges Gaudet - 44140 GENESTON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 22 place Georges Gaudet - 44140 GENESTON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 22 place Georges Gaudet - 44140 GENESTON , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140100.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de GENESTON
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arr êté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-422
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140101)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-482 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis route de Marsac - 44170 NOZAY ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par e
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé route de Marsac - 44170 NOZAY ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis route de Marsac - 44170 NOZAY , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140101.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de NOZAY sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont u n exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-423
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140102)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de l'établissement
bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) situé au sein de l'établissement sis 16 rue Aristide Briand
- 44360 SAINT-ÉTIENNE-DE-MONTLUC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 16 rue Aristide Briand - 44360 SAINT-ÉTIENNE-DE-MONTLUC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 16 rue Aristide Briand - 44360 SAINT-ÉTIENNE-DE-MONTLUC , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140102.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de l a commune de SAINT-
ÉTIENNE-DE-MONTLUC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-424
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140104)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) situé au sein de l'établissement sis 1 rue
des Chataigniers - 44240 LA CHAPELLE-SUR-ERDRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 1 rue des Chataigniers - 44240 LA CHAPELLE-SUR-ERDRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 1 rue des Chataigniers - 44240 LA CHAPELLE-SUR-ERDRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140104.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune de LA
CHAPELLE-SUR-ERDRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-425
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140105)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-455 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rue de l'Ouche - 44440 RIAILLÉ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rue de l'Ouche - 44440 RIAILLÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurit é de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rue de l'Ouche - 44440 RIAILLÉ , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140105.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de RIAILLÉ sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté do nt un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Liberté
Egalité
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-426
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140106)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-486 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 1 rue porte Saumon - 44430 LE LOROUX-BOTTEREAU ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 1 rue porte Saumon - 44430 LE LOROUX-BOTTEREAU ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 1 rue porte Saumon - 44430 LE LOROUX-BOTTEREAU , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140106.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LE LOROUX-
BOTTEREAU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-427
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140107)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-656 du 12 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rue du 6 juin 1944 - 44130 BLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rue du 6 juin 1944 - 44130 BLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'é tablissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rue du 6 juin 1944 - 44130 BLAIN , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140107 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 7 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'ar rêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune de BLAIN sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-428
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140108)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-444 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 1 avenue Clémenceau - 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 1 avenue Clémenceau - 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité d e l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 1 avenue Clémenceau - 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140108.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de LA BAULE-ESCOUBLAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-429
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140110)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-467 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 1 rue Aristide Briand - 44650 LEGÉ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 1 rue Aristide Briand - 44650 LEGÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 1 rue Aristide Briand - 44650 LEGÉ , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140110.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LEGÉ sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-430
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140111)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-478 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 1 place Saint-Martin - 44860 PONT-SAINT-MARTIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 1 place Saint-Martin - 44860 PONT-SAINT-MARTIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 1 place Saint-Martin - 44860 PONT-SAINT-MARTIN , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140111.
Conformément au dossier présenté, la demande porte su r l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le ma ire de la commune de PONT-SAINT-
MARTIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-431
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140114)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-454 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 80 rue Jean Jaurès - 44400 REZÉ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 80 rue Jean Jaurès - 44400 REZÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurit é de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 80 rue Jean Jaurès - 44400 REZÉ , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140114.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de REZÉ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-432
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140115)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-468 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 42 rue des Acacias - 44850 LIGNÉ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 42 rue des Acacias - 44850 LIGNÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 42 rue des Acacias - 44850 LIGNÉ , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140115.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LIGNÉ sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-433
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140118)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-427 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 7 passage du Beau Soleil - 44115 HAUTE-GOULAINE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 7 passage du Beau Soleil - 44115 HAUTE-GOULAINE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 7 passage du Beau Soleil - 44115 HAUTE-GOULAINE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140118.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire d e la commune de HAUTE-
GOULAINE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-434
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140122)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-484 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis passage de Verdun - 44116 VIEILLEVIGNE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé passage de Verdun - 44116 VIEILLEVIGNE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité d e l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis passage de Verdun - 44116 VIEILLEVIGNE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140122.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de
VIEILLEVIGNE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-435
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140123)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-464 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 7 rue de l'Ile de France - 44120 VERTOU ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 7 rue de l'Ile de France - 44120 VERTOU ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 7 rue de l'Ile de France - 44120 VERTOU , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140123.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de VERTOU sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-436
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140124)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-461 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis rue du Maréchal Foch - 44370 LOIREAUXENCE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé rue du Maréchal Foch - 44370 LOIREAUXENCE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis rue du Maréchal Foch - 44370 LOIREAUXENCE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140124.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de
LOIREAUXENCE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-437
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140125)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) PLAISANCE situé au sein de
l'établissement sis 2 rue de Mozart - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) PLAISANCE, au
sein de l'établissement situé 2 rue de Mozart - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
PLAISANCE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à
mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 2 rue de Mozart - 44600 SAINT-NAZAIRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140125.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-NAZAIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-438
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140127)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-657 du 12 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
COMMERCE situé au sein de l'établissement sis 8 place du commerce - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.) COMMERCE, au
sein de l'établissement situé 8 place du commerce - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
COMMERCE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à
mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 8 place du commerce - 44600 SAINT-NAZAIRE , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140127 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 7 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrê té, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-NAZAIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution d u présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-439
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140128)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-473 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
situé au sein de l'établissement sis 18 quai Saint Pierre - 44420 LA TURBALLE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.), au sein de
l'établissement situé 18 quai Saint Pierre - 44420 LA TURBALLE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE (C.A.A.V.)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 18 quai Saint Pierre - 44420 LA TURBALLE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140128.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compt er de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LA TURBALLE
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté do nt un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-440
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140312)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de la société
dénommée S.N.C. LIDL situé au sein de l'établissement sis 73 route de la Côte d'Amour - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 4 juillet 2024 par
Monsieur KNOCKAERT Gilles , agissant en sa qualité de directeur régional de la société dénommée S.N.C. LIDL , au
sein de l'établissement situé 73 route de la Côte d'Amour - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur KNOCKAERT Gilles , agissant en sa qualité de directeur région al de la société dénommée
S.N.C. LIDL est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à
mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 73 route de la Côte d'Amour - 44600 SAINT-NAZAIRE , un système
de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20140312.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 8 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- lutte contre la démarque inconnue ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-NAZAIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-441
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140320)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST situé au sein de l'établissement sis 24 rue
de la Rabotière - 44919 SAINT-HERBLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 18 septembre 2024 par
le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE
GRAND OUEST , au sein de l'établissement situé 24 rue de la Rabotière - 44919 SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE
POPULAIRE GRAND OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 24 rue de la Rabotière - 44919 SAINT-HERBLAIN ,
un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le
numéro 20140320.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 12
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 1 caméra intérieure ;
- 11 caméras extérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-443
portant renouvellement d'un périmètre vidéoprotégé autorisé
(dossier n°20140422)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-585 du 8 décembre 2020 portant autorisation d'installer un système
de vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S.U. STE EXPL DU CASINO DE LA BAULE - CASINO
BARRIÈRE situé au sein de l'établissement sis 24 esplanade Lucien Barrière - 44503 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé recourant à la notion de périmètre
vidéoprotégé, transmise le 15 mai 2024 par Monsieur David DUPAS , agissant en sa qualité de directeur général de la
société dénommée S.A.S.U. STE EXPL DU CASINO DE LA BAULE - CASINO BARRIÈRE, au sein de l'établissement
situé 24 esplanade Lucien Barrière - 44503 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur David DUPAS , agissant en sa qualité de directeur général d e la société dénommée S.A.S.U.
STE EXPL DU CASINO DE LA BAULE - CASINO BARRIÈRE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 24 esplanade Lucien
Barrière - 44503 LA BAULE-ESCOUBLAC , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté,
annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140422.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 11/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un périmètre vidéoprotégé implanté au
sein de l'établissement CASINO BARRIÈRE, situé à l'adresse suivante :
• 24 esplanade Lucien Barrière - 44503 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
28 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-585 du 8 décembre 2020 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune
de LA BAULE-ESCOUBLAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-444
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140435)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de la société
dénommée S.N.C. LIDL situé au sein de l'établissement sis 10 avenue de la République - 44130 BLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 14 juin 2024 par
Monsieur KNOCKAERT Gilles , agissant en sa qualité de directeur régional de la société dénommée S.N.C. LIDL , au
sein de l'établissement situé 10 avenue de la République - 44130 BLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur KNOCKAERT Gilles , agissant en sa qualité de directeur régional de la société dénommée
S.N.C. LIDL est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à
mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 10 avenue de la République - 44130 BLAIN , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140435.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 8 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- lutte contre la démarque inconnue ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil de s actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de BLAIN sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-445
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140644)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement public dénommé INSTITUT MINES-TELECOM (IMT) ATLANTIQUE-BRETAGNE-PAYS DE LA LOIRE
situé au sein de l'établissement sis 4 rue Alfred Kastler - 44300 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 8 octobre 2024 par
Monsieur BARBÉ Karl , agissant en sa qualité de technicien santé sécurité sûreté de l'établissement public
dénommé INSTITUT MINES-TELECOM (IMT) ATLANTIQUE-BRETAGNE-PAYS DE LA LOIRE, au sein de l'établissement
situé 4 rue Alfred Kastler - 44300 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur BARBÉ K arl, agissant en sa qualité de technicien santé sécurité sûreté de l'établissement
public dénommé INSTITUT MINES-TELECOM (IMT) ATLANTIQUE-BRETAGNE-PAYS DE LA LOIRE est autorisé, pour
une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 4 rue Alfred Kastler - 44300 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140644.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 57
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 14 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 43 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords ;
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par jélégation
La D een
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-446
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140653)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de la société
dénommée S.A.R.L. E.M.A - ETAM situé au sein de l'établissement sis 650 boulevard de la prairie - 44150 ANCENIS-
SAINT-GÉRÉON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 20 août 2024 par
Monsieur David BILLON , agissant en sa qualité de co-gérant de la société dénommée S.A.R.L. E.M.A - ETAM, au sein
de l'établissement situé 650 boulevard de la prairie - 44150 ANCENIS-SAINT-GÉRÉON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur David BILLON , agissant en sa quali té de co-gérant de la société dénommée S.A.R.L. E.M.A -
ETAM est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre
en œuvre, au sein de l'établissement sis 650 boulevard de la prairie - 44150 ANCENIS-SAINT-GÉRÉON , un système
de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enre gistrée sous le numéro
20140653.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- secours aux personnes et défense contre l'incendie ;
- Vols et cambriolages ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de ANCENIS-
SAINT-GÉRÉON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécutio n du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-448
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140759)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST situé au sein de l'établissement sis 8 bis
rue du 4 septembre - 44220 COUËRON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 30 août 2024 par le
responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE
GRAND OUEST , au sein de l'établissement situé 8 bis rue du 4 septembre - 44220 COUËRON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité des personnes et d es biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE
POPULAIRE GRAND OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 8 bis rue du 4 septembre - 44220 COUËRON , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20140759.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de COUËRON
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-447
portant modification d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20140740)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-613 du 8 janvier 2021 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST
situé au sein de l'établissement sis 1 boulevard du Feltre - 44000 NANTES ;
VU la demande de modification d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 26 août 2024 par ,
agissant en sa qualité de responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé
BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST , au sein de l'établissement situé 1 boulevard du Feltre - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE
POPULAIRE GRAND OUEST est autorisé, jusqu'au 7 janvier 2026 inclus , dans les conditions fixées au présent
arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 1 boulevard du Feltre - 44000 NANTES , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20140740.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 8 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délegation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-613 du 8 janvier 2021 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 7 janvier 2026 inclus . Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-449
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°201503)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte de
l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST situé au sein de l'établissement sis 43
boulevard de la Liberté - 44000 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 29 août 2024 par le
responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE
GRAND OUEST , au sein de l'établissement situé 43 boulevard de la Liberté - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE
POPULAIRE GRAND OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 43 boulevard de la Liberté - 44000 NANTES , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
201503.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arr êté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-450
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°2016027)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/BPS/16/045 du 25 mars 2016 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. VF J FRANCE (VANS) situé au sein de
l'établissement sis 8 rue Crébillon - 44000 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 22 août 2024 par
Madame Béatrice MIARA , agissant en sa qualité de directrice financier de la société dénommée S.A.S. VF J FRANCE
(VANS), au sein de l'établissement situé 8 rue Crébillon - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Béatrice MIARA , agissant en sa qualité de directrice financ ier de la société dénommée S.A.S.
VF J FRANCE (VANS) est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent
arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 8 rue Crébillon - 44000 NANTES , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2016027 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 8 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-451
portant modification d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20160476)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB.SPAS/VIDÉO/2023-335 du 20 juin 2023 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. CLABODIS - SUPER U situé au sein de
l'établissement sis Le Souchais, route de Sucé-sur-Erdre - 44470 CARQUEFOU ;
VU la demande de modification d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 18 octobre 2024 par
Monsieur Pascal CLARET , agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.S. CLABODIS - SUPER U, au
sein de l'établissement situé Le Souchais, route de Sucé-sur-Erdre - 44470 CARQUEFOU ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Pascal CLARET , agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.S. CLABODIS -
SUPER U est autorisé, jusqu'au 19 juin 2028 inclus, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre,
au sein de l'établissement sis Le Souchais, route de Sucé-sur-Erdre - 44470 CARQUEFOU , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20160476.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 123
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 77 caméras intérieures ;
- 46 caméras extérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°52 « entrée perso », n°60
« réserve », n°61, n°62, n°63, n°64, n°65, n°72, n°76 « réserve niv0 », n°77 , n°80, n°81, n°85, n°93, n°106 « réserve bières
», n°107 « réserve papier toilette » et n°108 sur le plan et le listing d'implantation des caméras joints à la demande)
implantées sur une zone privative non ouverte au public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article
L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent
relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- lutte contre les cambriolages ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
21 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB.SPAS/VIDÉO/2023-335 du 20 juin 2023 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 19 juin 2028 inclus. Le système
concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et une
nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce
délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune de CARQUEFOU
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-452
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20170304)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDÉO/19-0304 du 13 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système
de vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE situé au
sein de l'établissement sis 5 place Aristide Briand - 44000 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 28 août 2024 par le
responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE , au sein de
l'établissement situé 5 place Aristide Briand - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Arti cle 1 er –Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE est autorisé,
pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein
de l'établissement sis 5 place Aristide Briand - 44000 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20170304.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 8 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-453
portant modification d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20170332)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDÉO/18-287 du 14 juin 2022 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la collectivité territoriale dénommée NANTES MÉTROPOLE - MUSÉE D'ARTS
situé au sein de l'établissement sis 10 rue Georges Clémenceau - 44000 NANTES ;
VU la demande de modification d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 22 mai 2024 par Madame
Johanna ROLLAND, agissant en sa qualité de présidente de Nantes Métropole de la collectivité territoriale
dénommée NANTES MÉTROPOLE - MUSÉE D'ARTS, au sein de l'établissement situé 10 rue Georges Clémenceau -
44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Johanna ROLLAND, agissant en sa qualité de présidente de Nantes Métropole de la
collectivité territoriale dénommée NANTES MÉTROPOLE - MUSÉE D'ARTS est autorisée, pour une durée de cinq
ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 10
rue Georges Clémenceau - 44000 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté,
annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20170332.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 88
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 75 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 13 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes ou et des biens dans les lieux particulièrement exposés
à des risques d'agression et de vol ou de trafic de stupéfiants ;
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDÉO/18-287 du 14 juin 2022 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 13 juin 2027 inclus. Le système
concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et une
nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce
délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-454
portant renouvellement d'un syst ème de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20170507)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDÉO/17-454 du 20 novembre 2017 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. CJV DISTRIBUTION - HYPER U situé au sein de
l'établissement sis route d'Ancenis - 44330 VALLET ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 8 août 2024 par
Madame Cécile BARRE , agissant en sa qualité de directeur générale de la société dénommée S.A.S. CJV
DISTRIBUTION - HYPER U, au sein de l'établissement situé route d'Ancenis - 44330 VALLET ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Cécile BARRE , agissant en sa qualité de directeur général e de la société dénommée S.A.S. CJV
DISTRIBUTION - HYPER U est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis route d'Ancenis - 44330 VALLET , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20170507 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 56
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 42 caméras intérieures ;
- 14 caméras extérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°C1, CE12 et DE4 sur le plan et le
listing d'implantation des caméras joints à la demande) impl antées sur une zone privative non ouverte au public
qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc
pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission
Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention et constatation des infractions relatives à l'abandon d'ordures, de déchets, de matériaux ou
d'autres objets ;
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire d e la commune de VALLET sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-455
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20170537)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDÉO/17-491 du 15 décembre 2017 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. SECA - ANTOINE LE BOULANGER situé au sein de
l'établissement sis 8 rue des Merisiers - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 24 juillet 2024 par
Monsieur Christian CAILLAUD , agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.S. SECA - ANTOINE LE
BOULANGER, au sein de l'établissement situé 8 rue des Merisiers - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Christian CAILLAUD , agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.S. SECA -
ANTOINE LE BOULANGER est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 8 rue des Merisiers - 44800 SAINT-HERBLAIN , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20170537 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 7
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 7 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°5, n°6 et n°7 « fournil » sur le plan
et le listing d'implantation des caméras joints à la demande) imp lantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont
donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission
Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-456
portant modification d'un périmètre vidéo-protégé autorisé
(dossier n°20170556)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDEO/24-14 du 8 mars 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la collectivité territoriale dénommée NANTES MÉTROPOLE - CENTRE DE
SUPERVISION URBAIN (CSU) situé au sein de l'établissement sis sites multiples - INDRE, REZÉ et VERTOU ;
VU la demande de modification d'un système de vidéo-protection autorisé pour le centre de supervision urbain de
NANTES MÉTROPOLE, transmise le 1er septembre 2024 par Monsieur Denis TALLEDEC , agissant en sa qualité d' élu
délégué – prévention de la délinquance et sécurité publique de NANTES MÉTROPOLE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Denis TALLEDEC , agissant en sa qualité d'élu délégué de Nantes Métropole chargé de la
prévention de la délinquance et de la sécurité pu blique de la collectivité territoriale dénommée NANTES
MÉTROPOLE - CENTRE DE SUPERVISION URBAIN (CSU) est autorisé, jusqu'au 25 octobre 2026 inclus, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de son territoire sur les communes de NANTES,
REZÉ, SAINT-HERBLAIN, VERTOU, BASSE-GOULAINE, LA CHAPELLE SUR ERDRE, SAINT-LEGER-LES-VIGNES et
INDRE, un périmètre vidéo-protégé dans le cadre de la mise en place d'un centre de supervision urbain (C.S.U.)
conformément au dossier présenté, annexé à la demande sous le numéro 20170556.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation porte sur l'installation d'un système comportant un total de 471 caméras visionnant
la voie publique et positionnées conformément au listing joint en annexe de la présente autorisation
(caméras fixes et périmètre vidéo-protégé).
Article 2 -Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises sur la voie publique, il n'est pas possible de visualiser les images de l'intérieur des
immeubles d'habitation, ni de façon spécifique, celles de leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de
masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne devront pas pouvoir être modifiés
ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- sécurité des personnes ;
- prévention des atteintes aux biens ;
- prévention du trafic de stupéfiants ;
- constatation des infractions aux règles de la circulation ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par jélégation
La D een
Sophie{PAUZATLa commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDEO/24-14 du 8 mars 2024 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au rec ueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 25 octobre 2026 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de I NDRE, REZÉ
et VERTOU sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-457
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20180303)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/18-151 du 20 juin 2018 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST situé
au sein de l'établissement sis 1 rue Hoche - 44260 SAVENAY ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 26 août 2024 par le
responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE POPULAIRE
GRAND OUEST, au sein de l'établissement situé 1 rue Hoche - 44260 SAVENAY ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé BANQUE
POPULAIRE GRAND OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 1 rue Hoche - 44260 SAVENAY , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20180303.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°4 et 5 sur le plan et le listing
d'implantation des caméras joints à la demande) implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'artic le L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui s era publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAVENAY
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
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Liberté
Egalité
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Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-500
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
recourant à la notion de périmètre vidéoprotégé (dossier n°20180468 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDÉO/18-381 du 9 octobre 2018 portant autorisation d'installer un
système de vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. CASTORAMA FRANCE,
au sein de l'établissement situé ZAC Océanis, route de la Côte de la Nacre - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé recourant à la notion de
périmètre vidéoprotégé, transmise le 28 juin 2023 par Madame Ingrid ALARY, agissant en sa qualité de
directrice de la société dénommée S.A.S. CASTORAMA FRANCE, au sein de l'établissement situé ZAC
Océanis, route de la Côte de la Nacre - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Ingrid ALARY , agissant en sa qualité de directrice de la société dénommée
S.A.S. CASTORAMA FRANCE est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis ZAC Océanis,
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

route de la Côte de la Nacre - 44600 SAINT-NAZAIRE , un système de vidéoprotection conformément
au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20180468.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un périmètre vidéoprotégé
implanté au sein de l'établissement situé aux adresses suivantes :
• ZAC Océanis, route de la Côte de la Nacre – 44600 SAINT-NAZAIRE ;
• rue Michel Ange – 44600 SAINT-NAZAIRE ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméra s implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de
façon spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones
devront être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non
habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29
décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de SAINT-NAZAIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-458
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190542)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-502 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 18 place de la Liberté - 44119 TREILLIÈRES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 9 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 18 place de la Liberté - 44119 TREILLIÈRES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des i ncivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 18 place de la Liberté - 44119
TREILLIÈRES, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée
sous le numéro 20190542.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrê té, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le m aire de la commune de TREILLIÈRES
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-459
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190543)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-503 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 26 rue de Nantes - 44460 SAINT-NICOLAS-DE-REDON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 5 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 26 rue de Nantes - 44460 SAINT-NICOLAS-DE-REDON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le directeur de la sûreté et de la préventi on des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 26 rue de Nantes - 44460 SAINT-
NICOLAS-DE-REDON , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le numéro 20190543.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINT-
NICOLAS-DE-REDON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-460
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190547)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-507 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 10 rue de Bretagne - 44880 SAUTRON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 6 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 10 rue de Bretagne - 44880 SAUTRON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 10 rue de Bretagne - 44880 SAUTRON , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20190547 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'a rrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAUTRON
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-461
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190550)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-510 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 1 place Leon Moinard - 44220 COUËRON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 21 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 1 place Leon Moinard - 44220 COUËRON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 1 place Leon Moinard - 44220 COUËRON ,
un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le
numéro 20190550.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l' arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de COUËRON
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exe mplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-462
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190553)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-513 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 4 place du Maquis de Saffré - 44170 NOZAY ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 23 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 4 place du Maquis de Saffré - 44170 NOZAY ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Articl e 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivil ités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 4 place du Maquis de Saffré - 44170
NOZAY, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous
le numéro 20190553.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le mair e de la commune de NOZAY sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-463
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190554)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-514 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 15 rue de la Poste - 44630 PLESSE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 2 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 15 rue de la Poste - 44630 PLESSE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 15 rue de la Poste - 44630 PLESSE , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20190554.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de PLESSE sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-464
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190556)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-516 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 20 rue du Château Saint Mars La Jaille - 44540 VALLONS-DE-L'ERDRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 13 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 20 rue du Château Saint Mars La Jaille - 44540 VALLONS-
DE-L'ERDRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 20 rue du Château Saint Mars La Jaille -
44540 VALLONS-DE-L'ERDRE , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la
demande enregistrée sous le numéro 20190556.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le mair e de la commune de VALLONS-DE-
L'ERDRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-465
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190557)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-517 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 15 avenue de la république - 44130 BLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 22 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 15 avenue de la république - 44130 BLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivili tés de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 15 avenue de la république - 44130
BLAIN, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous
le numéro 20190557 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de BLAIN sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-466
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190561)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-521 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 40 rue du Général Leclerc - 44390 NORT-SUR-ERDRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 23 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 40 rue du Général Leclerc - 44390 NORT-SUR-ERDRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilit és de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 40 rue du Général Leclerc - 44390 NORT-
SUR-ERDRE, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée
sous le numéro 20190561.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de NORT-SUR-
ERDRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont u n exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-467
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190562)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-522 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 14 boulevard Victor Hugo - 44110 CHÂTEAUBRIANT ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 16 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 14 boulevard Victor Hugo - 44110 CHÂTEAUBRIANT ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 14 boulevard Victor Hugo - 44110
CHÂTEAUBRIANT, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le numéro 20190562.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 7 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune de
CHÂTEAUBRIANT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-468
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190574)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-534 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 5 rue de Mauves - 44470 THOUARÉ-SUR-LOIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 9 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 5 rue de Mauves - 44470 THOUARÉ-SUR-LOIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 5 rue de Mauves - 44470 THOUARÉ-SUR-
LOIRE, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous
le numéro 20190574.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de THOUARÉ-
SUR-LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du pré sent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-469
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190578)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-538 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 3 place du Bon Accueil - 44590 DERVAL ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 16 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 3 place du Bon Accueil - 44590 DERVAL ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la préventio n des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 3 place du Bon Accueil - 44590 DERVAL ,
un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le
numéro 20190578.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l' arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de DERVAL sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplair e leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-470
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190579)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-539 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis centre commercial des Thébaudières - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 9 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé centre commercial des Thébaudières - 44800 SAINT-
HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis centre commercial des Thébaudières -
44800 SAINT-HERBLAIN , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le numéro 20190579.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 1 caméra extérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par jélégation
La D een
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du pré sent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-471
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190590)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-550 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 1 rue Aristide Briand - 44550 MONTOIR-DE-BRETAGNE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 22 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 1 rue Aristide Briand - 44550 MONTOIR-DE-BRETAGNE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 1 rue Aristide Briand - 44550 MONTOIR-
DE-BRETAGNE, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le numéro 20190590.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de M ONTOIR-
DE-BRETAGNE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-472
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190592)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-552 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 20 rue du Maréchal Foch - 44760 LA BERNERIE-EN-RETZ ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 19 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 20 rue du Maréchal Foch - 44760 LA BERNERIE-EN-RETZ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 20 rue du Maréchal Foch - 44760 LA
BERNERIE-EN-RETZ, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le numéro 20190592.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'a rrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LA BERNERIE-
EN-RETZ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-473
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190597)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-557 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis place du Fort Gentil - 44770 LA PLAINE-SUR-MER ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 2 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé place du Fort Gentil - 44770 LA PLAINE-SUR-MER ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Articl e 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis place du Fort Gentil - 44770 LA PLAINE-
SUR-MER, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée
sous le numéro 20190597 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de LA PLAINE-
SUR-MER sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-474
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190611)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-571 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 13 rue du Coteau - 44320 SAINT-VIAUD ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 6 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 13 rue du Coteau - 44320 SAINT-VIAUD ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 13 rue du Coteau - 44320 SAINT-VIAUD ,
un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le
numéro 20190611.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le m aire de la commune de SAINT-VIAUD
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-475
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190613)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-573 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 2 rue de la Mairie - 44320 FROSSAY ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 19 août 2024 par le
directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 2 rue de la Mairie - 44320 FROSSAY ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilit és de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 2 rue de la Mairie - 44320 FROSSAY , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20190613.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire d e la commune de FROSSAY
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-476
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190621)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atla ntique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-581 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 6 rue de la Morinnière - 44710 PORT-SAINT-PÈRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 2 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 6 rue de la Morinnière - 44710 PORT-SAINT-PÈRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités d e l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 6 rue de la Morinnière - 44710 PORT-
SAINT-PÈRE, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée
sous le numéro 20190621.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 2
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil d es actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, direc trice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de PORT-SAINT-
PÈRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-477
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190669)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-377 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé BNP PARIBAS situé au sein de
l'établissement sis 22 place Aristide Briand - 44470 CARQUEFOU ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 20 novembre 2024 par
le responsable service sécurité de l'établissement bancaire dénommé BNP PARIBAS, au sein de l'établissement
situé 22 place Aristide Briand - 44470 CARQUEFOU ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable service sécurité de l'établissement bancaire dénommé BNP PARIBAS est autorisé, pour
une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 22 place Aristide Briand - 44470 CARQUEFOU , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20190669.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de CARQUEFOU
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-478
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190671)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-379 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé BNP PARIBAS situé au sein de
l'établissement sis 57 avenue du Maréchal Foch - 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 10 septembre 2024 par
le responsable service sécurité de l'établissement bancaire dénommé BNP PARIBAS, au sein de l'établissement
situé 57 avenue du Maréchal Foch - 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er –Le responsable service sé curité de l'établissement bancaire dénommé BNP PARIBAS est autorisé, pour
une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 57 avenue du Maréchal Foch - 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20190671.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par jélégation
La D een
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune
de LA BAULE-ESCOUBLAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-479
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190676)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-390 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (TALENSAC) situé au sein
de l'établissement sis 14 bis rue de Talensac - 44100 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 27 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (TALENSAC), au sein de l'établissement
situé 14 bis rue de Talensac - 44100 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (TALENSAC) est autorisé,
pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein
de l'établissement sis 14 bis rue de Talensac - 44100 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20190676.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-480
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190680)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atla ntique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-394 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL situé au sein de
l'établissement sis 91 rue de Nantes - 44860 PONT-SAINT-MARTIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 27 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT MUTUEL , au sein de l'établissement situé 91 rue
de Nantes - 44860 PONT-SAINT-MARTIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL est autorisé, pour une
durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 91 rue de Nantes - 44860 PONT-SAINT-MARTIN , un système de vidéoprotection conformément
au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le num éro 20190680.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 7
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 7 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administra tive préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune de PONT-SAINT-
MARTIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera
adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-481
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190683)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, pr éfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-396 du 7 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL situé au sein de
l'établissement sis 2 rue de la poste – BP3 - 44115 BASSE-GOULAINE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 19 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL , au sein de l'établissement situé 2 rue
de la poste – BP3 - 44115 BASSE-GOULAINE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'étab lissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL est autorisé, pour une
durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 2 rue de la poste – BP3 - 44115 BASSE-GOULAINE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée s ous le numéro 20190683.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 6
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'ar rêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le mai re de la commune de BASSE-
GOULAINE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-482
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190684)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-397 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL situé au sein de
l'établissement sis 15 place de l'Église - 44750 CAMPBON ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 19 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT MUTUEL, au sein de l'établissement situé 15
place de l'Église - 44750 CAMPBON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL est autorisé, pour une
durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 15 place de l'Église - 44750 CAMPBON , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20190684.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté , soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de CAMPBON
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-483
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190687)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la régio n Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-400 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé BANQUE CIC OUEST (VERTOU CENTRE)
situé au sein de l'établissement sis 11 bis place Saint-Martin - 44120 VERTOU ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 16 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé BANQUE CIC OUEST (VERTOU CENTRE), au sein de
l'établissement situé 11 bis place Saint-Martin - 44120 VERTOU ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité d e l'établissement bancaire dénommé BANQUE CIC OUEST (VERTOU CENTRE)
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 11 bis place Saint-Martin - 44120 VERTOU , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20190687 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1
1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 10 – L'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-400 du 6 décembre 2019 précité est abrogé.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrê té, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune de VERTOU sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-484
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190728)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire -Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-778 du 14 février 2020 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A. SNCF VOYAGEURS ESC TGV OUEST situé au sein de
l'établissement sis 27 boulevard Stalingrad - 44000 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 24 juin 2024 par
Monsieur Didier VAUCHEL , agissant en sa qualité de directeur de la société dénommée S.A. SNCF VOYAGEURS
ESC TGV OUEST, au sein de l'établissement situé 27 boulevard Stalingrad - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Didier VAUCHEL , agissant en sa qualité de directeur d e la société dénommée S.A. SNCF
VOYAGEURS ESC TGV OUEST est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fix ées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 27 boulevard Stalingrad - 44000 NANTES , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20190728.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 5
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- secours aux personnes et défense contre l'incendie ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-778 du 14 février 2020 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'é chéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et l e maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-485
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190804)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-700 du 3 janvier 2020 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé S.C.I. POLE NUMERIQUE PASTEUR situé au sein de
l'établissement sis 21 boulevard Pasteur - 44260 SAVENAY ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 1er décembre 2024 par
Monsieur Pascal PUCCI , agissant en sa qualité de gérant de la établissement dénommée S.C.I. POLE NUMERIQUE
PASTEUR , au sein de l'établissement situé 21 boulevard Pasteur - 44260 SAVENAY ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Pascal PUCCI , agissant en sa qualité de gérant de la établissement dénommée S.C.I. POLE
NUMERIQUE PASTEUR est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent
arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 21 boulevard Pasteur - 44260 SAVENAY , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20190804.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 10
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
- 8 caméras extérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-700 du 3 janvier 2020 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAVENAY
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé
ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-486
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190869)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du pr éfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/24-27 du 8 mars 2024 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. CARREFOUR HYPERMARCHES situé au sein de
l'établissement sis avenue Charles Gauthier - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 20 novembre 2024 par
Monsieur Christophe COINTE , agissant en sa qualité de responsable sécurité de la société dénommée S.A.S.
CARREFOUR HYPERMARCHES , au sein de l'établissement situé avenue Charles Gauthier - 44800 SAINT-
HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Christophe COINTE, agissant en sa qualité de responsable sécurité de la société dénommée
S.A.S. CARREFOUR HYPERMARCHES est autorisé, jusqu'au 7 mars 2029 inclus, dans les conditions fixées au présent
arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis avenue Charles Gauthier - 44800 SAINT-HERBLAIN , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20190869.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 86
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 76 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 10 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°12 caméras) implantées sur une
zone privative non ouverte au public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de
la sécurité intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par jélégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/24-27 du 8 mars 2024 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, jusqu'au 7 mars 2029 inclus . Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture
minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le ma ire de la commune
de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-487
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190892)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-406 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (SAINTE-THERESE) situé
au sein de l'établissement sis 57 boulevard Boulay Paty - 44100 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 27 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (SAINTE-THERESE), au sein de
l'établissement situé 57 boulevard Boulay Paty - 44100 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (SAINTE-THERESE) est
autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre,
au sein de l'établissement sis 57 boulevard Boulay Paty - 44100 NANTES , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le n uméro 20190892.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 8
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 8 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les ca méras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique e t le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-488
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190893)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-407 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT MUTUEL (LA CHENAIE – VIEUX
DOULON) situé au sein de l'établissement sis 203 route de Sainte-Luce - 44300 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 21 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT MUTUEL (LA CHENAIE – VIEUX DOULON), au
sein de l'établissement situé 203 route de Sainte-Luce - 44300 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CRÉDIT MUTUEL (LA CHENAIE – VIEUX
DOULON) est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à
mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 203 route de Sainte-Luce - 44300 NANTES , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20190893.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 7
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 7 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'a u pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-489
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190898)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de l a Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-582 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
(SAINT-MARC) situé au sein de l'établissement sis 10 place Jacques Tati - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 9 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE (SAINT-MARC), au sein de l'établissement situé 10 place Jacques Tati - 44600 SAINT-
NAZAIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE (SAINT-MARC) est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans
les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 10 place Jacques Tati -
44600 SAINT-NAZAIRE , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le nu méro 20190898.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le m aire de la commune
de SAINT-NAZAIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-490
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190901)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loir e-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-585 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION GENERALE DE LA POSTE
situé au sein de l'établissement sis 1 place Maupertuis - 44510 LE POULIGUEN ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 5 septembre 2024 par
le directeur de la sûreté et de la prévention des incivilités de l'établissement dénommé LA POSTE - DIRECTION
GENERALE DE LA POSTE, au sein de l'établissement situé 1 place Maupertuis - 44510 LE POULIGUEN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le directeur de la sûreté et de la prévention des i ncivilités de l'établissement dénommé LA POSTE -
DIRECTION GENERALE DE LA POSTE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 1 place Maupertuis - 44510 LE
POULIGUEN, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée
sous le numéro 20190901.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 4
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de LE POULIGUEN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-491
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190906)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-411 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (GARE) situé au sein de
l'établissement sis place Aristide Briand - 44380 PORNICHET ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 20 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (GARE), au sein de l'établissement situé
place Aristide Briand - 44380 PORNICHET ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (GARE) est autorisé,
pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein
de l'établissement sis place Aristide Briand - 44380 PORNICHET , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numé ro 20190906.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 1
caméra. Ce système se décompose comme suit :
- 1 caméra intérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la dat e de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de PORNICHET sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-492
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190907)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pay s de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/19-412 du 6 décembre 2019 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (MANGIN) situé au sein
de l'établissement sis 5 place Victor Mangin - 44200 NANTES ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 20 août 2024 par le
chargé de sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (MANGIN), au sein de l'établissement
situé 5 place Victor Mangin - 44200 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le chargé de sécurité de l'éta blissement bancaire dénommé CREDIT MUTUEL (MANGIN) est autorisé,
pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein
de l'établissement sis 5 place Victor Mangin - 44200 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le nu méro 20190907 .
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 1
caméra. Ce système se décompose comme suit :
- 1 caméra intérieure ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements relevant
d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêt é, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le m aire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-493
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20190996)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, tr ansmise le 16 juillet 2024 par Monsieur
Ismaël CLERMONT, agissant en sa qualité de directeur sécurité de la société dénommée S.A.S. MANPOWER
FRANCE , au sein de l'établissement situé 3 rue de la Gare - 44110 CHÂTEAUBRIANT ;
VU l'arrêté préfectoral CAS/SPAS/VIDÉO/20-083 du 16 avril 2020 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. MANPOWER FRANCE situé au sein de
l'établissement sis 3 rue de la Gare - 44110 CHÂTEAUBRIANT ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 16 juillet 2024 par
Monsieur Ismaël CLERMONT , agissant en sa qualité de directeur sécurité de la société dénommée S.A.S.
MANPOWER FRANCE , au sein de l'établissement situé 3 rue de la Gare - 44110 CHÂTEAUBRIANT ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Ismaël CLERMONT , agissant en sa qualité de directeur sé curité de la société dénommée
S.A.S. MANPOWER FRANCE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 3 rue de la Gare - 44110 CHÂTEAUBRIANT , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20190996.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 1
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

caméra. Ce système se décompose comme suit :
- 1 caméra intérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAS/SPAS/VIDÉO/20-083 du 16 avril 2020 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'é chéance
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le mai re de la commune de
CHÂTEAUBRIANT sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire
leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-494
portant renouvellem ent d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°202009)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préf et de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/20-002 du 21 février 2020 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de l'établissement dénommé PHARMACIE DES JARDINS, situé au sein de
l'établissement sis 12 place Athanase Laborde - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 2 septembre 2024 par
Madame Agnès COUERBE , agissant en sa qualité de gérante de la établissement dénommée PHARMACIE DES
JARDINS, au sein de l'établissement situé 12 place Athanase Laborde - 44600 SAINT-NAZAIRE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Agnès COUERBE , agissant en sa qualité de gérante de l'établissement dénommé PHARMACIE
DES JARDINS est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté,
à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 12 place Athanase Laborde - 44600 SAINT-NAZAIRE , un système
de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 202009.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 3
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/PPS/VIDEO/20-002 du 21 février 2020 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recue il des actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéa nce
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de SAINT-NAZAIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un
exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-495
portant modification d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20200850)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 26 juin 2024 par Monsieur
Bruno LOIRAT, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.R.L. BIO'ZITIVE , au sein de
l'établissement situé 10 rue des Frênes - 44680 SAINTE-PAZANNE ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-539 du 8 décembre 2020 portant autorisation d'installer un système
de vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.R.L. BIO'ZITIVE situé au sein de l'établissement
sis 10 rue des Frênes - 44680 SAINTE-PAZANNE ;
VU la demande de modification d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 26 juin 2024 par Monsieur
Bruno LOIRAT, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.R.L. BIO'ZITIVE, au sein de
l'établissement situé 10 rue des Frênes - 44680 SAINTE-PAZANNE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Bruno LOIRAT, agissant en sa qualité de géra nt de la société dénommée S.A.R.L. BIO'ZITIVE
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, au sein de l'établissement sis 10 rue des Frênes - 44680 SAINTE-PAZANNE , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20200850.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 14
caméras. Ce système se décompose comme suit :
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

- 11 caméras intérieures ;
- 3 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- cambriolages ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATL'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-539 du 8 décembre 2020 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil de s actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29 décembre 2029 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune de SAINTE-
PAZANNE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-496
portant modification d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°202001104)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-691 du 8 janvier 2021 portant autorisation d'installer un système de
vidéoprotection pour le compte de la société dénommée S.A.S. CARREFOUR HYPERMARCHES LA BEAUJOIRE situé
au sein de l'établissement sis route de Paris - 44300 NANTES ;
VU la demande de modification d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 17 juin 2024 par Madame
Elise JAMMES, agissant en sa qualité de responsable de site de la société dénommée S.A.S. CARREFOUR
HYPERMARCHES LA BEAUJOIRE, au sein de l'établissement situé route de Paris - 44300 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Elise JAMMES , agissant en sa qualité de responsable d e site de la société dénommée S.A.S.
CARREFOUR HYPERMARCHES LA BEAUJOIRE est autorisée, jusqu'au 7 janvier 2026 inclus , dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis route de Paris - 44300 NANTES , un
système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
202001104.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 80
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 55 caméras intérieures ;
- 25 caméras extérieures ;
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images prises à
l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de visionner la
voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique,
leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne
devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements ouverts au
public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délegation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDÉO/20-691 du 8 janvier 2021 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des act es administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 7 janvier 2026 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance
de ce délai.
Article 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de l a région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le maire de la commune
de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur
sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
| 3
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-497
portant modification d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20210620)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-13, ainsi que
les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéoprotection
et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie ARGOUARC'H, directrice
de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT, directrice
adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDEO/21-575 du 15 décembre 2021 portant autorisation d'installer un système
de vidéoprotection pour le compte de la mairie de VALLET, situé sur son territoire communal ;
VU la demande de modification d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 23 octobre 2024 par
Monsieur Jérôme MARCHAIS , agissant en sa qualité de maire de la commune de VALLET, situé sur son territoire
communal ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Jérôme MARCHAIS , agissant en sa qualité d e maire de la commune de VALLET est autorisé,
jusqu'au 14 décembre 2026 inclus , dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, sur son
territoire communal, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le numéro 20210620.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un total de 19
caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 19 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au public qui
n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon spécifique, leurs entrées. Le cas
échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne devront pouvoir
être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords ;
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes ou et des biens dans les lieux particulièrement exposés
à des risques d'agression et de vol ou de trafic de stupéfiants ;
- prévention d'actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images capturées au
moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme de traitement
automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de reconnaissance faciale,
d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute infraction à cette règle expose le
contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme aux normes
techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie d'affichage adapté à
la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des coordonnées de la personne
responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code de la
sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une information
judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents individuellement
désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des douanes dans le
cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la date de
destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos, notamment
l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou métadonnées associées
et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date
et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que
son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes susceptibles
d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance du système mis en
place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et enregistrées et des atteintes à la
vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement interdit à
toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement habilitée et autorisée par
l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration auprès des
services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés - changement dans la
configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La Dir djointe
Sophie{PAUZATArticle 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée en cas de
manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de modification des conditions
au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans préjudice
d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal, notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la conformité
du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – L'arrêté préfectoral CAB/SPAS/VIDEO/21-575 du 15 décembre 2021 précité est abrogé.
Article 12 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil d es actes administratifs de la préfecture de la
Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 14 décembre 2026 inclus. Le
système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au terme de ce délai et
une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéa nce
de ce délai.
Ar ticle 13 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant
le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le m aire de la commune de VALLET sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi
qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3

Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-532
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20220533 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.22 3-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 24 décembre
2024 par Madame POUPELIN épouse BRAUD Christelle, agissant en sa qualité de maire de la commune
de DIVATTE-SUR-LOIRE, au sein de son territoire communal ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame POUPELIN épouse BRAUD Christelle, agissant en sa qualité de maire de la mairie
dénommée DIVATTE-SUR-LOIRE est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de son territoire communal , un système
de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le
numéro 20220533.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 20 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras extérieures ;
- 15 caméras visionnant la voie publique ;
Les caméras sont implantées sur les sites suivants :
- Salle des sports
- Salle de réception
- Mairie annexe et école de Barbechat
- Place de l'Église (La Chapelle-Basse-Mer) / Place de l'Église (Barbechat)
- Espace culturel Jacques Demy
- Carrefour giratoire RD 7 et RD 31
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L. ).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises sur la voie publique, il n'est pas possible de visualiser les images de l'intérieur des
immeubles d'habitation, ni de façon spécifique, celles de leurs entrées. Le cas échéant, des procédés
de masquage irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne devront pas pouvoir être
modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords ;
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes ou et des biens dans les lieux
particulièrement exposés à des risques d'agression et de vol ou de trafic de stupéfiants ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATnotamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de DIVATTE-SUR-LOIRE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-498
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°2023078 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 14 mai 2024 par
Monsieur Jonathan LEBRETON, agissant en sa qualité de Gérant de la société dénommée
S.A.R.L. PLANITIS AUTO GETIGNE (POINT S), au sein de l'établissement situé 12 impasse du Fief du Parc
- 44190 GÉTIGNÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Jonathan LEBRETON , agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée
S.A.R.L. PLANITIS AUTO GETIGNE (POINT S) est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 12
impasse du Fief du Parc - 44190 GÉTIGNÉ , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2023078.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recue il des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de GÉTIGNÉ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-499
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°2023080 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 8 novembre 2024
par Madame Nathalie MAILLARD, agissant en sa qualité de gérante de la société dénommée
S.A.S. MATHINES (LE P'TIT ZINC), au sein de l'établissement situé 8 quai Jules Sandeau -
44510 LE POULIGUEN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Nathalie MAILLARD, agissant en sa qualité de gérante de la société dénommée
S.A.S. MATHINES (LE P'TIT ZINC) est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 8 quai Jules
Sandeau - 44510 LE POULIGUEN , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté,
annexé à la demande enregistrée sous le numéro 2023080.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 3 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes ou et des biens dans les lieux
particulièrement exposés à des risques d'agression et de vol ou de trafic de stupéfiants ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATnotamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-A tlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29
décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de LE POULIGUEN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-501
portant autorisation d 'un système de vidéoprotection
(dossier n°20230560 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 21 juin 2023 par
Monsieur Fabrice RIMBAULT, agissant en sa qualité de directeur financier de la société dénommée
S.A.S. LE GRAND COMPTOIR, au sein de l'établissement situé 10 rue des Cochardières - 44800 SAINT-
HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Fabrice RIMBAULT, agissant en sa qualité de directeur financier de la société
dénommée S.A.S. LE GRAND COMPTOIR est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans
les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 10 rue des
Cochardières - 44800 SAINT-HERBLAIN , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20230560.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 14 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 13 caméras intérieures ;
- 1 caméra extérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATIl est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrê té, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle auto risation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-502
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20230829 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 20 novembre
2023 par Monsieur Clément PEPINO, agissant en sa qualité de responsable sécurité de la société
dénommée S.A.S. NEWORCH (ORCHESTRA PREMAMAN), au sein de l'établissement situé 2 rue Marc
Elder - 44400 REZÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Clément PEPINO, agissant en sa qualité de responsable sécurité de la société
dénommée S.A.S. NEWORCH (ORCHESTRA PREMAMAN) est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 2 rue Marc Elder - 44400 REZÉ , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20230829.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 5 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de REZÉ sont chargés, chacun en ce qui le con cerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-503
portant autorisation d'un syst ème de vidéoprotection
(dossier n°20230845 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 31 juillet 2024
par Monsieur Michel MÉNARD, agissant en sa qualité de président de la collectivité territoriale
dénommée CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA LOIRE-ATLANTIQUE, au sein de l'établissement MUSÉE
DOBRÉE situé 18 rue Voltaire - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Michel MÉNARD , agissant en sa qualité de président de la collectivité territoriale
dénommée CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA LOIRE-ATLANTIQUE est aut orisé, pour une durée de cinq
ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement MUSÉE DOBRÉE sis 18 rue Voltaire - 44000 NANTES , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20230845.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/4

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 104 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 81 caméras intérieures ;
- 14 caméras extérieures ;
- 9 caméras visionnant la voie publique ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°11, n°88, n°101 « aire
livraison » et n°103 « zone déballage » sur le plan et le listing d'implantation des caméras joints à la
demande) implantées sur une zone privative non ouverte au public qui n'entrent pas dans le champ
d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurit é intérieure et ne sont donc pas soumises à
autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises sur la voie publique, il n'est pas possible de visualiser les images de l'intérieur des immeubles
d'habitation, ni de façon spécifique, celles de leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage
irréversible de ces zones devront être mis en œuvre et ne devront pas pouvoir être modifiés ni
supprimés par une personne non habilitée à le faire. Cette autorisation est délivrée sous réserve que la
caméra n°10 « Extérieur - Nord-Est » ne fonctionne qu'en dehors des horaires d'ouverture de
l'établissement. Elle ne peut en aucun cas filmer en présence de personnes mineures.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- protection des bâtiments et installations publics et de leurs abords ;
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- secours aux personnes et défense contre l'incendie ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/4
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/4
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 4/4
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-504
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20230868 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 29 août 2024 par
le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé
BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST, situé 8 rue des Bruyères - 44400 REZÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité des personnes et des biens de l'établissement bancaire dénommé
BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST est autorisé, pour une duré e de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, sis 8 rue des Bruyères - 44400 REZÉ , un système
de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le
numéro 20230868.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 3 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- protection des abords immédiats des bâtiments et des installations de lieux et établissements
relevant d'une personne morale de droit privé exposés à des actes de terrorisme ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATLe journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité
de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de REZÉ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-505
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240152 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 4 avril 2024 par
Monsieur Eric BASSOMPIERRE-SEWRIN, agissant en sa qualité de directeur de la société dénommée
S.A.S. VETIR - GEMO, au sein de l'établissement situé zone multiservices Atlantis, place Magellan - 44812
SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Eric BASSOMPIERRE-SEWRIN , agissant en sa qualité de directeur de la société
dénommée S.A.S. VETIR - GEMO est autorisé, pour une durée de cinq ans re nouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis zone multiservices
Atlantis, place Magellan - 44812 SAINT-HERBLAIN , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240152.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 7 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras intérieures ;
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
22 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATIl est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Arti cle 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2 e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-507
portant autorisation d' un système de vidéoprotection
(dossier n°20240283 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 9 avril 2024 par
Monsieur Quentin BENAULT, agissant en sa qualité de directeur général de la société dénommée
S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°24911, au sein du point-relais situé 28 rue des Écoles - 44840 LES
SORINIÈRES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Quentin BENAULT, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°24911 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein du point-relais sis
28 rue des Écoles - 44840 LES SORINIÈRES , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240283.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur du point-relais, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas permettre de
visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats du point-relais.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes ou et des biens dans les lieux
particulièrement exposés à des risques d'agression et de vol ou de trafic de stupéfiants ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
A rticle 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune des SORINIÈRES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adres sé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-508
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240397 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 17 avril 2024 par
Madame Paulette LECLAIR, agissant en sa qualité de gérante de la société dénommée E.I. PAULETTE
CRUAUT - LE MOULIN DE LA COUTANCIÈRE, au sein de l'établissement situé Moulin de la Coutancière -
44520 GRAND-AUVERNÉ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Paulette LECLAIR, agissant en sa qualité de gérante de la société dénommée E.I.
PAULETTE CRUAUT - LE MOULIN DE LA COUTANCIÈRE est autorisée, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis Moulin de la Coutancière - 44520 GRAND-AUVERNÉ , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240397 .
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 5 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 5 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit
pas permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Cette autorisation est délivrée sous réserve que les caméras filmant les lieux de consommation ne
fonctionnent qu'en dehors des horaires d'ouverture de l'établissement. Elles ne peuvent en aucun cas
filmer en présence de la clientèle assise.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATLe journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité
de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au term e de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de GRAND-AUVERNÉ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-509
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240405 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 12 juin 2024 par
Monsieur Benoit FOUCHAQ, agissant en sa qualité de président de la société dénommée
S.A.S. BIOFORTIS, au sein de l'établissement situé 3 chemin de la Chatterie - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Benoit FOUCHAQ, agissant en sa qualité de président de la société dénommée
S.A.S. BIOFORTIS est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au
présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 3 chemin de la Chatterie - 44800
SAINT-HERBLAIN, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la
demande enregistrée sous le numéro 20240405.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 9 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
- 3 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
19 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATIl est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-510
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240410 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 25 juin 2024 par
Monsieur Pascal DASSONVILLE, agissant en sa qualité de chargé de sécurité de l'établissement
dénommé COOP AGRICOL VENDEE APPROV VENTE CEREALE (CAVAC), situé rue de l'Epiardière -
44650 TOUVOIS ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Pascal DASSONVILLE, agissant en sa qualité de chargé de sécurité de
l'établissement dénommé COOP AGRICOL VENDEE APPROV VENTE CEREALE (CAVAC) est autorisé,
pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en
œuvre, sis rue de l'Epiardière - 44650 TOUVOIS , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240410.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 5 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
- 3 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATnotamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de TOUVOIS sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-511
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240445 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 22 avril 2024 par
Monsieur Thierry REDUREAU, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.R.L.
REDUREAU THIERRY, au sein de l'établissement situé 6 rue place de l'Europe - 44260 MALVILLE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Thierry REDUREAU , agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée
S.A.R.L. REDUREAU THIERRY est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 6 rue place de l'Europe -
44260 MALVILLE, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la
demande enregistrée sous le numéro 20240445.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 6 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
- 4 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATmétadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de MALVILLE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2
e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2
e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-512
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240462 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 27 mai 2024 par
Monsieur Michel BOUREL, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.S. WITRADIS -
CAVAVIN, au sein de l'établissement situé 18 place du Marché - 44500 LA BAULE-ESCOUBLAC ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Michel BOU REL, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.S.
WITRADIS - CAVAVIN est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées
au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 18 place du Marché - 44500 LA
BAULE-ESCOUBLAC , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la
demande enregistrée sous le numéro 20240462.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 4 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 4 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle au torisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de LA BAULE-ESCOUBLAC sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-534
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240468)
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 3 juin 2024 par
Madame LE JALLE Fanny, agissant en sa qualité de directrice de l'association dénommée SOCIETE DE
BIENFAISANCE DU CELLIER - RÉSIDENCE MONTCLAIR, au sein de l'établissement situé 12 cours de
l'Europe - 44850 LE CELLIER ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame LE JALLE Fanny, agissant en sa qualité de directrice de l'association dénommée
SOCIETE DE BIENFAISANCE DU CELLIER - RÉSIDENCE MONTCLAIR est autorisée, pour une durée de
cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 12 cours de l'Europe - 44850 LE CELLIER , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240468.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 11 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras intérieures ;
- 8 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les camér as implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code d e la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
20 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATnotamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 29
décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune du CELLIER sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-513
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240475 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 17 juin 2024 par
Monsieur Thomas WIDT, agissant en sa qualité de directeur de la société dénommée S.A.S. IMMHOTEL -
HOTEL IBIS THALASSO, au sein de l'établissement situé 66 boulevard des Océanides - 44380
PORNICHET ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Thomas WI DT, agissant en sa qualité de directeur de la société dénommée S.A.S.
IMMHOTEL - HOTEL IBIS THALASSO est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 66 boulevard des
Océanides - 44380 PORNICHET , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté,
annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240475.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 6 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Cette autorisation est délivrée sous réserve que les caméras filmant les lieux de consommation ne
fonctionnent qu'en dehors des horaires d'ouverture de l'établissement. Elles ne peuvent en aucun cas
filmer en présence de la clientèle assise.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATLe journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité
de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de PORNICHET sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-514
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240477 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 18 juin 2024 par
Monsieur Hervé DOMAS, agissant en sa qualité de directeur de l'établissement MUTUALITE SOCIALE
AGRICOLE (MSA 44-85), situé 2 impasse de l'Esperanto - 44800 SAINT-HERBLAIN ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Articl e 1 er – Monsieur Hervé DOMAS, agissant en sa qualité de directeur de l'établissement dénommé
MUTUALITE SOCIALE AGRICOLE (MSA 44-85) est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, sis 2 impasse de l'Esperanto - 44800
SAINT-HERBLAIN, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la
demande enregistrée sous le numéro 20240477 .
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 9 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
- 3 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATnotamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de SAINT-HERBLAIN sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-515
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240495 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 10 juillet 2024 par
Monsieur Tom RICHEUX, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée S.A.S. TRX WILD -
ALCÉDO CHASSE & PÊCHE, au sein de l'établissement situé 3 allée du Zéphir - 44380 PORNICHET ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Tom RICHEUX, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée
S.A.S. TRX WILD - ALCÉDO CHASSE & PÊCHE est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable,
dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 3 allée du
Zéphir - 44380 PORNICHET , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté,
annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240495.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 8 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les camér as (notamment celle identifiée n°8 « zoom protection
plateforme skydome » sur le listing d'implantation des caméras joint à la demande) implantées sur une
zone privative non ouverte au public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1
du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais
peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés
(C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATIl est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de PORNICHET sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-517
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240726 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 3 mai 2024 par
Monsieur Guillaume CATHERINE, agissant en sa qualité de directeur général de la société dénommée
S.A.S. LACTAMAT, au sein de l'établissement situé 3 rue l'Ardillais - 44270 SAINT-ÉTIENNE-DE-MER-
MORTE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Guillaume CATHERINE, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S. LACTAMAT est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les
conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 3 rue l'Ardillais -
44270 SAINT-ÉTIENNE-DE-MER-MORTE , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240726.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 3 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 3 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit
pas permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de c e délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 1 2 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de SAINT-ÉTIENNE-DE-MER-MORTE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-518
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240730 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 25 juillet 2024
par Monsieur David ROUDAUT, agissant en sa qualité de directeur logistique de la société dénommée
MACORETZ, au sein de l'établissement situé 4 route de Nantes - 44320 SAINT-PÈRE-EN-RETZ ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur David ROUDAUT, agissant en sa qualité de directeur logistique de la société
dénommée MACORETZ est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions
fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 4 route de Nantes - 44320
SAINT-PÈRE-EN-RETZ , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la
demande enregistrée sous le numéro 20240730.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 6 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras (notamment celles identifiées n°2 « accès logistique »,
n°4 « bennes », n°5 « menuiserie » sur le plan et le listing d'implantation des caméras joints à la
demande) implant ées sur une zone privative non ouverte au public qui n'entrent pas dans le champ
d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité intérieure et ne sont donc pas soumises à
autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime déclaratif auprès de la Commission Nationale
Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit
pas permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux
et établissements particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
La présente autorisation n'est valable que si le délai de conservation des images est porté à 15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATLe journal doit ainsi mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité
de la personne ayant effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Article 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de SAINT-PÈRE-EN-RETZ sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-519
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240731 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 25 juillet 2024
par Madame Melaine PICHAUD MERCERON, agissant en sa qualité de gérante de la société dénommée
S.A.R.L. MASSOT CASA LUNA, au sein de l'établissement situé 43 rue de la Mairie - 44119 TREILLIÈRES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Madame Melaine PICHAUD MERCERON, agissant en sa qualité de gérante de la société
dénommée S.A.R.L. MASSOT CASA LUNA est autorisée, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans
les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 43 rue de la
Mairie - 44119 TREILLIÈRES , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé
à la demande enregistrée sous le numéro 20240731.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes ou et des biens dans les lieux
particulièrement exposés à des risques d'agression et de vol ou de trafic de stupéfiants ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
15 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de TREILLIÈRES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-520
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240742 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 8 avril 2024
par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société dénommée
S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25984, au sein du point-relais situé 28 rue de Bretagne - 44880
SAUTRON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID , agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25984 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein du point-relais sis
28 rue de Bretagne - 44880 SAUTRON , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240742.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur du point-relais, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats du point-relais.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de SAUTRON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-521
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240743 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 23 août 2024
par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société dénommée
S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°26194, au sein de l'établissement situé 22 rue Copernic - 44000
NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°26194 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 22 rue Copernic - 44000 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240743.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Art icle 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra d onc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-522
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240744 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 19 août 2024 par
Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société dénommée
S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°26879, au sein de l'établissement situé 4 rue Yves Bodiguel -
44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°26879 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 4 rue Yves Bodiguel - 44000 NANTES , un système de vidéoprotection conformément
au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240744.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 1 caméra. Ce système se décompose comme suit :
- 1 caméra intérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le syst ème concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 1 2 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-523
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240745 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 4 septembre
2024 par Monsieur Quentin LAURENT, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°26051, au sein de l'établissement situé 15 rue du
Général de Gaulle - 44840 LES SORINIÈRES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Quentin LAURENT, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°26051 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 15 rue du Général de Gaulle - 44840 LES SORINIÈRES , un système de vidéoprotection
conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240745.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune des SORINIÈRES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-524
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240746 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 5 septembre
2024 par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25939, au sein du point-relais situé rue de Kerhillier -
44350 GUÉRANDE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID , agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25939 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein du point-relais
sis rue de Kerhillier - 44350 GUÉRANDE , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240746.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur du point-relais, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats du point-relais.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de GUÉRANDE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-525
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240747 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 5 septembre
2024 par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25907 , au sein du point-relais situé 27 boulevard
Bâtonnier Cholet - 44100 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID , agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25907 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein du point-relais sis
27 boulevard Bâtonnier Cholet - 44100 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240747 .
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur du point-relais, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats du point-relais.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-526
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240748 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 5 septembre
2024 par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25959, au sein du point-relais situé 4 rue de l'Église -
44130 BOUVRON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25959 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein du point-relais sis
4 rue de l'Église - 44130 BOUVRON , un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté,
annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240748.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur du point-relais, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats du point-relais.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de BOUVRON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-527
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240749 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 6 septembre
2024 par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°42920, au sein du point-relais situé 34 rue de
l'Atlantique - 44115 BASSE-GOULAINE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°42920 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein du point-relais sis
34 rue de l'Atlantique - 44115 BASSE-GOULAINE , un système de vidéoprotection conformément au
dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240749.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit
pas permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de BASSE-GOULAINE sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-528
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240750 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 17 septembre
2024 par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°57488, au sein de l'établissement situé 150 rue de la
Loire - 44521 OUDON ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°57488 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de
l'établissement sis 150 rue de la Loire - 44521 OUDON , un système de vidéoprotection conformément
au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240750.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit
pas permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- autre : informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La D een
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de OUDON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-529
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240751 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 27 septembre
2024 par Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25479, au sein du point-relais situé 84 quai de la
Fosse - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Laurent BENDAVID, agissant en sa qualité de directeur général de la société
dénommée S.A.S.U. MONDIAL RELAY – consigne n°25479 est autorisé, pour une durée de cinq ans
renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein du point-relais
sis 84 quai de la Fosse - 44000 NANTES , un système de vidéoprotection conformément au dossier
présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro 20240751.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 1 caméra. Ce système se décompose comme suit :
- 1 caméra extérieure ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'extérieur du point-relais, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats du point-relais.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
- informations service client Mondial Relay ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
Eu
PREFET
DE LA LOIRE-
ATLANTIQUE
Liberté
Egalité
FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-531
portant autorisation d'un système de vidéoprotection
(dossier n°20240758 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU la demande d'autorisation d'installer un système de vidéoprotection, transmise le 27 août 2024 par
le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE , au sein de
l'établissement situé 2 place Saint Similien - 44000 NANTES ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
AR R Ê T E
Article 1 er – Le responsable sécurité de l'établissement bancaire dénommé CREDIT AGRICOLE VENDEE
est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées au présent arrêté,
à mettre en œuvre, au sein de l'établissement sis 2 place Saint Similien - 44000 NANTES , un système de
vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande enregistrée sous le numéro
20240758.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 2 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 2 caméras intérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméras implantées sur une zone privative non ouverte au
public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 – Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement
des images prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité
à l'intérieur de l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans les lieux et établissements
ouverts au public particulièrement exposés à des risques d'agression ou de vol ;
Article 3 – La présente autorisation ne permet en aucun cas l'utilisation automatisée des images
capturées au moyen d'algorithmes d'intelligence artificielle. Cette interdiction s'applique à toute forme
de traitement automatisé visant à extraire, analyser ou exploiter les images, notamment à des fins de
reconnaissance faciale, d'identification de comportements ou de classification automatisée. Toute
infraction à cette règle expose le contrevenant aux sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
Article 4 – Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 5 – Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 6 – Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
30 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Article 7 – Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Il est obligatoire de tenir un journal des opérations réalisées sur les flux vidéo, qui peut être manuel ou
électronique et qui doit permettre de conserver la trace des interventions réalisées sur les flux vidéos,
notamment l'extraction d'images ou de séquences vidéo, la modification ou l'altération des images ou
métadonnées associées et la suppression de tout ou partie des flux vidéo. Le journal doit ainsi
mentionner pour chaque opération la date et l'heure de l'intervention, l'identité de la personne ayant
effectué l'opération, la nature de l'opération ainsi que son motif.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et par délégation
La D En rm
Sophie{PAUZATArticle 8 – Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 9 – Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 10 – Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être
retirée en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 11 – La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au
29 décembre 2029 inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation
administrative préalable au terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la
Préfecture minimum quatre mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 12 – La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le directeur interdépartemental de la police nationale de la Loire-Atlantique et le
maire de la commune de NANTES sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution d u
présent arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024 Pour le préfet
Sophie PAUZAT
Tél : 02 40 41 20 20Mél : pref-videoprotection@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 3/3
Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :- un recours gracieux, adressé à :M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44 035 NANTES Cedex 01- un recours hiérarchique, adressé à :M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08- un recours contentieux, adressé au :Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24 111 - 44 041 NANTES CedexLa juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.fr Ce recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée (ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).
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ATLANTIQUE
Liberté
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FraternitéCABINET
Service des polices administratives
et de sécurité
Arrêté CAB/SPAS/VIDÉO/24-532
portant renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé
(dossier n°20130589 )
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L.223-1 à L.223-9, L.251-1 à L.255-8 et L.613-
13, ainsi que les articles R.251-7 à R.253-4 ;
VU le code pénal, notamment son article R.226-1 ;
VU l'arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de
vidéoprotection et de ses annexes techniques ;
VU l'arrêté préfectoral du 18 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Marie
ARGOUARC'H, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-
Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral du 29 novembre 2024 portant délégation de signature à Mme Sophie PAUZAT,
directrice adjointe de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la Loire-Atlantique ;
VU l'arrêté préfectoral portant autorisation d'installer un système de vidéoprotection pour le compte
de la société dénommée MC DONALD'S 2RG située au sein de l'établissement sis 3655 route de la
Baule - 44350 GUERANDE ;
VU la demande de renouvellement d'un système de vidéoprotection autorisé, transmise le 15 mars
2024 par Monsieur Jean-Noël PENICHON, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée MC
DONALD'S 2RG située au sein de l'établissement sis 3655 route de la Baule - 44350 GUERANDE ;
VU le rapport établi par le référent sûreté ;
VU l'avis émis par la commission départementale de vidéoprotection le 6 décembre 2024 ;
CONSIDÉRANT que le système répond aux finalités prévues par la loi ;
SUR la proposition de la sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire,
préfet de la Loire-Atlantique ;
A R R Ê T E
Article 1 er – Monsieur Jean-Noël PENICHON, agissant en sa qualité de gérant de la société dénommée
MC DONALD'S 2RG est autorisé, pour une durée de cinq ans renouvelable, dans les conditions fixées
au présent arrêté, à mettre en œuvre, au sein de l'établissement s is 3655 route de la Baule - 44350
Tél : 02 40 41 20 20Mél : prefecture@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44 035 NANTES Cedex 1 1/3

GUERANDE, un système de vidéoprotection conformément au dossier présenté, annexé à la demande
enregistrée sous le num éro 20130589.
Conformément au dossier présenté, la demande porte sur l'installation d'un système comportant un
total de 25 caméras. Ce système se décompose comme suit :
- 6 caméras intérieures ;
- 19 caméras extérieures ;
Cette autorisation ne concerne pas les caméra s (notamment celles identifiées n°16 à 23 sur le plan et le
listing d'implantation des caméras joints à la demande) implantées sur une zone privative non ouverte
au public qui n'entrent pas dans le champ d'application de l'article L.252-1 du code de la sécurité
intérieure et ne sont donc pas soumises à autorisation préfectorale mais peuvent relever du régime
déclaratif auprès de la Commission Nationale Informatiques et Libertés (C.N.I.L.).
Article 2 - Cette autorisation est délivrée sous réserve que les caméras filmant les lieux de
consommation ne fonctionnent qu'en dehors des horaires d'ouverture de l'établissement. Elles ne
peuvent en aucun cas filmer en présence de la clientèle assise.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'intérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras est strictement limité à l'intérieur
de l'établissement.
Ce système permettant le visionnage et/ou la transmission, l'enregistrement et le traitement des images
prises à l'extérieur de l'établissement, le champ de vision des caméras extérieures ne doit pas
permettre de visionner la voie publique et est strictement limité aux abords immédiats de
l'établissement.
Il n'est pas possible de filmer la voie publique ni l'intérieur des immeubles d'habitation ni, de façon
spécifique, leurs entrées. Le cas échéant, des procédés de masquage irréversible de ces zones devront
être mis en œuvre et ne devront pouvoir être modifiés ni supprimés par une personne non habilitée à
le faire.
Le système considéré répond aux finalités prévues par la loi :
- sécurité des personnes ;
- prévention des atteintes aux biens ;
- prévention du trafic de stupéfiant ;
- prévention des fraudes douanières
Article 3 - Le système ne doit pas être destiné à alimenter un fichier nominatif et il doit être conforme
aux normes techniques fixées par la réglementation en vigueur.
Article 4 - Le public doit être informé de manière claire et permanente, notamment par voie
d'affichage adapté à la configuration des lieux, de l'existence du système de vidéoprotection et des
coordonnées de la personne responsable du système auprès de laquelle s'exerce le droit d'accès aux
images.
Le droit d'accès aux informations enregistrées est réglé par les dispositions de l'article L.253-5 du code
de la sécurité intérieure.
Article 5 - Hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une enquête préliminaire ou d'une
information judiciaire, les enregistrements seront conservés puis détruits dans un délai maximum de
20 jours.
L'accès aux images et enregistrements du système de vidéoprotection est ouvert aux agents
individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi
que des douanes dans le cadre de leurs missions de police administrative en application de l'article
L.252-3 du code de la sécurité intérieure.
Tél : 02 40 41 20 20Mél : prefecture@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44035 NANTES Cedex 1 2/3
Pour le préfet et far délégation
La Dir djointe
SophiePAUZAT ;Article 6 - Le titulaire de l'autorisation devra tenir un registre mentionnant les enregistrements réalisés,
la date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au Parquet.
Article 7 - Le responsable de la mise en œuvre du système devra se porter garant des personnes
susceptibles d'intervenir dans l'exploitation ou le visionnage des images, ainsi que dans la maintenance
du système mis en place. Des consignes très précises sur la confidentialité des images captées ou/et
enregistrées et des atteintes à la vie privée qu'elles peuvent éventuellement impliquer seront stipulées
par écrit à toutes les personnes concernées.
L'accès à la salle de visionnage, d'enregistrement et de traitement des images, devra être strictement
interdit à toute personne n'y ayant pas une fonction précise ou qui n'aura pas été préalablement
habilitée et autorisée par l'autorité responsable du système ou de son exploitation.
Article 8 - Toute modification présentant un caractère substantiel devra faire l'objet d'une déclaration
auprès des services préfectoraux (notamment changement d'activité dans les lieux protégés -
changement dans la configuration des lieux - changement affectant la protection des images).
Article 9 - Sans préjudice des sanctions pénales applicables, la présente autorisation, pourra être retirée
en cas de manquement aux dispositions du code de la sécurité intérieure susvisé, et en cas de
modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée.
Cette autorisation ne vaut qu'au regard du code de la sécurité intérieure susvisé. Elle est délivrée sans
préjudice d'autres procédures éventuellement applicables (code du travail, code civil, code pénal,
notamment).
La commission départementale de vidéoprotection peut effectuer des contrôles pour s'assurer de la
conformité du système ou de son fonctionnement à son autorisation.
Article 10 - La présente autorisation, qui sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture
de la Loire-Atlantique, est valable cinq ans à compter de la date de l'arrêté, soit jusqu'au 5 juin 2029
inclus. Le système concerné devra faire l'objet d'une nouvelle autorisation administrative préalable au
terme de ce délai et une nouvelle demande devra donc être présentée à la Préfecture minimum quatre
mois avant la date d'échéance de ce délai.
Article 11 - La sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Pays de la Loire, préfet de la
Loire-Atlantique, le général commandant le groupement de la région de gendarmerie des Pays de la
Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique et le maire
de la commune de Guérande sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté dont un exemplaire leur sera adressé ainsi qu'au pétitionnaire.
Nantes, le 30 décembre 2024
Tél : 02 40 41 20 20Mél : prefecture@loire-atlantique.gouv.fr6 quai Ceineray - BP 33515 - 44035 NANTES Cedex 1 3/3Conformément aux dispositions des articles R.421-1 à R.421-5 du code de justice administrative, les recours suivants peuvent être introduits dans les deux mois à compter de la notification de la présente décision à l'intéressé(e) ou de sa publication :
- un recours gracieux, adressé à :
M. le Préfet de la Loire-Atlantique - Cabinet du préfet - Service des polices administratives de sécurité - 6 quai Ceineray - 44035 NANTES Cedex 01
- un recours hiérarchique, adressé à :
M. le Ministre de l'Intérieur - Direction des libertés publiques et des affaires juridiques - Sous-direction des libertés publiques et de la police administrative - 11 rue des Saussaies - 75 800 PARIS CEDEX 08
- un recours contentieux, adressé au :
Tribunal administratif de Nantes - 6 allée de l'Ile-Gloriette - CS 24111 - 44041 NANTES Cedex
La juridiction administrative compétente peut aussi être saisie par l'application Télérecours citoyens accessible à partir du site www.telerecours.frCe recours juridictionnel doit être déposé au plus tard avant l'expiration du 2e mois suivant la date de notification de la décision contestée(ou bien du 2e mois suivant la date du rejet de votre recours gracieux ou hiérarchique).